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vendredi 7 juin 2019
ACTUALITÉ
Ce que l’archéologie nous apprend sur le débarquement de Normandie
L’archéologie apporte un nouveau regard sur le conflit. Mais l’étude d’événements récents peut également éclairer la discipline. Exemple dans une carrière de Fleury-sur-Orne (Calvados).
Douze mètres de descente le long d’une échelle fixée à un puits d’aération creusé dans le calcaire. En bas, à la lumière des lampes frontales, on devine des éléments en briques, les restes d’une installation électrique…
Le service de prévision des ouragans de l'université du colorado, dirigé par Philip J. Klotzbach1 a publié ce jour ses dernières prévisions pour l'année 2019.
Elles sont en légère augmention par rapport à celles d'avril, soit une prévision de 13 tempêtes nommées (54 jours), 5 ouragans dont 2 majeurs (25 jours). Pour ceux qui veullent lire l'étude complète c'est ICI
EXTENDED RANGE FORECAST OF ATLANTIC SEASONAL HURRICANE
ACTIVITY AND LANDFALL STRIKE PROBABILITY FOR 2019
We have increased our forecast slightly and now believe that 2019 will have
approximately average activity. There remains considerable uncertainty as to whether El
Niño conditions will persist through the Atlantic hurricane season. The tropical Atlantic
has warmed slightly faster than normal over the past few weeks and now has nearaverage
sea surface temperatures. We anticipate a near-average probability for major
hurricanes making landfall along the United States coastline and in the Caribbean. As is
the case with all hurricane seasons, coastal residents are reminded that it only takes one
hurricane making landfall to make it an active season for them. They should prepare the
same for every season, regardless of how much activity is predicted.
(as of 4 June 2019)
By Philip J. Klotzbach1, Michael M. Bell2, and Jhordanne Jones3
In Memory of William M. Gray4
This discussion as well as past forecasts and verifications are available online at
http://tropical.colostate.edu
Anne Manning, Colorado State University media representative, is coordinating media
inquiries into this forecast. She can be reached at 970-491-7099 or
Le 1 juin dernier marquait les 10 ans de la disparition de l'Airbus d’Air France qui reliait Rio de Janeiro à Paris.
Ce crash dans lequel 228 personnes ont péri, est la plus grande catastrophe aérienne de l’histoire de la compagnie française.
Durant plus de 2 ans les raisons de cet accident restent inconnues. Disparu au beau milieu de l’océan atlantique, dans une zone où les profondeurs atteignent parfois les 6000 mètres, la recherche de l’avion est un véritable défi.
Pour pouvoir donner une explication aux familles de victimes, mais aussi pour permettre à la sécurité aérienne de ne plus faillir, les enquêteurs chargés de retrouver l’épave et ses précieuses boîtes noires se lancent dans une opération longue et périlleuse. Cette quête d’une nécessaire recherche de la vérité sera marquée par d’improbables rebondissements, d’impensables maladresses mais aussi un dénouement que finalement plus personne n’osait espérer. Un tragédie qui encore aujourd’hui n’en finit plus de faire parler.
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Message émis le: 01.06.2019 à : 11h00 locale
Bonjour
Alors que la Guadeloupe et la Martinique sont en vigilance jusqu'à ce dimanche pour fortes pluies et orages au passage d'une onde tropicale, c'est aujourd'hui le premier jour de la saison des ouragans 2019.
De nouvelles prévisions pourla saison seront disponibles dans le courant de la semaine.
A lire cet été, tranquillement dans son jardin, dans un parc, au bord de l’eau, à la terrasse d’un café… Une sélection de livres qui enrichissent et éclairent notre vie quotidienne… Des amis qui vous accompagneront parce que "la lecture est une amitié" comme l’écrivait Proust…
« Effondrement », par Jared Diamond, Folio, février 2009.
le nouveau Fabcaro, « Open Bar, 1ère tournée », toujours aussi formidable.
Pourquoi écrire, de Philip Roth. Parce que c’est bourré d’inédits qui rappellent toute sa malice, et donnent envie de relire toute son oeuvre.
