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jeudi 31 mai 2012
AIMéE DUBUC, LA SULTANE FRANçAISE
La légende de la sultane Validé
Les petites morts d'Ivan Desditch
Les petites morts d'Ivan Desditch
Ivan Grossousoff Desditch, prince du district d'Aquitovo-Vosnovensk, avait
de tout temps mené une vie de barodchez1,
dilapidant les biens hérités du majorat de sa mère Selma Christeva Lagerloff,
comme la fameuse tour Guenieff du palais des Grossousoff.
Single* depuis la
mort de sa petite étoile, Atchitchornia Salicila Demétyl, son épouse bien aimée,
Ivan Desditch était d'abord resté sombre, comme coupable de ne pouvoir se
consoler par des peccadilles qui lui inspiraient d'ailleurs de lui-même un
profond sentiment de ragoudcha2 :
le spleen*. Il y avait
de quoi car Salicila Demétyl s'était pendue avec les cordes de son luth dans le
cimetière des musiciens au bout de la perspective Nevski, sur la tombe de Mily
Balakirev, en pleine nuit du Bolchoï3.
Doublement ruiné, Ivan Desditch dut reprendre son travail de sectateur de musique et voulut regagner les pertes au jeu que lui avait fait subir Ivan Désandvich Alagar, son collègue, ami - qui l'avait consolé lors de son deuil - et créancier. Ivan Desditch avait, en effet, perdu ses terres de la commune de Pausilippe, près de Tienvlamédor et les étangs d'Italazoff, les jardins de Tchernobyl et les bois de Rosmarin aux fines odeurs de goghs4. Mais Igor Kidine ne se souvenait plus à qui il avait vendu ces biens ou même donné un soir de beuverie entre musiciens : Pavel Chesnocov ou Igor Borodine, Nicolaï Korsakov ou Vassily Titov ? "That was the question".* Qu'importe, Ivan Desditch qui se prenait pour l'un ou l'autre de ces labadens* s'était réorganisé pour vivre sans déplaisir et se divertir de manière décente comme il se doit à un prince khonar5. Il eut donc une liaison avec Régina Kamtchatka dont il eut à rougir car la dame, provinciale et d'origine subalterne malgré son prénom, ne voulait que flatter le jeune Dhart6. Ensuite une fraternisation au nom de la Sainte-Croix avec des "soeurs de joie"* également de modeste origine - dites les six reines - dans les grottes de Saint-Basile de Koch. Jusqu'au jour où Ivan Desditch souffrant de la solitude et du tragique de ce monde assujetti aux énormités tsaristes décida de refranchir le fleuve Amour pour établir des relations musicales avec des jeunes filles de son milieu. Il eut à choisir entre Fescovia Féodor Féodovna, une sainte, dont les Khopul7 l'agaçaient un peu et une véritable fée Ella Dubov Fornicatrich dont les cris au cours de leurs catleïas8 l'effrayaient prou*. Mais le procédé des ménages, les caresses conjugales des premiers temps ne purent assouvir la passion de la moujik* chez Ivan Desditch qui se plut à méditer la parole de l'Évangéliste, qui a dit : « Celui qui ne peut vivre avec un petit pied n'aura pas droit au pied qu'il mérite ». Les six reines, Régina, Fescovia et Ella Dubov occupèrent alors une grande partie de ses nuits, Il accrocha alors à la porte de sa barak9 l'icône d'un soleil noir, afin d'éloigner quelques popes obtus. |
Géron Léard Nertoï comte de Tolsval
Traduit par Alanov Raphaëlovitch Zalmansky
Traduit par Alanov Raphaëlovitch Zalmansky
1 Petit bourgeois2 Dégoût3 Nouvel an orthodoxe (6 janvier grégorien, 22 décembre julien)4 Santal5 Bon enfant6 Noble7 Soupirs8 Conversations9 Datcha en forme d'isba, mais plus confortable et chauffée grâce à une étable contigüe (système EBS)* En français dans le texte.
Pastiche de Léon Nikolaïevitch Tolstoï (1828-1910).
