lundi 2 août 2021

 


Ivermectine et hydroxychloroquine en mains, Asselineau s'exprime après un test positif au Covid-19

François Asselineau expose à l'écran une boîte d'ivermectine, dans une vidéo mise en ligne le 30 juillet.
Positif au Covid-19, François Asselineau a expliqué s'être procuré de l'ivermectine et de l'hydroxychloroquine. Sans être opposé à la vaccination, il a expliqué qu'il attendrait d'avoir le choix entre des vaccins russe, chinois et français.

«Comme beaucoup de responsables politiques qui ont [eu] le Covid, je me suis arrangé pour me procurer des traitements que monsieur Véran ou monsieur Macron interdisent aux Français mais qu'ils sont les premiers à prendre pour ce qui les concerne [...]. Par l'intermédiaire d'amis, je me suis procuré de l'ivermectine que voici», a affirmé François Asselineau, président fondateur de l'Union populaire républicaine (UPR), dans une vidéo mise en ligne le 30 juillet intitulée «François Asselineau, positif à la Covid-19, va déjà mieux grâce à l'ivermectine».

J'ai l'impression qu'on a énormément gonflé la gravité du variant delta

«Depuis que j'ai pris de l'ivermectine, j'ai senti un mieux», assure l'homme politique depuis son domicile, avant d'exposer à l'écran une boîte de ce médicament, puis de comprimés d'«hydroxychloroquine fabriquée en Chine».

«Je ne dis pas que je suis un modèle à suivre, je dis simplement que cette maladie, telle que je la perçois, ressemble, de mon point de vue, à une grippe assez bénigne [...] Je ne nie pas que ça soit une maladie qui puisse être très grave dans certains cas, mais j'ai l'impression qu'on a énormément gonflé la gravité du variant Delta», explique encore François Asselineau après avoir détaillé les symptômes auxquels il a personnellement été confronté.






«Je me ferai vacciner si nécessaire, le moment venu»

«Je ne suis pas vacciné, j'ai toujours dit que je me ferai vacciner si nécessaire, le moment venu, lorsque j'aurai le choix avec le vaccin russe, le vaccin chinois, le vaccin français», a fait savoir le président de l'UPR, soulignant qu'il ne souhaitait pas être «un cobaye».

Contraint de rester à son domicile pendant les prochains jours, François Asselineau a annoncé qu'il ne pourrait donc pas manifester samedi 31 juillet à Paris contre l'extension du pass sanitaire et la vaccination obligatoire pour certaines professions.

Il a cependant appelé les Français à descendre dans la rue pour manifester, «non pas contre les vaccins par principe, mais pour le libre choix vaccinal et surtout contre le pass sanitaire à la fois absurde, injuste et totalement liberticide».

A en croire des sondages cités par l'AFP, «deux Français sur trois sont favorables au pass sanitaire et à la vaccination obligatoire alors que 23% disent soutenir le mouvement à son encontre». Selon les derniers bilans du Covid-19 à travers le monde, l'épidémie a provoqué au total 112 000 morts en France depuis son apparition sur le territoire.

Des traitements sujets à débats

Pour rappel, les deux médicaments mis en avant par François Asselineau dans sa vidéo ont fait et continuent de faire l'objet d'intenses débats médiatisés en France. D'aucuns reprochent en effet au gouvernement son manque d'investissement dans la piste médicamenteuse face à l'épidémie.

Cependant, l'utilisation de ces médicaments contre le Covid-19 a fait l'objet de réserves de la part de l'Organisation mondiale de la Santé (OMS), qui a mis en garde contre l'ivermectine à tous les stades de la maladie, en dehors des essais cliniques, et qui déconseille l'hydroxychloroquine en tant que traitement préventif.

Plus récemment, une étude de l'Institut Pasteur a souligné une réduction des symptômes liés au Covid-19 grâce à l'ivermectine. Le médicament agirait sur le récepteur nicotinique, selon le neurobiologiste Jean-Pierre Changeux.

samedi 31 juillet 2021

La peste de Marseille de 1720 est la dernière grande épidémie de peste enregistrée en France

 

Marseille, le 31 juillet 1720, la nouvelle inédite de Camille Pascal


La nouvelle s’était répandue à travers la ville, plus vite encore que la peste. Ces messieurs du Parlement d’Aix, bien à l’abri dans leur bastide, avaient ordonné aux échevins de fermer toutes les portes de la ville avant la tombée du jour. Dans quelques heures, Marseille ne serait plus qu’un immense lazaret à ciel ouvert où 80.000 âmes n’auraient d’autres ressources que de se préparer à comparaître devant Dieu.