Rimbaud Warriors, de Richard Gaitet. Le récit loufoque et poétique d’une bande de joyeux drilles qui refont à pied les 111 bornes de la fugue d’Arthur Rimbaud, de Charleville à Charleroi.
« Nomadland », de Jessica Bruder. Essai sur les nouveaux nomades de l’Amérique, jetés hors de chez eux par la crise de 2008, et qui ont su reconstruire leurs rêves et une forme de contre-culture.
« Le gourmet solitaire ». Parce que le livre allie la beauté du trait de Taniguchi à l’exotisme gustatif de la cuisine nippone.
« Le mythe de Sisyphe ». Parce que le combat contre le changement climatique paraît énorme, mais qu’il faut imaginer Sisyphe heureux. En gros.
Et n’importe lequel des recueils d’anagrammes de Jacques Perry-Salkow. Parce qu’il est bon de guérir de l’absurde du monde par davantage d’absurde encore. Et qu’il a toujours des trouvailles incroyables !
Yves Cusset, le génial et très drôle Réussir sa vie du premier coup, l’anti-manuel de DP. Flammarion.
Crier, parler, chanter de Perrine Hanrot chez Premier Parallèle, 2019.
Héroïques d’Inna Shevchenko ed. Les Échappés.
Histoire de moi-même, Henry D. Thoreau ed. Le Passeur.
Lab girl de Hope Jaheren, ed. Quanto.
I am I am I am de Maggie O' Farrel ed.Belfond.
Aïe mes aïeux ! d'Anne Ancelin Shutzenberger chez JC Lattes, 2018.
Comme par magie"- Elizabeth Gilbert, 2017.
Qui a piqué mon fromage? de Spencer Johnson, 2000.
Au coeur des 5 langages de l'amour de Gary Chapman.
Paolo Cognetti, Sans jamais atteindre le sommet, chez Grasset (C’est une marche dans l’Himalaya où il a le mal de la montagne, sympa).
Toute la réédition des Maigret, illustrée par Loustal en Omnibus (ce n’est pas de la fiction c’est de l’étude sociale).
Mes maisons d’écrivains par Evelyne Bloch Dano chez Stock.
Le cahier de recettes de Jacky Durand chez Stock.
La bible Larousse des secrets de nos grands-mères de Martina Krcmar, aux éditions Larousse, 2018.
Ciné Club Sandwich.
Le grand livre du parfum par le Collectif de Nez.
Sempé, Itinéraire d’un dessinateur d’humour, textes de Marc Lecarpentier (Editions Martine Gossieaux).
En camping-car de Yvan Jablonka – Points Seuil Poche.
Les critiques cinéma de François Truffaut dans Arts – Gallimard
Bruno Patino, directeur éditorial France d'Arte et auteur de "La civilisation du poisson rouge : petit traité du marché de l'attention".
Le titre du livre de Bruno Patino fait référence au poisson et à l’attention d’un poisson rouge "qui est de 8 secondes". "Un employé de Google", explique Bruno Patino, "m’a dit que le temps d’attention des millenium est de 9 secondes"
Les poissons rouges, c’est nous, et le bocal, ce sont nos écrans
"Nous les plus jeunes on a besoin d’être sur-sollicités toutes les neufs secondes, ce à quoi s’emploient beaucoup de services numériques",dit Bruno Patino.
Par Francois VANNUCCI, professeur émérite, chercheur en physique des particules, spécialiste des neutrinos (Université Paris Diderot)
La théorie de la relativité générale a pu être vérifiée le 29 mai 1919. Une découverte majeure dans l’histoire de la science, qui fit les gros titres dans les médias du monde entier et forgea la légende d’Albert Einstein (1879-1955).
Le 29 mai 1919, la théorie de la relativité générale bâtie par Albert Einstein à partir de 1915 était vérifiée de manière spectaculaire.
