samedi 14 octobre 2023

Quelle époque !"

 















"Quelle époque !" samedi 14 octobre 2023 : les invités reçus par Léa Salamé sur France 2

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"Quelle époque !" samedi 14 octobre 2023 : les invités reçus par Léa Salamé sur France 2

Samedi 14 octobre 2023 à 22:40, Léa Salamé présentera sur France 2 un nouveau numéro de “Quelle époque !” en compagnie de Christophe Dechevanne. Voici les invités qui seront reçus cette semaine.

"Quelle époque !" c'est le talk-show spectaculaire, drôle et festif, du samedi soir sur France 2. Une émission de société et de divertissement, qui va raconter notre époque et interroger notre société.

Parce que notre époque est traversée par de profondes transformations, de grandes fractures et des débats idéologiques majeurs. Parce que notre société est marquée par une jeunesse en mutation, des personnalités fortes, de nouveaux modes de vie et une créativité débordante ! "Quelle époque !" est un lieu de rencontres et de débats.

“Quelle époque !” c'est un lieu de rencontres entre les personnalités qui marquent l’actualité culturelle, sociétale, politique ou médiatique, dans la vie réelle comme sur les réseaux sociaux.

Samedi 14 octobre 2023, Léa Salamé reçoit : Edouard Philippe, Gilles Kepel, Philippe Lellouche, Guillaume Auda, Laurence Haïm, Laurent Dagenais, Estelle Denis et Gérard Miller.

Sans oublier :

Le Phil Actu de Philippe Caverivière.

Le QMQQ (Quelques Minutes Quelques Questions).

Le Phil Pol de Philippe Caverivière.

Dernière modification le samedi, 14 octobre 2023 09:52
Publié dans Magazines

vendredi 13 octobre 2023

MA DENGUE

 amorphe complètement , à ne pas pouvoir marcher , ni manger ni rien faire du tout !!! Dormir jours et nuits et boire de leau






Symptômes:

Ils commencent habituellement 4 à 10 jours après l’infection et durent de 2 à 7 jours


* forte fièvre (40 °C/104 °F)

* céphalées intenses

* douleur rétro-orbitaire

* douleurs musculaires et articulaires

* nausées

* vomissements

* gonflement des ganglions

* éruptions cutanées


Les personnes infectées pour la deuxième fois courent un risque accru de dengue sévère.


* douleurs abdominales sévères

* vomissements persistants

* respiration rapide

* saignement des gencives ou du nez

* fatigue

* agitation

* sang dans les vomissures ou les selles

* forte sensation de soif

* peau pâle et froide

* sensation de faiblesse


La plupart des cas de dengue peuvent être traités à domicile avec des analgésiques. Prévenir les piqûres de moustiques est le meilleur moyen d’éviter de contracter la dengue.

Il n’existe pas de traitement spécifique contre la dengue. L’accent est mis sur le traitement des douleurs associées.

L’acétaminophène (paracétamol) est souvent utilisé pour soulager la douleur. Les anti-inflammatoires non stéroïdiens comme l’ibuprofène et l’aspirine sont évités, car ils peuvent augmenter le risque de saignement.


Reçu : [ j'ai la dengue. le médecin me dit de consommer de la vitamine C et de me presser un kilo d'oranges  par jour et de le boire sur la journée, vous en pensez quoi ? ]


Il n'y a pas de traitements efficaces à proprement parler pour la dengue. En revanche, des traitements existent quand il s'agit de réduire certains symptômes, comme les douleurs ou encore la fièvre par exemple ( le paracétamol reste tout à fait adapté en la circonstance, et je suppose que l'on vous en a prescrit, et à juste titre ).

Néanmoins, la baisse du système immunitaire est un phénomène assez désagréable et c'est pour cela qu'il vous faut certaines ressources pour bien lutter.

La vitamine C est tout à fait adaptée pour répondre à ce besoin car elle contribue, entre autre, au maintien de la fonction immunitaire dont on a bien l'utilité quand il s'agit de lutter contre ce virus ( eh oui, la dengue est un virus ;) ).