Les chanoines du chapitre n’étant pas si pressés, ils avaient aussitôt fait leurs malles et s’étaient dirigés en procession vers le palais épiscopal d’où ils espéraient que Mgr de Belsunce leur offrirait tout à la fois une place dans ses voitures et le sauf-conduit sans lequel les dragons du Régent tiraient désormais à vue. Ces diables de soldats n’entendant ni le patois ni le latin, parlementer ne servait à rien et ils étaient bien capables de traiter de saints hommes d’Église comme de vulgaires huguenots cévenols.


Henri François Xavier de Belsunce de Castelmoron (1671-1755), appelé aussi Monseigneur Belsunce, a été évêque de Marseille de 1709 à 1755. il a joué un rôle très important pendant la grande peste de Marseille de 1720. Né en 1671 au château de La Force en Périgord, il est élevé dans la religion protestante.


LETTRE OUVERTE

 Lettre ouverte....

Monsieur le préfet,

Monsieur le premier ministre,

Monsieur le président de la République,


La mort prématurée de Jacob Desvarieux des suites du covid nous enseigne une fois de plus que le vaccin que vous souhaitez nous imposer par tous les moyens ne protège pas, ne sauve pas et pourrait même dans certains cas aggraver la santé des personnes atteintes par le covid. 


La mort de Jacob Desvarieux illustre bien qu'être vacciné ne garantit pas d'une fin tragique après avoir été contaminé. 


Qui plus est, si la fonction d'un vaccin est une substance pathogène qui, inoculée à un individu, lui confère l'immunité contre une maladie. Il serait urgent que vous nous expliquiez les raisons réelles de votre acharnement et celles du gouvernement, à vouloir nous injecter à tout prix une substance qui ne confère aucunement d'immunité contre le covid ! 


Car si ce vaccin remplissait sa fonction principale s'agissant de l'immunité recherchée, nous ne pleurions pas tous ces morts dont le chiffre ne cesse de progresser, telle une hécatombe, malgré la diffusion à grande échelle de cette substance qui est loin de posséder les caractéristiques intrinsèques d'un vaccin.


Nous ne prétendons pas être des experts, pas plus que vous, ni tous ces brillants scientifiques qui ne sont parvenus à aucun consensus sur l'intérêt de la vaccination. 


En dépit de toutes ces raisons qui appellent raisonnablement à la prudence, vous multipliez jours après jours les mesures restrictives, privatives et punitives pour soumettre le peuple au diktat des laboratoires pharmaceutiques dont le seul objectif est d'engranger des milliards. 


Monsieur le représentant de l'État dans le département, nous vous remercions de vous appliquer avec tant de détermination à vouloir prendre soin de notre santé, cela est louable,  mais lorsque le remède préconisé, et de plus en plus imposé, semble pire que la maladie elle-même, la constitution nous garantit de la liberté de disposer de nous-mêmes, à moins que la constitution française n'ait été reformée récemment sans qu'on ne le sache ! 


En outre, nous respectons votre liberté, donc en retour nous vous demandons de respecter la nôtre , d'accepter ou de refuser l'injection d'une substance qui n'a pas encore prouvé à ce jour son intérêt scientifique.


Sincères salutations.

jeudi 29 juillet 2021

Au vu de la situation sanitaire alarmante en Martinique,  le préfet pourrait faire comme à La Réunion et abaisser encore l'heure du couvre-feu à 18h, et limiter les déplacements à 5km le dimanche...

À suivre...

Aux urgences du CHUM sous pression, « un nombre très important de jeunes »

Par Jean-Marc AtséJeudi 29 juillet 2021
Aux urgences du CHUM sous pression, « un nombre très important de jeunes »
Le nombre de malades atteints du Covid-19 augmente et il faut continuer à accueillir les patients à l'hôpital. - Jean-Marc Atsé

Le nombre de malades atteints du Covid-19 augmente et il faut continuer à accueillir les patients à l'hôpital. Le service des urgences de l'hôpital Pierre Zobda Quitman est donc de plus en plus sous pression.

