mercredi 22 août 2018

LE REEF CORALLIEN







Pourquoi les barrières de corail valent des milliards

PAR MARIE MERDRIGNAC
ACTUALITÉ
En absorbant la force des vagues, les barrières de corail protègent les côtes de l’érosion et des inondations. Mais elles protègent aussi les porte-monnaie des États ! Une étude récente confirme en effet que la disparition de ces récifs coralliens protecteurs aurait un coût énorme, se chiffrant en milliards de dollars chaque année.
Contre les inondations des côtes, les coraux sont notre meilleure protection. Dans une étude récente publiée dans la revue scientifique Nature communication, des scientifiques ont calculé le coût énorme que représenterait la disparition de ces brise-lames naturels. « Les dégâts annuels dus aux inondations doubleraient, et les coûts des tempêtes fréquentes tripleraient », écrivent-ils dans un compte rendu.
Des protections naturelles efficaces
Car les récifs coralliens forment une formidable barrière protectrice pour le littoral et ses habitants (et 44 % de la population mondiale vit à moins de 100 km des côtes selon l’Onu), comme des digues naturelles. Parmi les exemples récents, les scientifiques citent les ouragans Irma et Maria qui auraient été beaucoup plus destructeurs en l’absence de coraux.
« Les récifs coralliens peuvent offrir des avantages comparables à de nombreuses barrières côtières artificielles », expliquait Curt Storlazzi, océanographe à l’US Geological Survey, coauteur d’une étude publiée sur le sujet en 2014.
Lorsqu’ils sont sains, ils absorbent jusqu’à 97 % de l’énergie des vagues. La crête récifale seule – la zone la moins profonde où les vagues se fracassent en premier – dissipe la plus grande partie de l’énergie, absorbant environ 86 % de la puissance d’une vague avant qu’elle n’atteigne le récif plat ou le lagon. En comparant les résultats de 250 études antérieures sur les coraux, les scientifiques avaient déterminé que les coraux peu profonds et déchiquetés représentaient les obstacles les plus efficaces contre les vagues.
Lorsqu’ils sont sains, les récifs coralliens absorbent jusqu’à 97 % de l’énergie des vagues. (Photo : Corinne Bourbeillon)
Sans une telle « zone tampon », détaillaient les océanographes dans cette étude, les résidents des zones côtières devraient faire face à toute la force de la montée des mers et aux rafales de tempêtes plus fortes provoquées par le changement climatique.
Des économies
Mais les coraux sont menacés et déjà, ne parviennent plus, à certains endroits du monde, à jouer ce rôle protecteur.« Malheureusement, certains récifs coralliens peu profonds ont déjà perdu en hauteur et en complexité, donc nous voyons déjà des dommages plus importants, causés par des inondations le long des côtes tropicales notamment », a indiqué lors d’une présentation à la presse, le Dr Michael W. Beck, co-auteur de la nouvelle étude publiée dans Nature communication, professeur chercheur au département d’océanographie de l’Université de Californie à Santa Cruz.
Avec ses collègues, il a mis au point des modèles d’inondation et de tempêtes, des scénarios avec ou sans barrière de corail, pour estimer la part qu’ont les récifs coralliens dans la prévention de ces événements. Sans les coraux, les dégâts causés par les inondations (qui seraient quatre fois plus nombreuses à cause de l’élévation du niveau de la mer associée à l’absence de récifs coralliens), doubleraient, augmentant de 4 milliards de dollars dans le monde par an.
Quant aux coûts liés aux conséquences des tempêtes, ils tripleraient. Enfin, dans le cas de grandes tempêtes (celles qui arrivent une fois tous les cent ans), les dommages causés par les inondations en découlant, pourraient augmenter de 91 % et atteindre un coût de 272 milliards de dollars.
Avec des récifs coralliens sains, l’Indonésie, les Philippines et Cuba économiseraient 400 millions de dollars chaque année, gagnés sur des dommages moindres lors des inondations. (Photo : Corinne Bourbeillon)
Avec cette méthode, ils ont aussi calculé, pour la première fois, les avantages financiers que généreraient la protection et la restauration des récifs coralliens en cas d’inondations, dans certains pays. Ainsi, l’Indonésie, les Philippines et Cuba économiseraient 400 millions de dollars chaque année.
Incitation financière pour les gouvernements ?
Les chercheurs espèrent que ces résultats pèseront sur la gestion, la protection et la restauration des coraux décidées par les gouvernements du monde. Car ces écosystèmes sont en danger. Développement côtier, extraction de sable, surpêche destructrice, acidification des océans, augmentation de la température des océans composent un cocktail meurtrier pour ces organismes, victimes, notamment, du blanchiment.
Il s’agit d’un processus lors duquel le corail, en absorbant le dioxyde de carbone davantage présent dans l’eau perd ses algues. Cela ralentit sa croissance, le rend plus vulnérable face aux algues nuisibles et aux maladies.
Des coraux victimes du processus de blanchiment, dans le nord de l’Australie. (Photo : AFP)
Ce n’est pas irréversible assurent, optimistes, les auteurs de l’étude. « Tous les récifs ne sont pas en déclin et les récifs peuvent se remettre des impacts de la décoloration, de la surpêche et des tempêtes ; Les récifs coralliens sont des écosystèmes vivants qui peuvent se rétablir s’ils sont bien gérés, et cette étude identifie pourquoi nous devrions trouver le soutien nécessaire pour leur restauration et leur gestion », insiste le professeur Michael W. Beck.
Mais certains récifs sont déjà durement touchés. Ainsi la Grande Barrière de Corail, surtout dans le nord de l’Australie, à la suite des vagues de chaleur extrêmes enregistrées dans cette zone en 2016, a vu sa couverture chuter de 30 % en moyenne. Le même endroit a subi un autre épisode de blanchissement en 2017. Ses chances de se remettre sont faibles.
Le remplacement des coraux morts prendra au moins une décennie, même pour les espèces à croissance rapide. Pour les plus lentes, cela prendra plusieurs décennies.