Concernant le kilo d'oranges à boire en jus par jour, je suis, à titre personnel, réticent et ce pour plusieurs raisons : 

Un kilo d'oranges, c'est, environ, 570 mg de vitamine C. Dans ce type de pathologie, 1 gramme à 3 grammes de vitamine C ( soit 1000 mg à 3000 mg ) par jour répondent bien mieux au maintien de la fonction immunitaire sachant qu'il y a débat sur la toxicité de la vitamine C lorsque l'on commence à parler d'une prise de plus de 5 grammes (5000 mg) par jour (donc, entre 1 et 3 grammes, ça ne risque rien, et même bien mieux, ça améliore l'état dans lequel on se trouve). Ce qui signifierait que vous devriez, à me lire, boire du jus d'orange correspondant à l'équivalent de 2 à 5 kilos d'oranges, et forcément, là, je suis très réticent.

Sachant qu'une orange a un poids moyen de 200 grammes, 5 oranges font environ 1 kilo. Dans une orange, il y a, environ, 16 grammes de glucides. Un kilo d'oranges en jus, c'est donc ( 16 X 5 ) 80 grammes de glucides ingérés ( ce qui est périlleux selon moi ) pour 570 mg de vitamine C. Or, sachant qu'il faut au moins 1 gramme à 3 grammes de vitamine C par jour ( c'est à dire 1000 mg à 3000 mg ), ceci voudrait dire que vous devriez ingérer entre 160 et 400 grammes de glucides environ, et ça, je suis réticent aussi. L'idée que l'on doive prendre de la vitamine C avec 400 grammes de glucides reviendrait à dire qu'il faudrait "sucrer" les compléments alimentaires des pilules de vitamine C.

Le mieux est que vous vous supplémentiez avec des compléments en gélules, pilules ou comprimés dosés à 1 g ( 1000 mg ) pour pouvoir atteindre les 3 g ( 3000 mg ) de vitamine C sur 24 heures, avec, par exemple, une prise d'un 1 gramme le matin, d'1 gramme à midi et d'1 gramme le soir...

Je sais pas vous, mais si vous êtes une fidèle de mes publications, moi j'ajouterais aussi de la spiruline et un peu de vitamine D3, quitte à avoir un système immunitaire en béton afin de ne pas devenir trop ..."dengue" pendant cette période ;) 





Arras : terrorisme islamiste au lycée

 

"C dans l'air" vendredi 13 octobre 2023 : sommaire et invités reçus sur France 5

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"C dans l'air" vendredi 13 octobre 2023 : sommaire et invités reçus sur France 5

Ce vendredi 13 octobre 2023 à partir de 17:30, France 5 vous proposera de suivre un nouveau numéro du magazine "C dans l'air". Voici le sommaire et les invités qui seront reçus.

17:30 L'invité de "C dans l'air"

Caroline Roux et Axel de Tarlé reçoivent chaque jour en direct une personnalité qui fait l'actualité. Hommes et femmes politiques, écrivains, philosophes, scientifiques ou l'économistes : 10 minutes de dialogue pour donner un éclairage en prise directe avec l'information du jour.

L'invité de ce vendredi 13 octobre 2023 : Jean-François Colosimo, historien et spécialiste des religions, auteur de "Aveuglements : religions, guerres, civilisation".

À Arras ce matin, un homme a poignardé à mort un enseignant et fait deux blessés graves dans un lycée à Arras. Le ministre de l’Éducation a demandé aux recteurs d’académie de "renforcer la sécurité de tous les établissements" scolaires en France.

L'auteur présumé de l'attaque est un jeune homme d'une vingtaine d'années, d'origine tchétchène, fiché pour radicalisation (fiché S), a déclaré une source policière. Il avait été contrôlé jeudi et faisait l'objet de surveillances physiques.

Jean-François Colosimo reviendra sur l'attaque au couteau d'Arras et le contexte actuelle.