«Nous avons commencé à recevoir les patients vers 8 heures 30-9 heures, il est 11 heures et tous les patients sont sous oxygène, donc je vous laisse calculer ce que cela va donner sur 24 heures », lance le docteur Madani Galleze, urgentiste, intensiviste, et ancien médecin militaire. Au CHU, le nombre de malades atteints du Covid-19 continue d'augmenter. Dans cette zone de tri et d'orientation du service des urgences, des soignants s'affairent.

« Une fois qu'on a évalué le niveau de gravité de l'état de santé des patients, on les dispatche dans un autre secteur où ils sont pris en charge », explique Philippe Denisard, cadre supérieur des urgences et du Samu. « Soit ils vont en réanimation, soit ils vont dans les services d'hospitalisation Covid. Les patients qui se trouvent dans un état très grave sont triés en amont, puisque le Samu a été appelé et a vu que leur état nécessitait un séjour direct en réanimation. Ces patients ne vont donc pas transiter par les urgences ».

« On a le record national par tête d'habitant »

Hossein Mehdaoui, professeur de réanimation, chef du pôle urgences-réanimation-anesthé-sie, se dit frappé par ce qu'il voit actuellement. « En réanimation, on a, par rapport aux vagues précédentes, un nombre très important de jeunes. Mardi, il y avait huit personnes en réanimation qui avaient moins de 35 ans. Cette nuit (ndlr : dans la nuit du 27 au 28 juillet), on a accueilli une jeune femme âgée de 20 ans ». Et de poursuivre : « On a affaire à des variants qui sont plus contagieux, qu'il s'agisse du variant Alpha ou du variant Delta, qui est en train de s'imposer ».
Face à cette résurgence de l'épidémie de coronavirus, le professeur de réanimation invite la population à se faire vacciner. « Je suis vacciné, ma femme, mes enfants, mes parents le sont aussi, et pour nous aider, il faut que les gens se fassent vacciner. L'efficacité ne sera pas immédiate mais cela permettra d'atténuer ce genre de crise sinon cela va revenir sans arrêt ». Il ajoute : « La vague que nous connaissons en ce moment n'a rien à voir avec les précédentes, le nombre de personnes contaminées a explosé, on a le record national par tête d'habitant ». Pour le médecin, la solution est avant tout entre les mains des Martiniquais.

Le service des urgences est de plus en plus sous pression. (photos J.-M. A.) - Jean-Marc Atsé

« J'avais une pression au niveau du cœur »

Jessie, 34 ans, souffrant légèrement d'asthme, est arrivée hier matin aux urgences, peu avant 11 heures. « Les symptômes sont apparus, mardi dernier (ndlr : 20 juillet) », raconte-t-elle. « C'étaient d'abord des courbatures, de la toux, des douleurs aux yeux, de terribles maux de tête et après de la fièvre non-stop, à 39°5, pendant trois/quatre jours ». La semaine a passé et mardi soir (27 juillet), elle a très mal dormi. « J'avais une pression au niveau du cœur, ça me réveillait », poursuit la jeune femme, couchée sur un brancard. « Du coup, ce matin (ndlr : hier), j'étais fatiguée, j'avais du mal à respirer, c'est pourquoi j'ai appelé le Samu. C'est le Covid, je n'ai pas eu de doute là-dessus ». Jessie pense avoir contracté le virus à son travail. 

« C'est vraiment trop difficile »

