lundi 27 février 2023

ERNEST RENAN

 

Ernest Renan, l’illustre enfant de Tréguier, a marqué son siècle

Ernest Renan est né le 28 février 1823, à Tréguier (dans les Côtes-d’Armor aujourd’hui). Intellectuel brillant, il a marqué le XIXe siècle de son empreinte. Retour sur un parcours hors du commun.

Dans la maison natale d’Ernest Renan, à Tréguier (Côtes-d’Armor), son bureau du collège de France a été reconstitué, là où il est installé pour ce tableau.
OUEST-FRANCEoir en ple



Ernest Renan naît le 28 février 1823 au sein d’une grande maison d’armateurs, dans le centre de Tréguier. Depuis le dernier étage on aperçoit le port. Mais, derrière ces hauts murs, se cache une situation dramatique. La famille est criblée de dettes. Son père, capitaine au long cours, n’en finit pas d’emprunter pour assouvir ses rêves, tandis qu’il plonge dans l’alcool. Il disparaît le 11 juin 1828.

Son corps est retrouvé sur le rivage d’Erquy, le 1er juillet. Ernest a cinq ans. Sa sœur aînée, Henriette, et sa mère mettent un point d’honneur à éponger les dettes. Certaines parties de la maison sont louées. À Tréguier, Ernest Renan passe une enfance heureuse malgré tout, dans sa chambre, la « mansarde », nichée sous les toits. Il la relatera dans ses Souvenirs d’enfance et de jeunesse. La maison, léguée par les descendants de Renan à l’État, est aujourd’hui devenue un musée, qui lui est dédié.

Le séminaire avant le doute

Le jeune Ernest suit une voie toute tracée, qui doit le mener à la prêtrise. Brillant élève, il se fait remarquer en remportant tous les prix d’excellence. Par l’entremise d’Henriette, il quitte Tréguier pour Paris. Il avait obtenu une bourse, qui devait lui permettre de financer ses études religieuses de ses 15 ans à ses 25 ans, avant qu’il devienne prêtre​, explique Aude Isebe, agent d’accueil au musée Renan. Il entre au séminaire Saint-Nicolas-du-Chardonnet, puis il poursuit à Issy-les-Moulineaux et Saint-Sulpice.

La découverte de la philosophie est pour lui une véritable révélation : il renonce à la vie religieuse. Il a 23 ans et n’a pas de diplôme. ​Il fait une entrée fracassante dans le monde universitaire. Il obtient deux bacs en un an, il enchaîne jusqu’au concours de l’agrégation de philosophie, où il est reçu premier en 1847. ​Cette même année, il obtient le prix Volney, une des principales récompenses décernées par l’Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, pour le manuscrit de son Histoire générale des langues sémitiques.

Vie de Jésus : le scandale

L’intellectuel, qui n’a cessé de travailler sur la religion, entreprend une biographie de Jésus, premier tome de l’Histoire des origines du christianisme. Le livre sort en 1863, et fait scandale, tout comme avait fait scandale sa leçon inaugurale à son entrée au Collège de France, un an plus tôt. Renan y évoque Jésus comme un « homme incomparable ».

Il devient le « blasphémateur européen », selon les propos du pape Pie IX. Il perd son poste, mais gagne une renommée internationale et surtout, une indépendance financière. Son livre est un véritable best-seller, de multiples fois réédité. Selon les recherches effectuées par l’universitaire Jean Balcou, auteur d’Ernest Renan, une biographie, « 146 000 volumes auraient paru en France en dix-huit mois ». Renan retrouvera sa chaire de langues hébraïque, chaldaïque et syriaque en 1870.

La Nation selon Renan

Auteur prolifique, Ernest Renan a laissé un autre texte, qui reste sans doute le plus connu aujourd’hui : Qu’est-ce qu’une nation ? est pour lui sa profession de foi, ce qui touche les choses humaines ». Les mots de cette conférence sont prononcés à la Sorbonne en 1882. Pour Renan, ce qui fait une nation, ce sont deux choses qui, à vrai dire, n’en font qu’une […]. L’une est dans le passé, l’autre dans le présent. L’une est la possession en commun d’un riche legs de souvenirs ; l’autre est le consentement actuel, le désir de vivre ensemble […] ».