SWITCH
je viens de regarder le film
SWITCH
car le pitch m'avait intéressé
c'était un thriller, j'aime,
c'était un scénario de Jean-Christophe Grangé et j'aime bien ce qu'il écrit
bref, je n'ai pas été déçue
mais le pitch est loin loin du compte
c'est assez compliqué sur la fin
on sent bien la patte de Grangé
un bon moment plein du suspens jusqu'au bout!
Juillet 2010, Montréal, Canada. Sophie Malaterre, 25 ans, illustratrice de mode, voit arriver les vacances d’été avec angoisse. Pas de projets, pas d’ami, pas de fiancé... On lui parle du site SWITCH.com qui permet d’échanger sa maison le temps d’un mois. Sophie trouve, par miracle, un duplex à Paris, avec vue sur la Tour-Eiffel. Son premier jour est idyllique. Le lendemain matin, elle est réveillée par les flics. Un corps décapité est dans la chambre d’à côté. Elle n’a plus aucun moyen de prouver qu’elle n’est pas Bénédicte Serteaux, la propriétaire des lieux. Le piège se referme sur elle...
La présentation
Efficace. Le mot est lâché. C'est l'adjectif adéquat pour qualifier ce Fugitif au féminin qui mise sur l'action pure et deux interprètes qui en imposent : la belle Karine Vanasse, entraperçue dans Minuit à paris de Woody Allen et qui prouve ici son talent athlétique. Aux basques de cette fausse coupable vaguement hitchcockienne, Eric Cantona assure en flic qui parle peu mais réfléchit beaucoup. Il court aussi notre Canto, en particulier dans une scène de poursuite impressionnante à travers les maisons d'un lotissement chic. Et que je traverse le jardin, que je saute un muret, que je débouche dans un salon et hop que je saute du balcon dans une ruelle, que je monte un escalier, etc... Et pourquoi elle fuit cette fille dans ce thriller qui, comme le déclara lui-même Frédéric Schoendoerffer, ne vise qu'à divertir ? Parce qu'il ne faut pas échanger-switcher- son appartement pour les vacances. Vous croyez que vous allez passer une semaine de rêve dans un appartement sublime au pied de la Tour Eiffel et puis vous tombez dans un piège : vous vous réveillez le matin avec un cadavre sans tête dans votre lit, des flics dans le couloir et beaucoup de mal à prouver votre véritable identité. Aux prochaines vacances, franchement, allez à l'hôtel. Sauf si vous voulez que Cantona ne vous lâche plus d'une semelle...
Allez on démarre en trombe ! Pas de grand cinéma d'action ou de grands thrillers sans poursuites ! En voici quelques unes qui restent dans les mémoires. En voiture d'abord. La plus pluvieuse
et tragique : celle de La Nuit nous appartient de James Gray, sous une pluie battante, avec Joaquin Phoenix qui voit son père mourir dans la voiture devant lui sans pouvoir intervenir. La plus scotchante : celle, filmée en un seul plan séquence, des Fils de l'homme d'Alfonso Cuaron où la voiture de Clive Owen est attaquée par des types sortis des bois, puis pris en chasse à pied et à moto. La plus contestataire : celle de Vanishing Point de Richard C. Sarafian en 1971 avec un pilote de stock-car qui fait le pari de rallier Denver à San Francisco en 15 heures à bord d'une Dodge Challenger, avec la police à ses trousses, évidemment. Tarantino rendit hommage à ce film dans Boulevard de la mort. En confiant à deux cascadeuses des rôles principaux, il put s'offrir une poursuite en bagnole, une Dodge Challenger- sans trucages. Mais la meilleure « attrape moi si tu peux » motorisée reste peut-être celle de Matrix, un pur délire de 26 minutes sur une autoroute où tout ce qui roule se dépasse, se mitraille et se télescope sans une seconde répit. On est loin de Bullitt qui, tout de même, en 1968, invente littéralement la poursuite légendaire grâce à Steve McQueen en Mustang dans les rues de San Francisco. Juste trois ans après, French Connection de William Friedkin met la barre encore plus haut avec une scène voiture contre métro, également entrée au panthéon ! Mais on peut aussi se poursuivre à pied. Et en marchant. Comme dans la séquence finale si arty de Thomas Crown où Pierce Brosnan disparaît au nez et à la barbe de la police en se fondant dans une foule d'hommes qui ont tous le même chapeau melon sorti d'un tableau de Magritte. Avec des travellings grande classe. Si on parle finales virtuoses, la palme revient peut-être à Brian de Palma et son meilleur film, L'Impasse, où Al Pacino, poursuivi par des gangsters, traverse New York en se faufilant dans le métro, les couloirs ou les escalators... On parlait de De Palma, finissons donc avec son maître : Hitchcock, bien sûr, et son idée géniale d'un homme poursuivi par un avion... Oui la scène de La mort aux trousses d'Hitchcock où Cary Grant est pris en chasse dans un champ par un biplan reste un sommet de mise en scène. Allez, pour avoir le temps de voir ou revoir tout ça, vous avez intérêt à courir !