17:45 "C dans l'air"

Caroline Roux et Axel de Tarlé décryptent en direct l'actualité en compagnie de quatre experts. En fin d'émission, ils répondent aux questions des téléspectateurs.

Les experts invités :

Mathieu Delahousse, Grand reporter à L’Obs.

Audrey Goutard, cheffe du service Enquête et reportage à France Télévisions.

Anne Rosencher, directrice déléguée de la rédaction de L’Express.

Driss Aït Yousef, docteur en droit public, spécialiste des questions de sécurité globale.

Le thème de l'émission : Arras : terrorisme islamiste au lycée

Une attaque terrible a eu lieu ce vendredi 13 octobre, aux alentours de 11 heures, au lycée Gambetta, en plein cœur d’Arras. Un homme armé d’un couteau a tué un professeur de Lettres et blessé gravement deux autres personnes. L’auteur présumé a été interpellé par les forces de l’ordre. Il s’agit d’un homme de vingt ans d’origine Tchétchène de nationalité russe, fiché S pour radicalisation suivi activement par la DGSI. Selon les enquêteurs, il aurait crié "Allah Akhbar" au moment des faits. Son frère, plus jeune, a lui aussi été arrêté. Le parquet national antiterroriste a été saisi.

Dans tout le pays, c’est le choc et l’effroi. A l’Assemblée nationale, les députés ont suspendu leurs travaux pour exprimer leur solidarité avec la communauté éducative et les victimes. Le président de la République s’est rendu sur place avec le ministre de l’Intérieur et le ministre de l’Education nationale.

Cette attaque est survenue seulement trois jours avant la date commémorative de l’assassinat de Samuel Paty, professeur d’histoire et géographie, tué le 16 octobre 2020 à la sortie d'un collège de Conflans-Sainte-Honorine, et une semaine après les évènements tragiques au Proche-Orient. Hier soir dans une allocution télévisée, Emmanuel Macron était revenu sur la gravité de l’attaque du Hamas en Israël, où plusieurs Français ont été tués et enlevés, et avait appelé à l’"unité" nationale pour éviter l’importation du conflit en France. "N’ajoutons pas des fractures nationales aux fractures internationales et ne cédons rien à toute forme de haine", avait-il averti alors que le ministère de l’Intérieur a recensé plus de 100 actes antisémites en six jours et que l’inquiétude grandit au sein de la communauté juive en France. Beaucoup de citoyens de confession juive redoutent des tensions et expriment leur peur de voir les actes antisémites augmenter dans l’Hexagone tandis qu’au Proche-Orient l’armée israélienne se prépare à une opération terrestre à Gaza. Les autorités israéliennes ont donné 24 heures à tous les habitants du nord de la bande de Gaza pour fuir vers le sud. Les Nations Unies craignent des conséquences humanitaires terribles.


19:00 C à vous

Guerre Israël-Hamas

Invitée : Dominique Colonna, ministre de l’Europe et des Affaires étrangères.

Arras : attaque au couteau dans un lycée, un enseignant tué

Invité : Hugo Micheron, chercheur spécialiste du jihadisme, enseignant à Sciences Po, auteur du livre “La colère et l’oubli. Les démocraties face au jihadisme européen” aux éditions Gallimard.

jeudi 12 octobre 2023

 

"C dans l'air" jeudi 12 octobre 2023 : les invités reçus par Caroline Roux sur France 5





Ce jeudi 12 octobre 2023, Caroline Roux reçoit Christian Chesnot, grand reporter à la rédaction internationale de Radio France, spécialiste du Moyen-Orient, auteur du livre « Le Qatar - les secrets d’une influence planétaire ».

Depuis l'attaque sans précédent lancée ce samedi par le Hamas, près de 150 personnes ont été enlevées en Israël par le Hamas qui a menacé lundi soir d’exécuter des otages en réaction aux frappes israéliennes qui se multiplient sur la bande de Gaza.