Le retour aux sources

Sur la fin de sa vie, à partir de 1885, Ernest Renan revient régulièrement dans le Trégor. Il réside non pas à Tréguier, mais à la villa Rosmapamon, à Louannec. C’est là qu’il écrit ses dernières œuvres. Devenu administrateur du Collège de France, il quitte le Trégor une dernière fois le 18 septembre 1892, pour mourir « chez lui » au Collège de France. Il s’éteint le 2 octobre 1892, entouré de ses proches.

dimanche 26 février 2023

 

Illusion d’optique : Si vous repérez les 4 femmes dans cette image, votre QI est supérieur à la moyenne ! 


Les illusions d’optique sont des phénomènes fascinants qui défient notre perception visuelle et mettent à l’épreuve nos compétences cognitives.

L’une des illusions d’optique les plus récentes à attirer l’attention en ligne est l’image d’un paysage qui cache quatre femmes. Selon certaines affirmations, si vous êtes capable de repérer les quatre femmes dans l’image, cela indique que votre QI est supérieur à la moyenne.

Bien que cela puisse sembler être une affirmation audacieuse, cela soulève la question de savoir dans quelle mesure les illusions d’optique peuvent être utilisées pour mesurer l’intelligence et la cognition. Dans cet article, nous explorerons cette illusion d’optique et tenterons de trouver les quatre femmes cachées dans l’image.

Nous examinerons également les théories et les processus mentaux impliqués dans la perception visuelle, ainsi que les implications de ces tests pour notre compréhension de l’intelligence et de la cognition. Prêt à relever le défi et à tester votre QI visuel ?

Votre objectif : trouver les 4 femmes cachés dans le dessin !

Vos yeux ne vous jouent pas de tours, il y a plus d’une femme sur cette image, en fait il y en a quatre.

Oleg Shupliak est un artiste ukrainien spécialisé dans les illusions d’optique, y compris les têtes de portrait imaginatives appelées Hidden Images.

Il y a quatre femmes à l'intérieur de cette image, pouvez-vous toutes les repérer ?
Il y a quatre femmes à l’intérieur de cette image, pouvez-vous toutes les repérer ?

Indices et réponses de cette illusion d’optique

Cette pièce surréaliste, intitulée Four Women, a été créée par Shupliak en 2013. À première vue, il semble qu’une femme parle au téléphone.

Cependant, en regardant la main de la femme près de sa joue, vous remarquerez une autre femme sur sa paume.


Trouver la troisième femme est un peu délicat. En regardant la petite femme sur le bras, vous pourriez voir la forme d’un nez, d’yeux et d’une paire de lèvres.

Pour voir la troisième femme, vous devez regarder le profil latéral, c’est pourquoi il est un peu difficile à distinguer au début.

Sur le site Web de Shupliak, il existe une version rapprochée de l’image afin que les téléspectateurs puissent facilement voir la troisième femme.

Trouver la quatrième femme est assez facile.

Vous remarquerez que sur le ventre de la première femme se trouve une paire de lèvres et que l’image entière est une femme elle-même.

Shupliak crée de nombreuses illusions similaires à celle-ci, dont une qui ressemble à Marilyn Monroe.

Les illusions d’optique comme cette image sont populaires en ligne, en particulier les illusions qui prétendent dire aux téléspectateurs quelque chose sur leur personnalité ou leurs traits de caractère.

On dit que d’autres illusions donnent une idée du traitement mental qui fournit notre expérience du monde visible.

Certaines illusions d’optique dépendent de préjugés et d’associations, et tout le monde ne les voit pas de la même manière.

vendredi 24 février 2023

EDLINGER

  Edlinger, la liberté au bout des doigts, de Nils Martin, 51 mn. Sur France.tv.