Malika Larcher est infirmière aux urgences depuis deux ans. « J'adore mon métier », confie la jeune femme. « J'aime beaucoup travailler aux urgences mais j'avoue que depuis deux jours, je n'ai plus envie de venir travailler, parce que c'est vraiment trop difficile ». Malika et ses collègues sont chaque jour en première ligne face à la  vague de patients atteints du Covid-19.
« J'ai commencé à 6h45 ce matin. En général, on est sur une moyenne de 30 à 40 patients par jour, sur une vacation de huit heures. Là, cela me fait trois heures de service et on est déjà à 22 patients. On a fait un tri, je dois avoir 15 patients Covid et 7 non-Covid. On est dans une situation très compliquée ». Du personnel est venu renforcer les équipes.
« D'habitude, il y a deux soignants à l'accueil, une IDE (ndlr : infirmière en soins généraux) et un aide-soignant. Là, les soignants qui sont sur les services aigus et qui n'ont pas de patients en urgence vitale sont venus nous aider. Il y a donc trois infirmières et trois aides-soignantes et c'est quand même difficile à gérer ». En raison de l'afflux de patients, le temps d'attente pour les prises en charge et les examens s'allonge. « Ce n'est plus fluide comme avant », concède l'infirmière.
« Nous, soignants, cela fait un an et demi qu'on tient, non-stop ». Et la situation s'aggrave. « Il n'y a pas suffisamment de lits. On nous a proposé des lits de camp. Ce ne sont pas des prises en charge normales. Actuellement, on est en guerre, on est vraiment dans une médecine d'urgence ». Face à l'explosion spectaculaire des cas de contamination en Martinique, Malika demande instamment à la population de continuer à appliquer les gestes barrière. Et d'en finir avec les soirées ! « Nous, on souffre aux urgences », insiste-t-elle. « Je propose aux gens qui n'y croient pas de venir passer quelques heures avec nous pour voir comment cela se passe. On reçoit des jeunes, des moins jeunes, et dans peu de temps, il faudra prendre des décisions. Qui doit vivre ? Qui ne doit pas vivre. Car, je le répète, on n'aura pas suffisamment de lits pour accueillir les patients et de ressources humaines pour pouvoir prendre en charge tout le monde convenable-ment ». 

L'assistance circulatoire et respiratoire (ECMO)

Plusieurs technologies sont proposées aux patients en fonction de la sévérité de la défaillance circulatoire du cœur et/ou insuffisance pulmonaire aigüe. L’ECMO (extracorporeal membrane oxygenation), également appelée assistance mécanique par voie périphérique ou centrale, est une technique utilisée depuis une quinzaine d'années au CHU. C’est en fait une machine cœur-poumon ou poumon artificiel qui va assurer, pendant la durée nécessaire, la circulation et l’oxygénation du sang. Un jeune de 28 ans, atteint du Covid-19, est hospitalisé au CHU dans le service de réanimation. Depuis six jours, il bénéficie de l'assistance circulatoire et respiratoire. Une technique très invasive. « Les ECMO peuvent durer longtemps, quatre voire six semaines », explique Hossein Mehdaoui, professeur de réanimation, chef du pôle urgences, réanimation, anesthésie. « En revanche, plus cela dure, plus vous risquez d'avoir des complications et moins vous avez de chances de vous en sortir ». Que se passe-t-il en cas d'amélioration ? « On va basculer de l'ECMO vers le système de ventilation classique », répond Hossein Mehdaoui. « On va diminuer l'oxygène délivré par l'ECMO et remettre le poumon au travail. Quand la situation s'améliore vraiment, on va sevrer le patient en explantant l'ECMO ». D'autres précisions de la part du médecin : « Il y a plusieurs types d'ECMO, celle qui est réalisée en réanimation est une ECMO veino-veineuse, cela va supporter uniquement le poumon, le cœur fait son travail, de son côté. Il existe aussi des techniques veino-artérielles, cela supplée en même temps le poumon et le cœur ». 

mercredi 28 juillet 2021

😢😡😠🥺😭

 

#COVID19 | L’épidémie de COVID-19 poursuit sa brutale accélération en Martinique.  Afin de lutter contre la propagation du virus, le préfet de la Martinique prend de nouvelles #mesures, applicables à partir du vendredi 30 juillet à 19h pour le couvre-feu et à partir du samedi 31 juillet à 5h pour les déplacements dans la limite des 10kms de son domicile (clause de revoyure à la mi-août) 

➡ https://www.martinique.gouv.fr/Politiques-publiques/Environnement-sante-publique/Sante/Informations-COVID-19/La-Martinique-face-au-COVID-19-mesures-attestations-recommandations



Covid-19: la Martinique confinée à partir de ce week-end et pour trois semaines

Le confinement sera appliqué «de 5 heures à 19 heures» et «tout déplacement au-delà d'une limite de 10km autour du domicile sera soumis à une attestation», a annoncé le préfet Stanislas Cazelles.

La Martinique va se retrouver confiner pour trois semaines «à compter de ce week-end».
La Martinique va se retrouver confiner pour trois semaines «à compter de ce week-end»

La Martinique va se retrouver confinée pour trois semaines «à compter de ce week-end», a annoncé mercredi soir le préfet Stanislas Cazelles. Il sera appliqué «de 5 heures à 19 heures» et commencera vendredi 30 juillet à 19 heures. «Tout déplacement au-delà d'une limite de 10 km autour du domicile sera soumis à une attestation», a-t-il également précisé.