mercredi 15 août 2018

bonnes nouvelles de navigation

la suite de notre saison estivale aux iles du Venezuela sur

http://levoyagedafrodite.blogspot.com


amitiés marines à tout le monde

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" LA MONNAIE CARAÏBE "




La monnaie caraïbe est un mollusque appartenant à la classe des gastéropodes. Elle possède une coquille mesurant de l’ordre de 20 à 30 mm de couleur blanchâtre.
La monnaie caraïbe dispose de branchies localisées à l’avant du coeur comme l’ensemble des gastéropodes de la sous-classe des prosobranches – du grec proso qui signifie « à l’avant » - dont elle fait partie mais qui aujourd’hui n’est plus utilisée pour la classification.
La coquille se caractérise par un renflement médian très visible auquel elle doit son nom, avec d’une part cyphoma qui vient du grec et d’autre part gibbosum qui vient du latin gibbus, et qui signifient tous deux « bombé ou bossu ».
La monnaie caraïbe à ocelles se distinguent de la monnaie caraïbes sinuée - qu’il ne faut pas confondre – par ces motifs géométriques plus ou moins en forme de rectangles, de couleur orangée et cerclés d’une ligne noire présents sur son manteau de couleur crème qui vient recouvrir la coquille lorsque l’animal est en activité.
La monnaie caraïbes à ocelles possède des motifs en forme de rectangleLa monnaie caraïbe broute exclusivement les gorgones dont elles friandes !
Répartition géographique
La monnaie caraïbe se rencontre dans la mer des Caraïbes : aux Antilles, aux Bahamas, au sud de la Floride, ... Elle est observable de quelques mètres de profondeur jusquà 20 mètres.
Habitat
La monnaie caraïbe se rencontre sur les gorgones dont elle se nourrit comme la gorgone « plume de mer », ...
Alimentation
La monnaie caraïbe se nourrit exclusivement de gorgones qu’elle broute laissant derrière elle des traces facilement observables. Par ailleurs, il n’est pas rare de rencontrer plusieurs individus sur une même gorgone !
Reproduction
Les sexes sont séparés. Après fécondation interne par le mâle, la femelle pond ces oeufs enroulés en spirale autour des branches de la gorgone.
Le saviez-vous ?
Autrefois ce coquillage servait de monnaie d’échange, d’où son nom français de « monnaie caraïbe ».
Une autre espèce est présente aux Antilles, la monnaie caraïbe sinuée (Cyphoma signatum) dont le manteau est recouvert de dessins en forme d’empreinte digitale. Cette espèce est plus rare que la monnaie caraïbe à ocelles.