 Une vie au-dessus du vide, de Nicolas de Virieu, 26 mn. Sur l’Équipe Explore.
r La Vie au bout des doigts, de Jean-Paul Janssen. Sur YouTube. 
r Opéra vertical, de Jean-Paul Janssen. Sur YouTube.


Sur la voie de Patrick Edlinger, l’ange blond de l’escalade moderne


Jérémie Couston

Le mythe Patrick Edlinger naît avec le documentaire  « Opéra vertical » dans lequel Jean-Paul Janssen le filme trois cents mètres au-dessus du vide et toujours en solo, plus libre que jamais.

Le mythe Patrick Edlinger naît avec le documentaire « Opéra vertical » dans lequel Jean-Paul Janssen le filme trois cents mètres au-dessus du vide et toujours en solo, plus libre que jamais.

Photo Jean-Paul Janssen

Il fut à l’escalade ce que Noah fut au tennis dans les années 1980 : une “roc star” ! Dix ans après sa disparition, plusieurs documentaires disponibles en replay retracent l’ascension de ce grimpeur mythique bravant les parois à mains nues et en solo.

Dix ans après sa disparition accidentelle, que reste-t-il de l’ange blond ? De sa grâce, de sa simplicité, de la révolution silencieuse qu’il a largement contribué à initier dans le monde alors méconnu de l’escalade, « sport extrême » encore balbutiant et dépourvu de tête d’affiche. Comment oublier Patrick Edlinger ? Le mythe, la muse, le héros d’une génération de grimpeurs qui ont suivi ses exploits et ont tenté de l’imiter, de poser leurs pas dans les siens, avec, bien sûr, moins d’élégance, moins de souplesse, deux qualités rares qui forgèrent la légende de celui qui ne considérait une voie réussie que si elle était parcourue dans un style parfaitement délié, presque de la danse verticale.

Difficile d’imaginer ce qu’a pu représenter Patrick Edlinger dans les années 1980. Pour les néophytes comme pour les spécialistes. Il fut la première « roc star » ! Deux récents et émouvants documentaires remontent aux origines de l’emballement des Français et des médias pour l’adonis de Toulon en exhumant les mêmes (rares) archives et en donnant parfois la parole aux mêmes témoins : grimpeurs d’hier et d’aujourd’hui, compagnons de route et de cordée, amis d’enfance et rivaux éternels, tous unanimes sur le bouleversement intime et collectif qu’il a provoqué.

Mis en ligne le 3 janvier sur L’Équipe Explore (accessible par abonnement ou avec un compte MyCanal), Une vie au-dessus du vide, de Nicolas de Virieu, propose une entrée en matière parfaite en vingt-six minutes chrono. Si vous ignorez tout du mythe Edling’ (prononcez à la française, éd-linge), ce « zakouski » fait le tour du sujet de la plus belle manière, en retournant sur les lieux où la première idole de l’escalade moderne naquit : dans le vallon de l’Aiguebrun, sur la falaise de Buoux, en Provence.

Un archange blond au sommet

Patrick Edlinger est en effet passé de l’ombre à la lumière grâce à un documentaire culte signé Jean-Paul Janssen, La Vie au bout des doigts, tourné sur cette falaise du Luberon, en 1982. Silhouette élancée, muscles saillants, longs cheveux blonds, un bandana rouge sur le front, le jeune grimpeur, à peine 20 ans, sortait du camion qui lui servait alors de maison, avalait un yaourt au chocolat et se lançait à l’assaut de la paroi gris-ocre. « À mains nues », comme s’émerveillaient les journalistes à l’époque, plus habitués à commenter les exploits d’alpinistes emmitouflés. À mains nues mais surtout en solo intégral, la discipline ultime de l’escalade, sans corde ni droit à l’erreur, sommet de concentration et d’humilité. Communion avec le rocher. Transe ascensionnelle, proche de la méditation. Un archange passe. Une étoile est née.