Dès 1905, Einstein s’était illustré avec sa relativité restreinte qui postulait l’invariance de la vitesse de la lumière dans le vide, toujours égale à c = 299 792 458 m/s. La relativité restreinte concerne les transformations entre deux repères en translation uniforme l’un par rapport à l’autre. Le temps s’écoule différemment pour le chef de gare sur le quai qui voit passer le train et pour le voyageur assis dans le même train.
Ceci est vérifié avec les muons cosmiques produits à 20 km au-dessus de nos têtes et qui nous bombardent constamment. L’espérance de vie d’un muon au repos est de 2?s, ce qui, sans relativité, permettrait un parcours moyen de 600 mètres à la vitesse c. Mais les muons peuvent voyager beaucoup plus, car leur temps de vie semble très allongé pour un observateur terrestre : un muon portant une énergie 10 fois supérieure à sa masse parcourt en moyenne 6 km, distance suffisante pour que beaucoup arrivent jusqu’à terre.
La relativité restreinte est donc bien vérifiée. Mais dans le monde réel, il existe des accélérations, c’est-à-dire des changements de vitesse en amplitude ou direction. Einstein chercha à étendre la validité de sa théorie à ces nouvelles situations. Il réalisa ce programme en développant la relativité générale.
Dans ce cadre, la gravitation n’est plus une force mais une manifestation de la déformation de l’espace-temps causée par la présence de masses qui tordent l’espace ; la ligne droite n’est plus le plus court chemin entre deux points, la lumière suit des trajectoires courbes, les géodésiques.
De la puissance de la pensée abstraite
En science, deux voies complémentaires amènent au progrès. La première, pragmatique, s’appuie sur des mesures qu’il faut comprendre, la seconde, théorique, se fonde sur la réflexion pure.
C’est la voie qu’adopte Einstein, théoricien par excellence, qui imagine des expériences de pensée. Ainsi, une balle lâchée dans une cabine fermée immobile sur Terre subit la force de gravitation P = mg (m : masse de la balle, g : la force de gravité de la Terre). Suivons maintenant la balle dans une cabine propulsée dans l’espace avec une accélération a. Elle est sujette à la force de Newton F = ma. Si a = g la balle suivra la même trajectoire dans les deux cabines. C’est le principe dit d’équivalence expérimentalement vérifié avec une très grande précision.
Mais alors qu’en est-il de la lumière ? Dans la cabine accélérée, elle est courbée par le déplacement de l’enceinte. En effet, un faisceau émis parallèlement au plancher est dévié du fait du mouvement ascensionnel de la cabine. Einstein spécule : il doit en être de même dans la cabine subissant la gravitation, celle qui demeure au repos sur la Terre. La lumière subirait donc la gravitation ? Il y aurait attraction entre rayonnement et matière, et pourtant les photons sont des particules sans masse !
Comment vérifier cette hypothèse ? Bien sûr, il faut disposer d’une masse aussi élevée que possible pour espérer un effet, Einstein suggère l’attraction d’un rayon lumineux provenant d’étoiles quand le trajet frôle le Soleil. Une éclipse solaire pourrait donner les bonnes conditions d’expérimentation. Le physicien calcule la déflexion d’un rayon soumis à une telle épreuve, le résultat s’avère exploitable.
Et voici Eddington
L’astronome Eddington vivait en Angleterre quand Einstein présenta sa théorie de la relativité générale devant l’Académie des Sciences de Prusse en 1915. Les deux pays se faisaient la guerre et les communications directes avaient cessé. Mais Eddington était ami de l’astronome De Sitter qui résidait en Hollande pays alors neutre. De Sitter reçut copie du travail d’Einstein, et passa l’information à Eddington en 1916. Ce dernier s’émerveilla devant l’élégance de l’idée, et immédiatement commença à la propager. Dans un rapport à l’Académie Royale, il insiste sur l’importance de tester la théorie en mesurant la courbure prédite.
Une éclipse solaire était annoncée le 29 mai 1919, l’ombre totale devant se propager du Brésil à l’Afrique de l’Ouest, il fallait en profiter. Deux expéditions furent montées, une commandée par Eddington alla en Guinée espagnole, et la seconde au Brésil.