Le couvre-feu est, lui, ramené à 19 heures, au lieu de 21 heures actuellement, et une attestation sera donc également nécessaire entre 19 heures et 5 heures du matin pour tout déplacement. Les commerces où il est possible de porter un masque pourront toutefois rester ouverts. À l’inverse, les restaurants et les salles de sport, où le port du masque n'est pas possible, seront contraints de fermer leurs portes.

Clause de revoyure

Les activités culturelles pourront se prolonger si le port du masque est possible et les lieux de culte resteront ouverts. L'accès aux plages restera cependant autorisé seulement pour les baignades «dynamiques». Le préfet a également incité les habitants à ne pas se regrouper à plus de six personnes en intérieur. «Une clause de revoyure» est prévue à la mi-août, a également ajouté le préfet.

Le porte-parole du gouvernement avait indiqué plus tôt dans la journée que le gouvernement avait déployé «le service de santé des armées pour accueillir au maximum les patients dans de bonnes conditions à l'hôpital». Le nombre de cas positifs continue à augmenter rapidement, passant de 2257 cas la semaine passée à 3537 cas cette semaine. Le taux de positivité s'élève à 16,4 % et le taux d'incidence a, lui, atteint 995 pour 100.000 habitants. Plus tôt dans la journée, Gabriel Attal a également indiqué que l'état d'urgence sanitaire serait étendu à la Guadeloupe, à Saint-Martin et Saint-Barthélemy. Il est déjà en vigueur en Martinique, en Guyane et à la Réunion.

S.O.S. COVID MARTINIQUE

 

😭🥺😠😡😢

RECONFINEMENT  À PARTIR DE CE WEEK-END 

DE 19H À 5H


POUR TOUT LE MONDE 


À QUOI ÇA SERT D'ÊTRE VACCINÉ  ??


Ok pour aller à la plage

Uniquement sous forme

" dynamique  "...

Pas manger, pas s'allonger 

Déplacements limités à  10km, sinon dérogation papier...

Covid-19 : dégradation de la situation sanitaire et nouvelles mesures, le préfet de Martinique s'exprime à 16 h ce mercredi

coronavirus
Stanislas Cazelles
Stanislas Cazelles  ©Thierry Maisonneuve
L'épidémie de COVID-19 poursuit son accélération en Martinique. Stanislas Cazelles le préfet tiendra un point presse ce mercredi 28 juillet à 16h00. Il annoncera de nouvelles mesures afin de freiner la propagation de la 4e vague du virus.

Après concertation avec les élus et les acteurs socio-économiques de la Martinique, Stanislas Cazelles dévoilera les nouvelles mesures qui entreront en vigueur en Martinique afin de freiner la propagation de l'épidémie.

Le représentant de l'État a fait un tour de table avec plusieurs organismes et les mesures attendus sont plus restrictives. Le nombre de cas positifs continue à augmenter rapidement, passant de 2 257 cas en semaine 28 à 3 537 cas en semaine 29. 

Cette flambée épidémique a un fort impact sur le système de santé. Le CHU de Martinique a atteint un niveau de saturation et n’est plus en mesure d’ouvrir des services de médecine covid et d’accueillir des patients de la 4e vague. 

L'hôpital est asphyxié et en manque de main-d’œuvre. un appel a été lancé en direction des personnels de santé pour venir en renfort du CHU face à la dégradation rapide de la situation.

Le préfet s'est donné le temps de la réflexion et de la consultation avant d’annoncer de nouvelles mesures.Va-t-on vers un reconfinement, un retour à la limitation de déplacement à la fermeture des commerces non-essentiels ou un couvre-feu abaissé à 19 heures, toutes les hypothèses sont avancées. 

L'intervention de Stanislas Cazelles, préfet de Martinique sera diffusée en direct sur le Facebook de Martinique la 1ere et l'antenne radio à 16 heures.

lundi 26 juillet 2021

 

Des techniciens de France en renfort pour réparer le réseau téléphonique d'Orange Martinique

téléphonie
Téléphone
©Image by Bruno /Germany
Suite au passage de l’ouragan Elsa sur la Martinique le vendredi 2 juillet dernier, une partie des réseaux téléphoniques d'Orange reste lourdement impactée. Ce lundi (26 juillet 2021) l'opérateur public annonce la venue d'une équipe de vingt techniciens de France pour un accompagnement sur un mois.