Très vite après ce premier court métrage, diffusé dans l’émission Les carnets de l’aventure, sur Antenne 2, et récompensé d’un 7 d’or (les éphémères César de la télé), Jean-Paul Janssen tourne un film jumeau dans les gorges du Verdon, Opéra vertical. On y retrouve Edlinger « en plein gaz », trois cents mètres au-dessus du vide, toujours en solo, mains et pieds nus cette fois : dans une scène iconique, il se débarrasse de ses chaussons et grimpe au son d’un sublime aria de Bach, Wie furchtsam wankten meine Schritte (« que mes pas étaient chancelants et craintifs »), un titre en forme de pied de nez à la confiance en soi dont le nouveau Messie semble jouir en remontant la dalle de calcaire avec la légèreté d’un lézard.

Le succès phénoménal de ces deux films, qui totaliseront dix-neuf millions de téléspectateurs en France mais dont le retentissement sera mondial, fait découvrir l’escalade au grand public et hisse l’inconnu d’hier au niveau de notoriété des plus grands sportifs des années 1980, les Platini, Noah, Hinault ou Prost. Tout le monde s’arrache l’archange qui sait faire des tractions sur l’auriculaire : Michel Drucker, en costume crème à pattes d’eph, l’invite à parader à Champs-Élysées ; Jacques Chancel touche les mains épaisses du jeune prodige dans Le grand échiquier, sous le regard d’un Serge Lama ébahi. En 1984, Patrick Edlinger est même sacré personnalité préférée des Français par les lecteurs de Paris Match, aux côtés du benjamin des Premiers ministres, Laurent Fabius, et des (futures) stars du grand écran, Sophie Marceau et Gérard Depardieu. Dans l’histoire du sport en général et de l’escalade en particulier, une telle trajectoire demeure inédite, et ne s’est jamais reproduite.

Patrick Edlinger, invité de Michel Drucker invite pour « Champs-Élysées ». Image extraite du documentaire « Une vie au-dessus du vide », de Nicolas de Virieu.

Patrick Edlinger, invité de Michel Drucker invite pour « Champs-Élysées ». Image extraite du documentaire « Une vie au-dessus du vide », de Nicolas de Virieu.

L’Équipe Explore

Signe des temps et, sans doute, de la perte d’intérêt des grands médias et chaînes de télévision pour le mythe Edlinger, le film de Nils Martin, Edlinger, la liberté au bout des doigts, n’a été montré que sur France 3 Auvergne-Rhône-Alpes et n’a pas encore eu les honneurs d’une diffusion linéaire nationale. Il est heureusement disponible en replay sur le site de France.tv et permet de rentrer un peu plus dans l’intimité du grimpeur pour comprendre sa personnalité, sa vision si intense de la vie, sa philosophie, oserions-nous, même si l’intéressé s’est toujours gardé de donner la moindre leçon et a su, tout au long de sa carrière, rester fidèle aux principes de l’existence libre et modeste (ou modeste car libre) qu’il s’était fixés à 17 ans quand il choisit de quitter le lycée pour vivre sa passion sans concession : grimper tous les jours suffisait à son bonheur. « Pour moi, l’escalade n’est pas un sport, c’est un mode de vie », déclarait-il dans La Vie au bout des doigts, avant de vanter une sobriété heureuse et une vie proche de la nature frisant l’anachronisme dans la société de (sur) consommation des années Burlington : « C’est intéressant à l’époque dans laquelle on vit d’avoir de petits besoins. »

Avec Edlinger, l’escalade s’émancipe de l’alpinisme

Si Edlinger reste un exemple dans le milieu de l’escalade, chez les jeunes et les moins jeunes, il le doit à cette intransigeance. Dans le beau film de Nils Martin, respectueux du mythe sans jamais succomber à l’hagiographie, trois générations de grimpeurs français, qui marquèrent aussi leur époque à bien des égards : Catherine Destivelle (née en 1960), Antoine Le Menestrel (né en 1965), Arnaud Petit (né en 1971) et Seb Bouin (né en 1993), voient en Edlinger un pionnier, un frère, un parrain, un promoteur charismatique de l’escalade dite libre car libérée de sa dépendance à l’aide artificielle de la quincaillerie trimballée par l’alpiniste pour se hisser au sommet coûte que coûte. Privilégiant l’esthétique sur l’efficacité, la beauté de l’itinéraire et la difficulté des mouvements au détriment de la vitesse, l’escalade s’est imposée, dans le sillage d’Edlinger, comme une discipline autonome, définitivement émancipée de l’alpinisme.