mardi 31 juillet 2018

CHER TRÉSOR







un trésor englouti au large de la Floride est français

ACTUALITÉ
Une société privée avait fait une découverte inestimable en 2016, au large de la Floride : les restes d’un navire du XVIe siècle, avec entre autres, sa cargaison de canons en bronze. Depuis deux ans, la bataille juridique faisait rage entre cette société et la France, qui s’estime légitime propriétaire de l’épave, parmi les plus importantes découvertes de Floride. La justice vient de trancher.
Aux États-Unis, une âpre bataille juridique, en cours depuis deux ans, autour d’un trésor archéologique inestimable, vient de connaître un nouveau rebondissement avec la récente décision d’une cour fédérale américaine : l’épave découverte en 2016, dans les fonds marins au large de la Floride, est bien celle de La Trinité, et appartient donc à la France, estime la juge Karla Spaulding.
L’affaire commence en mai 2016. Une compagnie privée de recherches sous-marines, la Global Marine Exploration (GME), met alors la main sur l’un des Graals des explorateurs de fonds marins. Au large de la Floride, près de Cap Canaveral, à huit mètres de profondeur, ses plongeurs découvrent les restes d’un ou de plusieurs navires anciens : 22 canons, dont trois en bronze ornés d’une fleur de lys, ainsi qu’un monument en marbre.
Au départ, les plongeurs de la GME pensent avoir trouvé ce qu’ils étaient venus chercher : les restes de La Trinité. C’est-à-dire le vaisseau de l’amiral français Jean Ribault. Le Dieppois avait été choisi, en 1562, par l’amiral Gaspard II de Coligny, pour fonder la Floride française au nom du roi Charles IX. Mais, en septembre 1565, la deuxième expédition tourne court. Pris dans une tempête, La Trinitécoule. Jean Ribault est exécuté par les soldats de l’amiral espagnol Pedro Menéndez de Avilés à Fort Caroline, en Floride.
Exploration des côtes de la Floride française par l’expédition de Ribault et Laudonniere. (Illustration : Jacques Le Moyne de Morgues/Domaine Public).
Une épave française ou espagnole ?
Depuis des décennies, de nombreux archéologues avaient tenté de trouver les restes du vaisseau pour sa cargaison inestimable : chacun des trois canons en bronze est estimé à plus d’un million d’euros… De quoi se lancer dans une bataille juridique : car, selon le « Sunken Military Act », voté par les États-Unis en 2004, les pays sont souverains sur leurs anciens navires de guerre, trouvés dans les eaux américaines. Donc, s’il s’agit bien de La Trinité, l’épave et sa cargaison appartiennent à la France.
Dans un communiqué publié en juillet 2016, le directeur de GME, Robert Pritchett, explique que finalement, il ne s’agirait pas des restes de La Trinité. « Selon des preuves matérielles recueillies sur place, et les recherches historiques menées par notre équipe d’archéologues, nous avons écarté la possibilité qu’il puisse s’agir du navire de Jean Ribault. La véritable identité du navire pourrait ne jamais être connue. »
L’équipe estime que la cargaison avait été pillée par des pirates ou des marchands espagnols, au moment de l’exécution de Jean Ribault à Fort Caroline (la première ville érigée par les Européens en Amérique). Selon eux, l’épave au fond de l’eau est celle du bateau espagnol, chargé de la cargaison du bateau français.
Jean Ribault prenant possession de la Floride française. La colonne de marbre trouvée au fond de l’eau pourrait être identique à celle représentée sur cette gravure d’époque. (Illustration : Jacques Le Moyne de Morgues/Domaine Public).
Une découverte majeure
Évidemment, l’ambassade de France n’est pas du même avis : devant le tribunal d’Orlando, elle est allée réclamer la propriété de l’épave. En 2016, Clément Leclerc, consul de France à Miami, estime que la découverte est colossale. « Nous considérons, sur la base d’analyses scientifiques, qu’il s’agit d’épaves françaises de la flotte de Jean Ribault. Vous connaissez toute la portée historique et symbolique de ce sujet : il y a peu d’objets historiques et archéologiques de cette époque, c’est-à-dire plus de deux siècles avant la création des États-Unis. » Les deux versions ont été confrontées devant les tribunaux américains. Les équipes de GME estimant que la France n’avait aucun moyen de prouver sa version.
Dans sa décision rendue le 29 juin, la cour fédérale américaine a finalement donné raison à la France. Une décision saluée par le musée maritime de Saint-Augustine (Floride) : « Cette décision va permettre la récupération de l’épave, par l’État de Floride, en coopération avec la France. Il s’agit de l’histoire fondatrice de notre État, poursuit la directrice Kathy Fleming, citée par le site scientifique Live Science. Cette épave est la plus importante de toutes celles trouvées dans les eaux floridiennes. » Selon James Goold, l’avocat du gouvernement français, cité par l’agence Associated Press, cette décision va protéger le trésor d’un pillage privé.
La Global Marine Exploration qui estime la décision « injuste », par la voix de Robert Pritchett, a jusqu’à début août pour faire appel.

dimanche 22 juillet 2018

COMMISSAIRE DUPIN A PLOUMANAC'H








Après un épisode de "Joséphine Ange Gardien "  un épisode tourné à "Ploummenech", France 3 diffuse ce soir  le Commissaire Dupin sur la Côte de granit roseLe téléfilm a été tourné en octobre dernier sur la côte de Granit rose.