Réalisateur
Frédéric Schoendoerfferavec
Aurélien Recoing, Eric Cantona, Karina Testa, Karine Vanasse, Mehdi Nebbou, Bruno Todeschini, Kourosh, Marianne Malaterre, Maxim Roy, Niseema Theillaud, Ludovic Schoendoerffer, Sarah Pebereau, Stephan Guérin-Tillié
mercredi 30 mai 2012
LE COCOTIER
Savons-nous que tous ces cocotiers qui ornent nos plages et nos campagnes
sont un patrimoine hérité du passé ?
Découvrons à travers ces lignes quelques
éléments de son histoire.
On ignore exactement quel est le pays
d'origine du cocotier mais on sait qu'il existe depuis très longtemps.
En effet, des noix de coco fossiles ont été découvertes en Inde et en Nouvelle
Zélande, notamment par le professeur E.W. Berry de l'Université John
Hopkins. Elles se trouvaient à Mangoni en Nouvelle Zélande, dans des terrains
pliocènes ou pré-pliocènes et il les fait remonter à un million d'années.
Nous pouvons donc avancer que le cocotier
est probablement originaire de l'Océan Pacifique
ou de l'Océan Indien et qu'il est apparu sur tous les continents de deux
manières : les noix de coco flottent et ont dérivé
au gré des courants marins, puis, par la suite, le cocotier a été introduit par l'homme lors des voyages et des
migrations humaines.
On peut penser qu'il a été introduit en Guadeloupe puisque le R.P. Jean Baptiste Du Tertre, missionnaire arrivé en
Guadeloupe en 1640, nous dit dans son Histoire Générale des Antilles habitées par les
Français, T.2, dans le chapître consacré au coco, à la page 185 :
"Le palmiste qui porte ce beau fruict,
n'estait pas encore connu dans nos Antilles Françoises, à la première
impression de mon livre, de là vient que je n'en ay point parlé. Il y
est maintenant fort commun, quoy que cet arbre ne soit pas le plus haut de tous
nos palmistes, il est pourtant le plus beau, parce qu'il est chargé du plus
grand nombre de fuëilles & bien plus belles que celles des autres [...]
quelques unes de ses noix sont aussi grosses que la teste d'un enfant &
toutes revestues d'une grosse écorce filasseuse, épaisse d'un ponce, la noix
qu'elle enveloppe n'est pas tout à fait ronde, mais elle tient un peu du
triangle, son extrémité est barbue & à trois petits trous ronds de la
largeur d'une lentille, la coque de cette noix est noire, dure comme de la
corne..."
On peut donc supposer en lisant ce passage
du R.P. Du Tertre, qui était botaniste, que le
cocotier a été introduit chez nous à son époque.
Quand on sait que le cocotier géant a été introduit au Brésil pour la première fois en 1553,
dans l'Etat de Bahia et qu'il venait du Cap Vert,
îles près de l'Afrique, on peut croire que lors
des traversées transatlantiques, les voyageurs emmenaient avec eux des plants
de cocotiers.
lundi 28 mai 2012
LA GUERRE DES BOUTONS
LA GUERRE DES BOUTONS
Vous vous souvenez :
"si j'aurais su j'aurais pas v'nu" ?
phrase prononcée par Tigibus
Et bien, deux nouveaux films viennent de sortir, remake du film de 1962
Synopsis
1960. A Longeverne, une bande de garçons, âgés de 7 à 14 ans, menée par l'intrépide et rebelle Lebrac, est en guerre contre les enfants de Velrans, le village voisin. Depuis des générations, on se bat pour l'honneur et la fidélité et, aussi, pour gagner. Si cette ancestrale rivalité est rude, il faut aussi compter avec la sévérité des parents et de l’instituteur mais aussi, avec le charme de Lanterne, la seule fille de la bande.
