Célébrer la France d’hier, sa grandeur, ses beautés, sa gloire, ses richesses, ses traditions, sa civilisation, est devenu un «bonheur suspect». Attention, on ne vous parle pas que de Clovis, Louis XI, Voltaire, Pasteur ou Rimbaud, mais même du XXe siècle ! Pour avoir osé être le chef de file du spectacle d’ouverture de la coupe du monde de rugby en France mettant en avant la France de 1954 (quand nos Bleus avaient battu les All Blacks...), Jean Dujardin, à son grand étonnement et désarroi, a reçu une volée de bois rose et rouge de responsables politiques et médiatiques de gauche qui ne songent qu’à faire du passé national table rase. Une attaque survenue juste après la diffusion sur le service public d’un documentaire à charge, salissant et démolissant la magnifique entreprise historico-divertissante du Puy-du-Fou. Et un mois après que notre monument national de la chanson française Michel Sardou se soit fait lui-même démolir par une artiste-interprète dont la carrière commence à peine. Autant de symboles du sentiment de toute-puissance d’une certaine «élite parisienne», s’insurge Guillaume Roquette. Il n’y a plus qu’à espérer que la tournée de Michel Sardou qui débute dans trois semaines soit un triomphe, que Le Puy-du-Fou glane un nouveau titre de champion du monde des parcs d’attractions et que le XV de France défile sur les Champs-Elysées noirs de monde après avoir gagné la coupe du monde pour que le réel |
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