Le téléfilm a été tourné en octobre dernier sur la côte de Granit rose. (©letregor)

Ce dimanche 22 juillet, à 20 h 55, France 3 diffuse l’enquête du commissaire Dupin tournée en octobre dernier sur la côte de Granit rose.
Le tournage a duré 23 jours et mobilisé près de 70 personnes. Des scènes ont été tournées au phare de Ploumanac’h, sur le sentier des douaniers à Perros-Guirec, sur la plage du Cos-Porz à Trégastel… 
Le pitch de l’épisode intitulé La morte rose : une femme a été retrouvée étranglée dans une carrière de granit rose il y a sept ans. Le meurtre n’a pas été élucidé. Dupin se rend sur les lieux de la découverte du cadavre. Il y rencontre Jérôme Chastagner, le propriétaire de la carrière, qui ne lui fait pas bonne impression…

lundi 16 juillet 2018

ALLEZ LES BLEUS











Pourquoi les Bleus seront champions du monde en 2022

PAR HUGO RÉGNIER
SPORT
Face à la Croatie (4-2), l’équipe de France a décroché ce dimanche soir son deuxième titre de champion du monde après celui de 1998. Une performance incroyable que les Bleus pourraient bien réitérer au Qatar dans quatre ans, lors de la prochaine Coupe du monde en 2022.

Nous y étions. Partout en France, des millions de personnes sont descendues dans la rue pour célébrer la deuxième étoile de l’équipe de France dans une ambiance extraordinaire. Un moment d’histoire inscrit en lettre d’or dans toutes les mémoires. Un moment rare de joie et de communion avec lequel le pays pourrait bien renouer dès la prochaine Coupe du monde en 2022. Voici pourquoi.
Kylian Mbappé est un prodige
Son sourire juvénile pendant l’hymne national est celui d’un gamin de 19 ans en train de vivre son rêve de disputer une finale de Coupe de monde. Mais sur le terrain Kylian Mbappé a déjà tout d’un très grand. Auteur du quatrième but français, le natif de Bondy est devenu le deuxième buteur de moins de 20 ans à marquer en finale d’un Mondial après le brésilien Pelé en 1958. Et comme le Roi Pelé en son temps, Kylian Mbappé est un prodige du ballon rond. « Si Mbappé continue d’égaler mes records comme ça, je vais peut-être devoir dépoussiérer mes crampons à nouveau », s’amusait celui qui a été sacré trois fois champion du monde avec le Brésil (1958, 1962, 1970).

mardi 10 juillet 2018

ON EST EN FINALE on est en finale on est on est on est en finale





                                       1                                                                                                                                                                    0

Les questions qui agitent internet avant le match

vendredi 6 juillet 2018

Fwd: Ouragan BERYL



Barbara    

---------- Message transféré ----------






vigilances en cours

SAINT MARTIN ET ST BARTHELEMY

 

GUADELOUPE

MARTINIQUE

 

Bonjour

BERYL devient le premier ouragan de la saison

Le NHC prévoit qu'il pourrait être rétrograder en tempête avant son passage sur l'arc Antillais, dimanche ou lundi.
A 05h00, il était situé à 1830 km à l'Est-Sud/Est des Antilles, vents constants à 100 km/h sur un rayon de 55 km, déplacement cap 275° à 22 km/h et pression à 995 Hpa.
surveiller vos médias habituels pour vous tenir au courant.
Tracking à jour
 

 


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jeudi 5 juillet 2018

Fwd: Dépression Tropicale n° 2


Barbara    

---------- Message transféré ----------
De : sxmcyclone <lettre-info@sxmcyclone.com>
Date : 5 juillet 2018 à 11:53
Objet : Dépression Tropicale n° 2
À : sxmcyclone <lettre-info@sxmcyclone.com>


 

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Bonjour

vigilances en cours

SAINT MARTIN ET ST BARTHELEMY

 

GUADELOUPE

MARTINIQUE

 

Bonjour

L'onde tropicale suivie depuis hier est devenue la dépression tropicale N° 2.
Elle intéressera l'arc antillais.
Le NHC prévoit qu'elle devienne tempête dans la journée mais se dissipera à l'approche des Antilles.
A surveiller.
A 11h00, elle était située à 2230 km à l'Est-Sud/Est des Antilles, vents constants à 55km/h, déplacement cap 270° à 26 km/h et pression à 1009 Hpa.
 