Pendant une éclipse, la Lune occulte le Soleil, il est alors possible d’apercevoir les étoiles autrement invisibles du fait de l’éblouissante lumière envoyée par notre astre. Si le rayon lumineux voyage en ligne droite, la carte du ciel est inchangée, avec ou sans Soleil interposé. Si la théorie proposée est correcte, la lumière se courbe quand elle passe à proximité de l’astre, et sur Terre on reconstruit une position décalée par rapport à la position vraie. Le Soleil produit une sorte de mirage et on détecte des étoiles en fait cachées derrière lui.
Ainsi pour un observateur, les étoiles semblent se déplacer sur le fond du ciel pendant la durée de l’éclipse. Il s’agit donc de prendre une photo des objets visibles au moment du phénomène et comparer à la carte obtenue par une nuit normale quand la lumière suit une trajectoire rectiligne. Les images des étoiles sont d’autant plus affectées qu’elles passent près de l’astre, la déflexion étant proportionnelle à la masse opérante et inversement proportionnelle à la distance d’approche.
Des aléas de la météorologie
Les deux expéditions partirent en février 1919. En juin, l’Académie Royale reçut deux télégrammes. Celui envoyé d’Afrique se plaignait d’un temps nuageux, celui du Brésil annonçait : « Éclipse splendide ». L’analyse des émulsions photographiques commença.
Le 6 novembre 1919, une session spéciale de l’Académie fut convoquée. Le résultat du Brésil, avec sept étoiles bien identifiées, mesura une déflexion de 1,98 ± 0,16 seconde d’arc ; le calcul d’Einstein prédisait 1,74. Ce fut un immense déferlement d’enthousiasme. L’espace n’est plus rigide, il est flexible, il dépend des masses qui s’y trouvent, il se déforme comme un filet sous l’effet de poids distribués ; la ligne droite définie par la lumière se courbe, et en parallèle le temps s’écoule différemment sur Terre et en altitude, une horloge ralentit si elle est voisine d’une masse comme si elle subissait une friction.
Le Times de Londres publia un long article au titre accrocheur : « Révolution en science : une nouvelle théorie de l’Univers ». Deux jours plus tard, le New York Times renchérit : « La théorie d’Einstein triomphe, l’espace est tordu ».
Et jour après jour, tous les médias répétèrent l’écho de la déroutante découverte et esquissèrent la théorie ainsi glorieusement validée. Graduellement, la presse renforça le rôle d’Einstein comme génie et héros. C’était le savant tout trouvé : le personnage se prêtait à la communication, donnant l’image d’un professeur sans arrogance, perdu dans des idées un peu extravagantes. Il personnifiait à merveille le rôle du chercheur la tête dans les étoiles, et le public appréciait. Il savait d’ailleurs jouer de son succès auprès des foules, et se laissait complaisamment photographier en tirant la langue.
Avec son physique de distrait inoffensif, il maniait l’humour et ne se prenait pas au sérieux. D’autant que ses vues politiques, en particulier son pacifisme largement mis en avant, démontraient qu’il n’appartenait pas tout à fait à l’establishment. Et puis, abattre la théorie de Newton, hégémonique depuis des siècles, semblait renouveler l’ordre ancien qui avait amené au désastre de la guerre.
Invité aux États-Unis en 1921, Einstein y fit un voyage triomphal. Militant pour l’État d’Israël, il fut proposé pour la présidence en 1952, offre qu’il déclinera en arguant que la physique ne prédispose pas à gouverner les hommes.
La relativité générale aujourd’hui
La théorie d’Einstein est plus vivace que jamais et ses équations donnent encore du grain à moudre à une armée de scientifiques. Grâce à elle, la cosmologie qui en découle a complètement renouvelé notre vision de l’Univers.
L’espace n’est plus rigide, il est élastique et dépend des masses présentes en son sein, la ligne droite se courbe, et, en parallèle, le temps s’écoule différemment sur Terre et en altitude. Il est freiné aux abords des masses, un montagnard vieillira plus vite qu’un habitant de la plaine. Et ceci n’est pas pure spéculation : des corrections doivent être appliquées pour profiter au maximum des mesures offertes par les systèmes GPS et maintenant Galileo.
