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CANNES 2024

CINÉMA Cannes 2024 : notre classement des films en compétition, du plus raté à la Palme d’or potentielle Retrouvez nos déceptions, nos coups de cœur… et les longs métrages qu’on verrait bien recevoir un prix. Par  Le service Cinéma Réservé aux abonnés Publié le 25 mai 2024 à 08h00 Mis à jour le 25 mai 2024 à 10h31

CANNES 2024

  La grosse gerbe d’or (Christine Tamalet) The Substance  de Coralie Fargeat Rides or die.  La réalisatrice française s’éclate avec une comédie choc et gore sur le vieillissement du corps féminin, avec Demi Moore en star sur le retour, tentant de se refaire une jeunesse grâce à un sérum aux effets secondaires monstrueux.  Lire notre critique .

CANNES 2024

  Prix de la corruption (A24) Parthenope  de Paolo Sorrentino Palace, ton univers impitoyable.  Le cinéaste italien revient pour la septième fois en compétition avec une énorme machinerie sur la vie des riches et puissants, à l’esthétique de publicité et cofinancée par un grand couturier, nous gavant à l’idée que les nantis aussi ont une âme.  Lire notre critique .

CANNES 2024

  Prix du Syndicat de la croûtique (Le Pacte) Megalopolis  de Francis Ford Coppola Mais que fait «Megalopolis» ?  Péplum rétrofuturiste imbitable et brumeux, avec de vrais morceaux de fascination dedans, le dernier film maousse de Francis Ford Coppola nous a laissé éberlués.  Lire notre critique .

CANNES 2024

  Prix de l’empreinte carbone (Shellac) Grand Tour  de Miguel Gomes Colons irritants.  Sur les traces d’une femme abandonnée traquant son fonctionnaire de promis à travers l’Asie du début du XXe siècle, l’épopée hybride du cinéaste portugais est un triste ratage.  Lire notre critique .

Queer palm

  (EPICENTRE FILMS) Baby  de Marcelo Caetano ex-aequo avec  les Reines du drame  d’Alexis Langlois Daddy moi oui.  Solaire et sensuel, le deuxième film du Brésilien Marcelo Caetano narre la relation entre un jeune délinquant et l’homme mûr qui le prend sous son aile, entre exploitation et passion.  Lire notre critique