Devenue sport olympique aux JO de Tokyo en 2021, en forte croissance auprès des jeunes citadins, l’escalade connaît aujourd’hui une nouvelle mutation qui ne manque pas d’interroger les admirateurs du grand blond avec des chaussons noirs et un bandana rouge. Bien au chaud sur les tapis de son bloc park, n’ayant souvent jamais enfilé un baudrier ni senti le calcaire, le grès ou le granite crisser sous la gomme de ses balerines, l’homo grimpus urbanus aurait tout à gagner à se pencher sur le destin de Patrick Edlinger, la première et l’unique vedette de l’histoire moderne de l’escalade. Son héritage reste une constante source d’inspiration pour tout curieux épris d’espace, de nature et de liberté.

mardi 21 février 2023

 

Réalisé par Stefan Scaini,”Moriah’s Lighthouse”est un film romantique basé sur Serena Roman éponyme de B. Miller en 2017. Le film suit Moriah, une artiste travaillant le bois dans une petite ville balnéaire de France, où sa famille vit depuis des générations. Moriah rêve de restaurer le phare local, mais ses projets semblent vains avec l’arrivée de Ben, un architecte américain. Il s’avère que Ben a été embauché par le propriétaire actuel du phare pour repenser l’endroit. Cependant, Moriah se rend vite compte que tout n’est peut-être pas perdu.

Tous les acteurs font un travail phénoménal pour donner vie à l’histoire. Cependant, c’est peut-être le côté visuel du film qui attire vraiment le public, avec des lieux pittoresques en bord de mer. On comprend facilement pourquoi Moriah aime tant sa ville, compte tenu de sa beauté et de son charme. Beaucoup ne peuvent s’empêcher de se demander où le film a été tourné pour capturer des scènes aussi époustouflantes. Eh bien, voici ce que nous savons de la même chose !

Lieux de tournage du phare de Moriah

Une partie de”Summer Nights”de Hallmark,”Le phare de Moriah”a été tourné principalement en Bretagne, en France. La photographie principale du film a commencé le 30 mars 2022 et a duré jusqu’au 15 avril de la même année. Examinons de plus près les endroits spécifiques où le film a été enregistré.

Bretagne, France

Située sur la côte ouest de la France, la région de La Bretagne a servi de lieu de tournage pour”Le phare de Moriah”de Hallmark. Le film se déroule dans une ville balnéaire en France. Les producteurs ont donc décidé que le meilleur itinéraire pourrait être de filmer dans ce charmant pays. Castel Beau Site, un hôtel du 137 rue Saint-Guirec à Perros-Guirec, a accueilli la production de plusieurs scènes du film romantique.


Un autre lieu de tournage majeur sur la commune de Perros-Guirec était le phare de Ploumanac’h, alias le phare de Mean Ruz. L’emplacement a été utilisé pour enregistrer plusieurs scènes qui nécessitaient le phare de Moriah comme toile de fond. Le bâtiment est en granit rose et surplombe la Manche. Le phare est en fait un remplacement de la structure d’origine qui a été détruite pendant la Seconde Guerre mondiale par les troupes allemandes. Le phare offre également une vue directe sur le Château de Costaérès, un château néo-médiéval sur l’île de Costaérès.