La présentation
Le 14 septembre 2011, sortit sur les écrans français le nouveau film de Yann Samuell, la Guerre des boutons. Jusque là, rien d’étonnant. Le réalisateur est connu pour Jeux d’enfants, la première rencontre Guillaume Canet/Marion Cotillard, My Sassy Girl, le remake britannique d’un film sud-coréen, et l’Age de raison, avec Sophie Marceau confrontée à l’enfant qu’elle fut. Ce qui était beaucoup plus surprenant, c’est que sept jours plus tard, le mercredi 21 septembre, sortait sur les mêmes écrans français – ou presque – le film de Christophe Barratier, la Nouvelle guerre des boutons. Les deux films furent systématiquement présentés comme deux nouvelles adaptations du roman de Louis Pergaud, paru en 1912 puisque, respectant la volonté de son défunt cinéaste de mari – déçu par la Guerre des boutons, ça recommence, un remake irlandais tourné en 1994 –, la comédienne Danielle Delorme refusa de céder à qui que ce soit les droits de remake du fameux film tourné par Yves Robert en 1962. Cela dit, l’ancestrale querelle opposant les chenapans de Longeverne aux garnements de Velrans aurait-elle autant intéressé Yann Samuell, Christophe Barratier et leurs producteurs respectifs si Yves Robert n’en n’avait pas donné sa version grand public, déjà applaudie par plus de dix millions de spectateurs ? Rien n’est moins sûr, tant le portrait, rude et amer, dressé par Louis Pergaud, des relations parents-enfants dans un village de Franche-Comté à la veille de la Première Guerre mondiale ne ressemble guère à l’idée que l’on se fait d’un divertissement cinématographique familial, futur prime-time de TF1 – coproducteur des deux films. N’oublions pas que l’auteur annonçait dans sa préface : « Ce livre, malgré son titre, ne s’adresse ni aux petits enfants, ni aux jeunes pucelles. » Ce qui n’est, évidemment, pas le cas des films qu’il inspira. Remake ou pas, voici la Guerre des boutons de Yann Samuell, avec une bande de jeunes comédiens qui, de Tigibus à Lebrac et de l’Aztec à Bacaillé, donnent la réplique à une bande d’adultes pas moins dissipés : Eric Elmosnino en instituteur bienveillant, un an après Gainsbourg (Vie héroïque) de Joann Sfar, Fred Testot, le complice d’Omar Sy, en sportif curé de campagne, Alain Chabat en instituteur véhément et Mathilde Seigner en sévère maman du rebelle Lebrac. Alain Chabat et Mathilde Seigner venaient d’être mari et femme dans Trésor, le dernier film de Claude Berri, terminé par François Dupeyron.
Une semaine après la sortie du film sortait donc la Nouvelle guerre des boutons, la version de
Christophe Barratier. Comment deux films adaptés du même roman peuvent-ils être
tournés en même temps et sortir à une semaine d’intervalle ? C’est tout
simple. Lorsqu’une œuvre tombe – comme on dit – dans le domaine public, chacun
est libre de s’en emparer, sans payer de droits d’auteur et sans demander
d’autorisation à quiconque. Il se trouve que la Guerre des boutons, le livre de
Louis Pergaud, aurait dû tomber dans le domaine public 50 ans après le 1er
janvier suivant sa mort, c'est-à-dire le 1er janvier 1966. Mais, tel ne fut pas
le cas. Et là, je demande toute votre attention ! En effet, à cette
usuelle période de 50 ans, il faut ajouter les deux guerres mondiales. La loi
française est très claire – sinon très logique – sur ce point. Les périodes de
guerre ne permettant pas aux écrivains de jouir normalement de leurs droits
d’auteur, on ajoute donc aux fameux 50 ans, 6 ans et 152 jours pour la Guerre
de 14-18 et 8 ans et 119 jours pour la Guerre de 39-45. Ne cherchez pas, ces
périodes ne correspondent absolument pas à la véritable durée de chaque
conflit, mais c’est comme ça ! Et ce n’est pas tout ! Il se trouve
que notre brave Louis Pergaud – lauréat du huitième Prix Goncourt, en 1910 –
rendit l’âme dans les tranchées de Verdun en avril 1915. Autrement dit,
l’auteur de la Guerre des Boutons est mort, selon l’expression consacrée,
« pour la France », ce qui allonge de 30 ans la durée de ses droits
d’auteur. Heureux héritiers ! Donc, récapitulons : 50 ans + 6 ans et
152 jours + 8 ans et 119 jours + 30 ans = le 28 septembre 2010, CQFD !