Une partie des réseaux téléphoniques d’Orange reste lourdement impactée en Martinique suite au passage de l’ouragan Elsa. Les dégâts occasionnés sont surtout dus aux vents violents. 

Depuis le 2 juillet, l'opérateur public est confronté à des pannes et des dysfonctionnements chez certains clients pour plusieurs raisons : La boucle locale cuivre est fortement endommagée et il y a aussi la situation sanitaire sur le territoire martiniquais.

Compte tenu de ces éléments, la direction du groupe précise dans son communiqué de ce lundi 26 juillet que  l’envoi de renforts en provenance de Guadeloupe et Guyane est pratiquement impossible. Une équipe d’environ vingt techniciens terrain en provenance d’Orange France est attendue cette semaine pour un accompagnement sur un mois.

Selon l'opérateur public, les équipes sur le terrain mettent tout en œuvre pour rétablir au plus vite les services pour les clients impactés.

MÉTÉO-DES-OURAGANS


Une petite instabilité qui pourrait s'apparenter à un talweg ou une onde tropicale faible se rapproche de l'arc antillais entre les journées de mardi 27 et mercredi 28. La brève évacuation vers l'Ouest en mer des Caraibes, de l'air sec Saharien qui nous a intéressé ce lundi pourrait ainsi permettre plus facilement la production de quelques ondées passagères, pouvant être plus soutenues sur la moitié Nord des Petites-Antilles. Animation Mucape du modèle de prévision Arome de Météo-France.

 








 Dernière semaine de juillet, je profite donc pour revenir sur la région principale de développement cyclonique située entre l'Afrique de l'Ouest et les Petites-Antilles. La sortie des Ondes Tropicales se fait à un rythme normal, soit 2 à 3 OT par semaine. La 23ème ne devrait pas tarder à nous traverser. En moyenne sur une saison cyclonique, une soixantaine d'ondes traversent le bassin atlantique tropicale, et comme vous pouvez le constater, nous n'en sommes pas encore à la moitié. À noter,  et c'est une donnée importante, le cisaillement en altitude est majoritairement faible (entre 5 et 20 nœuds) sur la région et peut donc favoriser la formation d'un cyclone tropical. Cependant, la cyclogenèse ne peut toujours pas s'exprimer car un puissant anticyclone (1030 hPa) vers les Açores rayonne et maintient plus au Sud une stabilité atmosphérique. De plus, l'air sec poussiéreux parfois assez dense est encore bien présent. L'aide pourrait alors venir progressivement par l'Ouest avec l'arrivée de la MJO (*) au cours du mois d'août et de la baisse progressive de la brume de sable. 


* Oscillation de Madden Julian. 

C'est une onde à très grande échelle qui fait le tour de la planète d'Ouest en Est. Elle favorise l'activité convective et donc la naissance de cyclone en période cyclonique.





À noter aussi :


vendredi 23 juillet 2021

TOKYO

 

JO 2021 : Un ballet de 1 824 drones a illuminé le ciel de Tokyo en représentant la Terre pendant la cérémonie d'ouverture

Publié Mis à jour 
Article rédigé par
France Télévisions

Les engins ont survolé le stade olympique vendredi et offert une chorégraphie techniquement et visuellement impressionnante.

Comme un air de science-fiction. Pas moins de 1 824 drones ont survolé, en pleine nuit, le stade olympique de Tokyo où se déroulait la cérémonie d'ouverture des JO, vendredi 23 juillet. Pendant plusieurs minutes, les engins ont illuminé le ciel de la capitale japonaise pour représenter la planète Terre. Découvrez ou revivez cet épisode sompteux en vidéo.

>> Revivez la cérémonie d'ouverture des Jeux olympiques de Tokyo en direct

jeudi 22 juillet 2021

 https://www.facebook.com/nicolasdupontaignan/videos/806015416769792/

IRRÉDUCTIBLES ET RÉSISTANTS

 Message

signé du Collectif Médecin ReinfoCovid et de Louis Fouché à l’ensemble des soignants.


"La France est sous le choc. Mais tout était annoncé.”