Selon le porte-parole du ministère qatari des Affaires étrangères, Majed Al-Ansari, il est encore "trop tôt" pour discuter d’un éventuel échange de prisonniers entre Israël et le Hamas. Le pays du Golfe a déjà servi de médiateur entre Israël et le Hamas, au pouvoir dans la bande de Gaza depuis 2007.

Pour Christian Chesnot, grand reporter à la rédaction internationale de Radio France et spécialiste du Moyen-Orient, "en proposant des négociations pour libérer les otages, Doha entretient son rôle d'intermédiaire". D’après les informations d’une source citée par Reuters, ce lundi, des médiateurs du Qatar ont tenu des entretiens en urgence avec des responsables du Hamas pour tenter de négocier la libération de femmes et d'enfants israéliens capturés par le mouvement et détenus à Gaza, en échange de la libération de 36 femmes et enfants palestiniens des prisons israéliennes.

Depuis plus de 10 ans, Doha accueille un bureau politique du Hamas et a fourni des millions de dollars d’aides à Gaza. Pour Hasni Abidi, directeur du Centre d'études et de recherche sur le monde arabe et la Méditerranée, "le Qatar a contribué au renflouement des caisses du Hamas".

Christian Chesnot reviendra sur le rôle que joue le Qatar dans l'attaque qui a été lancée ce samedi 7 octobre par le Hamas contre Israël.

17:45 "C dans l'air"

Caroline Roux décryptera en direct l'actualité en compagnie de quatre experts. En fin d'émission, ils répondent aux questions des téléspectateurs.

Les experts invités : 

Alain Bauer, professeur au CNAM, responsable du pôle sécurité, défense et renseignement.

Nicole Bacharan, historienne et éditorialiste à Ouest-France.

Alexandra Schwartzbrod, directrice adjointe de la rédaction de Libération, ancienne correspondante en Israël de 2000 à 2003.

Vincent Lemire, historien, ancien directeur du Centre de recherche français à Jérusalem.

Le thème de l'émission :

Cinq jours après l’attaque du Hamas la plus meurtrière de l'histoire contre l'État hébreu, dont le bilan dépasse les 1 200 morts et 2.700 blessés, Israël continue de frapper sans relâche la bande de Gaza et jure de "détruire" le groupe terroriste. Hier soir, le Premier ministre Israélien a été très clair : le pays est "passé à l’offensive" et "tout membre du Hamas est un homme mort". "Le Hamas, c’est Daesh et nous allons les écraser et les détruire comme le monde a détruit Daesh", a-t-il ajouté lors d’une première allocution solennelle commune avec les membres de son cabinet de guerre formé plus tôt dans la journée. Un organe composé de trois hommes : Benjamin Netanyahou, son rival de l’opposition, Benny Gantz, ancien chef d'état-major de Tsahal, et le ministre de la Défense Yoav Gallant, tous trois sur la même longueur d’onde. "Il faut effacer le Hamas de la surface de la terre" a déclaré hier soir Yoav Gallant. Mais comment ? Se pose notamment la question des modalités d’une intervention terrestre alors que 360 000 réservistes sont désormais mobilisés par l'armée israélienne, soit 4 % de la population appelée à prendre les armes et que le Hamas détient environ 150 otages.

Un conflit surveillé de très près par les Etats-Unis. Le chef de la diplomatie américaine est attendu ce jeudi à Jérusalem pour une visite de solidarité. Depuis le début de l'embrasement, Washington s'est montré plus que jamais en soutien de l'État hébreu. Mais Joe Biden demande à son allié de respecter le droit de la guerre alors que les Etats-Unis travaillent à permettre aux civils de quitter la bande de Gaza, placée en « siège total », et où la lumière s’est éteinte avec l’arrêt hier de la seule centrale électrique du territoire. « La bande de Gaza ne recevra ni eau, ni électricité, ni carburant tant que des otages y seront détenus par le Hamas », a affirmé ce jeudi le ministre de l’énergie israélien, Israël Katz, sur X (anciennement Twitter).