Tracking à jour
 
 

 Merci à nos donateurs:

Joel MASSIANI SAINT BARTHELEMY
SCI Roxane Villa Roxane – Gustavia

L'Equipe de Sxm Cyclone


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samedi 30 juin 2018

STUPÉFIANT MOIS DE JUILLET 2018...!

De bon augure pour tous : calendrier de juillet. (ce sera la seule fois que vous verrez ce phénomène dans votre vie).                           
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Le mois de juillet de cette année aura  5 dimanches , 5 lundis et 5 mardis.
Cela n'arrive qu'une fois tous les 823 ans.
   Les Chinois appellent ça "poche pleine d' argent".
   Basé dans le Feng Shui, ceux qui ne transmettent pas ce message peuvent perdre une grande opportunité.
  Je suis en train de faire ma part, on ne sait jamais....

Bonne chance...

LA DENGUE

Qu’est-ce que le virus de la dengue ?


ACTUALITÉ
 Mais qu’est-ce que la dengue ? Comment l’attrape-t-on ? Comment s’en protéger ? Explications.
La dengue est une maladie infectieuse virale, qui est transmise par une piqûre de moustique-tigre (moustique appartenant au genre Aedes). Mais l’immense majorité des cas de dengue sont sans gravité.
Cela correspond, en fait, à ce que l’on appelle « la grippe tropicale », c’est-à-dire un ensemble de symptômes tels que des maux de tête, de la fièvre, des courbatures, des éruptions cutanées, des nausées… Seules de très rares formes hémorragiques nécessitent une hospitalisation et peuvent potentiellement entraîner un décès.
Il faut 4 à 7 jours pour que les symptômes apparaissent chez la personne contaminée. Et ils durent de 2 à 7 jours.
Comment attrape-t-on la dengue ?
Dans un premier temps, le moustique-tigre pique une personne infectée. Le moustique ainsi contaminé peut alors, quelques jours plus tard, transmettre à son tour le virus à une personne saine en la piquant. Pendant au moins une semaine après l’apparition des symptômes, la personne malade peut contaminer un moustique sain. Et ainsi de suite…
En France métropolitaine, le moustique-tigre est présent dans 42 départements. (Carte : ministère des Solidarités et de la Santé)
Présent depuis des années en Asie, en Afrique, en Amérique, dans les Caraïbes et dans l’Océan Indien, le moustique-tigre s’est installé en France en 2004, d’abord dans 18 départements. Aujourd’hui, il est présent dans 42 départements de la métropole.
Comment s’en protéger ?
Le moustique-tigre est plutôt casanier. Il reste à moins de 50 mètres à l’endroit où il est né. S’il y a des moustiques chez vous, c’est donc qu’il y a des lieux de ponte pas très loin ! Et ce que cet insecte aime plus que tout, c’est l’eau stagnante. C’est l’endroit idéal, pour lui, où pondre ses œufs.
La meilleure des protections consiste donc à éliminer l’eau des soucoupes sous les pots de fleurs, des récipients et contenants à l’extérieur, des gouttières… Il est également conseillé d’utiliser des répulsifs contre les moustiques.
Les pompiers procèdent à des pulvérisations afin d’éliminer les moustiques et empêcher la propagation de la maladie 
La dengue est devenue un problème de santé publique majeur en particulier dans les régions tropicales et subtropicales d’Asie et d’Amérique latine. Actuellement, on estime que 2,5 milliards de personnes sont exposés au risque de dengue.
Selon les estimations de l’OMS (Organisation mondiale de la santé), il pourrait y avoir chaque année 50 à 100 millions de cas dans le monde, avec 250 000 à 500 000 cas de dengue hémorragique et 24 000 décès. Les enfants et les personnes âgées sont les personnes les plus fragiles face à ce virus.
En France, l’insecte est particulièrement surveillé par les autorités sanitaires du 1er mai au 30 novembre. La DGS rappelle que 11 cas de dengue ont été signalés dans l’Hérault en 2014 et 7 dans le Gard en 2015. Si un premier vaccin est sorti en 2015, il n’a pas encore prouvé son efficacité.