L’attraction gravitationnelle étant 20 fois plus faible au niveau des satellites volant à 20 000 kilomètres que sur Terre, le temps indiqué par des horloges très précises qui y sont embarquées gagne 45 ?s par jour par rapport au nôtre. Cette correction est obligatoire pour obtenir un bon positionnement.
Ironie de l’histoire : le comité Nobel n’a jamais distingué Einstein pour sa théorie de la relativité. Il fut récompensé en 1921 pour son interprétation en 1905 de l’effet photoélectrique qui sert d’assise à la mécanique quantique dont plus tard il critiquera avec acharnement le bien-fondé. Mais le comité se racheta récemment : en 2017, il couronna la découverte des ondes gravitationnelles, brillante prédiction de la relativité générale, d’autant que cette détection a validé l’idée de trou noir, autre avatar de la théorie devenue centenaire.
Fête des mères: la souffrance des femmes sans enfant
La Fête des mères apparaît ainsi comme une journée qui exalte la fécondité mais aussi qui exclut des femmes, en particulier celles qui disent « ne pas avoir eu la chance d’avoir un enfant ». Jeanne, rencontrée à l’hiver 2018 dans le cadre d’un projet de recherche intitulé « Avoir ou non des enfants au Québec », déclarait par exemple que « jusqu’à il y a deux ans, la perspective de la Fête des mères, c’était atroce ».
En recueillant des témoignages de femmes qui n’ont pas eu d’enfant, il m’a ainsi été possible aussi de mieux saisir les représentations associées à la féminité et à la maternité.
Pour les femmes involontairement sans enfant rencontrées, la maternité est apparue comme une phase importante dans la définition de soi et la construction identitaire. Plusieurs femmes ont ainsi déclaré ne pas se sentir complètement accomplies et ressentir un sentiment d’échec parce qu’elles n’ont pas eu la chance de vivre une grossesse.
Elles ont le sentiment d’être passées à côté d’une relation spéciale, comme le lien d’attachement à un enfant que décrivent certaines de leurs amies. Elles ne se sentent pas, comme l’expliquait par exemple Astride, « normale[s], comme les autres femmes, les mères ».
Pourquoi ces femmes ont-elles ces sentiments ? Quel regard portons-nous, en tant que société, sur ces femmes ? Ce qu’elles ressentent et vivent n’est en fait que le reflet d’un système socioculturel qui s’appuie sur des inégalités comme celui d’être fécond ou non, ou sur celles fondées sur le genre, autrement dit sur un modèle culturel nataliste et patriarcal.
Une solution serait peut-être de repenser, de façon critique, le rôle, la place et l’importance de chacun et chacune dans la société. Il s'agit d'assurer l’acceptation complète des itinéraires personnels et contribuer ainsi à éliminer une stigmatisation dont la Fête des mères reste indubitablement le signe.
Le groupe Ludwig von 88 est de retour avec le titre En avant dans le mur", premier extrait du futur album, prévu pour Septembre 2019
Le retour du groupe ultra-alternatif des années 80, mélange d'influences de tous pays, raconteur d'histoire et surout pionnier du punk en France. Voici donc le grand come back avec un album en septembre de Ludwig von 88.
En 1987, juste après les manifestations du mouvement étudiant contre le projet Devaquet, marqué par les violences policières et la mort traumatisante de Malik Oussekine, les Ludwig sortent Les Trois Petits Kepons qui n'ont pas peur de Pasqua
Au départ, ils sont deux chanteurs, Karim Beouka et Bruno Garcia. Après la séparation du groupe en 1999, le premier écrit des romans, le second parcourt le monde sous l'identité de Sergent Garcia, en chantant en espagnol.
BORD A BORD
«Le projet de transformation profonde que je mène pour le pays ne va pas sans une nouvelle étape du projet européen»