N’ayant donc d’autorisations à ne demander à personne, deux équipes
s’étaient, chacune dans leur coin, mises à travailler sur le même projet. Pour
être plus précis, une troisième équipe, menée par le cinéaste Alexandre
Castagnetti, par ailleurs cofondateur du duo la Chanson du dimanche, était
également au travail. Bénéficiant d’un moindre budget, il abandonna son projet,
pourtant le plus fidèle à Pergaud, puisque situé avant la Guerre de 14 et dans
sa Franche-Comté natale. Seuls, si l’on peut dire, restaient donc en
lice deux équipes, chacune espérant bien que l’autre jetterait l’éponge, comme
l’avait fait Baz Luhrmann, abandonnant son film avec Leonardo DiCaprio dans le
rôle d’Alexandre le Grand, lorsqu’il découvrit qu’Oliver Stone préparait son
propre Alexandre, avec Colin Farrell. Cette fois, et comme ce fut le cas
avec les deux adaptations concomitantes de l’œuvre de Choderlos de Laclos, les
Liaisons dangereuses de Stephen Frears et Valmont de Milos Forman, personne
n’abandonna et la lutte fut sévère. Anticipant de plusieurs mois les dates de
sorties prévues, chacun accéléra la préparation et le tournage de son film,
pour être prêt le premier, faisant travailler jour et nuit des laboratoires
cinématographiques français et belges pour, finalement être, presque, ensemble
sur la ligne de départ. Sorti le premier, ce film
attira 635.321 spectateurs en première semaine, alors que la version de
Christophe Barratier, une semaine plus tard, en séduira 521.424. Après un mois
d’exploitation, les scores des deux films étaient très proches : 1.400.000
spectateurs pour Christophe Barratier, 1.395.000 pour Yann Samuell. Pas de
vainqueur, pas de vaincu, la guéguerre des boutons, n’aura pas eu lieu.
Avec
Alain Chabat, Eric Elmosnino, Fred Testot, Louis Lefèbvre, Mathilde Seigner, Théo Bertrand, Tom Terrail, Tristan Vichard, Victor Le Blond, Vincent Bres, Arthur Garnier, June Maître, Antonio Tavarez, Paloma Leneaut, Theo Fernandez
Scénario Yann Samuell
Musique Klaus Badelt
Langue VF
Catégories
Du vieux papier vers l’écran,Sales gamins, Provinces de France, Oxygène et grand espaces,Comédie, Nouveautés
Mots-clés
relation mère fils, moissonneuse batteuse,insulte, Guerre d'Algérie, ferme, classe, cabane, bagarre, instituteur, enfant, écolier, rivalité
Réalisateur
Yann SamuellAvec
Alain Chabat, Eric Elmosnino, Fred Testot, Louis Lefèbvre, Mathilde Seigner, Théo Bertrand, Tom Terrail, Tristan Vichard, Victor Le Blond, Vincent Bres, Arthur Garnier, June Maître, Antonio Tavarez, Paloma Leneaut, Theo Fernandez
Durée 109 minutes
Couleur Oui
Pays France
Année de sortie française 2011
Restriction Tous publics
Production One World FilmsScénario Yann Samuell
Musique Klaus Badelt
Langue VF
Catégories
Du vieux papier vers l’écran,Sales gamins, Provinces de France, Oxygène et grand espaces,Comédie, Nouveautés
Mots-clés
relation mère fils, moissonneuse batteuse,insulte, Guerre d'Algérie, ferme, classe, cabane, bagarre, instituteur, enfant, écolier, rivalité
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