Rochefort-en-Terre, commune de Bretagne, a également accueilli la production du film. La plupart des bâtiments de la région sont de style médiéval. L’atmosphère historique et charmante a fait de Rochefort-en-Terre le lieu idéal pour filmer des scènes du film Hallmark. La commune est labellisée Petite Cité de Caractère, label touristique non officiel, pour son patrimoine authentique et diversifié. Le château au milieu de la commune a abrité le peintre américain Alfred Klot, qui a lancé le processus de restauration. Actuellement, les locaux abritent le musée Naïa, du nom d’une sorcière du début du XXe siècle. Le musée abrite plusieurs œuvres d’art uniques de différentes variétés.

La région de la Bretagne est en fait de nature péninsulaire, avec la Manche au nord, tandis que le golfe de Gascogne fait jusqu’à sa frontière sud. La Bretagne est riche en géographie et en histoire. Il tire son nom des Britanniques qui ont fui les îles anglaises en raison des envahisseurs anglo-saxons à l’âge des ténèbres. La culture bretonne est donc un amalgame des cultures britannique et française. Parmi les autres films produits en Bretagne, citons”Rise”et”The Vikings”.

La distribution du phare de Moriah

Rachelle Lefevre reprend le rôle de Moriah, l’actrice principale du film. L’actrice est bien connue pour son travail dans”Twilight”et”Big Wolf on Campus”. En face d’elle, l’architecte américain Ben est Luke Macfarlane. Vous avez peut-être vu l’acteur dans”Single All the Way”et”Christmas in My Heart”. L’actrice Valeria Cavalli apparaît dans le rôle de Catherine, tandis que Serge Dupire incarne Nicholas.”Moriah’s Lighthouse”comprend également Duncan Talhouet (Jacques), Caroline Marcos (Brigitte), Jerry Di Giacomo (Maurice) et Catherine Hubeau (Anastasia).



 Le naufrage du porte-avions Foch, un "crime environnemental" au fond de l’océan


Le porte-avions Foch, fleuron français passé sous pavillon brésilien en 2000, a été coulé dans l'océan Atlantique. Vétuste, trop endommagé, refusé dans tous les ports du monde, le navire pourtant hautement toxique, va désormais contaminer l'écosystème marin. Amiante, PCB, métaux lourds... les ONG dénoncent un "crime environnemental" alors que le naufrage du navire aurait violé au moins trois traités environnementaux.

Porte avions foch naufrage AFP

Amiante, peinture, métaux lourds... le porte-avions Foch va contaminer l'écosystème marin, alertent les ONG.

AFP


C’est un navire hautement polluant qui se retrouve volontairement au fond de l’océan Atlantique. Le 4 février, la marine brésilienne a en effet annoncé avoir coulé l’ancien porte-avions français Foch. Le "naufrage planifié et contrôlé s'est produit en fin d'après-midi" à quelque 350 km des côtes brésiliennes, dans une zone d'une "profondeur approximative de 5 000 mètres", a indiqué la marine dans un communiqué.  


Problème : ce navire représente un "colis toxique de 30 000 tonnes", dénonce l’association Robin des Bois. Selon le Bassel Action Network (BAN), coalition d’ONG environnementales, le navire va contaminer l’écosystème marin avec environ 760 tonnes d’amiante dangereux, plus de 300 tonnes de PCB (biphényles polychlorés) et un tonnage supplémentaire de métaux lourd chargés de peinture. 

Trois traités environnementaux violés 


"Nous sommes sous le choc car nous avons demandé à la marine brésilienne de simplement ramener le navire à une base navale pendant des mois, pour obtenir une enquête appropriée sur les matières dangereuses à bord", a déclaré Jim Puckett du Basel Action Network (BAN). "Maintenant, il est devenu clair qu'ils préfèrent contaminer l'environnement et perdre des millions de dollars pour éviter de permettre un examen plus approfondi du véritable contenu du navire. Le naufrage était totalement inutile." 



vendredi 17 février 2023

 1° jour 20/10/1973 - Tricentenaire de la mort de Molière.





Carte : Simonin : "Le Vray portrait de M. de Molière en costume de Sganarelle".

Collection privée Etienne.

LE COIN DES CURIOSITÉS

 

Les animaux les plus insolites aux Antilles

animaux insolites

Lors d’un voyage aux Antilles, vous pourrez admirer un grand nombre d’animaux merveilleux et insolites. Cette région regorge d’espèces incroyables qui sont à découvrir. Que ce soit pour les amoureux de la faune ou de la flore, les Antilles offrent des paysages variés et des animaux rares à observer.

Les poissons des mers cristallines

Les Antilles sont célèbres pour leurs eaux turquoise et cristallines, qui offrent un monde sous-marin riche et varié. Vous pourrez y observer de nombreux poissons multicolores, des raies, des hippocampes, des requins ou encore des tortues marines. Vous pourrez également admirer des poissons plus insolites comme le poisson-perroquet, le poisson-ange ou le poisson-clown.

Les oiseaux de paradis

Les oiseaux sont très présents aux Antilles et plus particulièrement les oiseaux de paradis. Avec leurs couleurs vives et leurs plumes luxuriantes, ils sont très appréciés des touristes. Vous pourrez les observer dans les forêts tropicales ou dans les réserves naturelles. Les oiseaux de paradis sont très communs aux Antilles et ils peuvent être facilement observés dans leur habitat naturel.

Les singes moustachus

Les singes moustachus sont l’une des espèces les plus insolites que l’on peut observer aux Antilles. Ces petits primates sont très sociables et communicatifs et ils sont très appréciés des touristes. Ils sont très curieux et sont très intéressés par les humains qui les observent. Vous pourrez les observer dans les réserves naturelles ou les parcs nationaux.

singe moustachu

Les papillons exotiques

Les Antilles regorgent de couleurs et de vie, et les papillons exotiques en font partie. Ces petits insectes sont très communs et très présents aux Antilles. Vous pourrez les observer dans les jardins, les forêts tropicales ou les réserves naturelles. Les papillons exotiques sont très colorés et très attrayants et leur présence est un véritable plaisir pour les yeux.

Les grenouilles exotiques

Les grenouilles sont très communes aux Antilles et certaines sont très exotiques et insolites. Vous pourrez facilement les observer dans les réserves naturelles ou les jardins. Ces petits amphibiens sont très colorés et leur présence est un véritable spectacle. Vous pourrez observer des grenouilles vertes, jaunes, oranges ou même bleues !

Les Antilles regorgent d’espèces incroyables et insolites. Les poissons merveilleux, les oiseaux de paradis, les singes moustachus, les papillons exotiques et les grenouilles colorées sont à découvrir lors d’un voyage aux Antilles. Ces merveilles de la nature sont à admirer et à protéger afin de préserver la biodiversité de ces magnifiques îles.

jeudi 9 février 2023

ROYALS

La princesse d’Orange vient de vivre deux semaines exceptionnelles, au cours desquelles elle a visité les six territoires qui faisaient autrefois partie des Antilles néerlandais. Aujourd’hui, trois de ces territoires sont des communes d’outre-mer des Pays-Bas et trois sont des États autonomes constitutifs du royaume des Pays-Bas. Le voyage de la princesse Amalia, entourée par ses parents, a pris fin ce jeudi 9 février sur l’île de Saba.



Voyage dans les six territoires caribéens, anciennes colonies néerlandaises.


Six territoires sont encore liés aux Pays-Bas. Trois îles sont des communes à part entière des Pays-Bas (Saba, Bonaire et Saint-Eustache), en raison de leur petite taille, alors que les trois îles plus peuplées (Aruba, Curaçao et Saint-Martin) sont devenues des États autonomes constitutifs du royaume des Pays-Bas.


Le festival Bon Bini à Oranjestad un événement culturel et folklorique sur l'île de ARUBA dans les anciennes Antilles néerlandaises.


Saba, Saint-Eustache et Saint-Martin sont dans les Iles du Vent, en pleine mer des Caraïbes, contrairement aux Îles Sous-le-Vent, qui sont situées plus proche de l’Amérique du Sud, près du Venezuela.

Bonaire, Aruba et Curaçao sont situées dans l’archipel des Îles Sous-le-Vent.