Parmi les otages figurent beaucoup des civils, dont des jeunes capturés pendant un festival de musique, des personnes âgées, des enfants et probablement des Français. Selon un dernier bilan communiqué par Catherine Colonna, la ministre des Affaires étrangères, onze ressortissants français sont morts dans l’attaque en Israël et dix-huit sont portés disparus dont plusieurs enfants "probablement enlevés" par le Hamas. Pour parler de la situation et de ses possibles conséquences en France, le chef de l’Etat a invité à l’Elysée ce midi les différents chefs des partis politiques représentés au Parlement ainsi que les présidents de l’Assemblée nationale et du Sénat. La rencontre sera suivie d’une prise de parole solennelle à 20 heures sur France 2 et TF1. Le ministre de l’Intérieur a indiqué ce matin sur France Inter que "plus d'une centaine" d’actes antisémites recensés en France, depuis samedi dernier et de 24 interpellations dans l’Hexagone. Dans la soirée devrait atterrir à Paris le premier vol spécial affrété par Air France en provenance de Tel Aviv pour rapatrier les compatriotes identifiés comme les plus vulnérables parmi les ressortissants français de passage et résidents en Israël. A savoir les mineurs isolés, les femmes enceintes en particulier, les personnes en situation de handicap ou en situation médicale présentant une urgence particulière sont considérés comme prioritaires. D’autres vols suivront avec les mêmes critères. Un tri "inadmissible" dans le rapatriement des Français selon Daphna Poznanski-Benhamou, membre du bureau de l'Assemblée des Français de l'étranger en Israël. "Je ne sais pas ce qu'il se passe au Quai d'Orsay (…) ils n'ont pas pris du tout la mesure de ce qu'il se passe ici" a-t-elle ajouté sur franceinfo. De son côté, le Quai d'Orsay a répondu que "l'ambassade de France à Tel-Aviv fait son maximum".

Alors quelle est la situation en Israël et dans la bande de Gaza ? 

Y a-t-il un risque que la guerre s’étende, via un embrasement en Cisjordanie (ndlr : occupée par Israël depuis 1967), au Liban, ou dans la région ? 

Faut-il craindre une importation du conflit en France ?

lundi 9 octobre 2023

"C dans l'air" : Israël : les otages, la riposte et la terreur

 

17:45 "C dans l'air"

Caroline Roux décryptera en direct l'actualité en compagnie de quatre experts. En fin d'émission, ils répondent aux questions des téléspectateurs.

Les experts invités :

Agnès Levallois, vice-présidente de l’IREMMO, Institut de Recherche et d’Études Méditerranée Moyen-Orient.

Anthony Bellanger, éditorialiste à France Inter, spécialiste des questions internationales.

Alain Pirot, Journaliste spécialiste des questions de défense, ancien correspondant à Jérusalem.

Armelle Charrier, éditorialiste en politique internationale à France 24.

Le thème de l'émission : Israël : les otages, la riposte et la terreur

L’armée Israël a affirmé ce lundi avoir repris le contrôle total des localités attaquées ce week-end par Hamas et a décidé d’un "siège complet" de la bande de Gaza. "Pas d'électricité, pas d'eau, pas de gaz, tout est fermé", a déclaré le ministre de la Défense israélien Gallant dans une vidéo communiquée par ses services. "Nous combattons des animaux et nous agissons en conséquence", a-t-il ajouté dans un message en hébreu alors que le dernier bilan de l’attaque surprise du mouvement palestinien ce week-end fait état de plus de 700 Israéliens morts et 2 150 blessés. Toute la nuit, des avions de Tsahal ont également frappé la bande de Gaza. Plus de 500 cibles auraient été détruites notamment des tunnels. Un déluge qui aurait fait 413 morts et plus de 2 300 blessés dans l'enclave palestinienne. Quatre otages israéliens et leurs ravisseurs auraient également été tués dans les bombardements israéliens, selon le Hamas.

Au moins 150 Israéliens - des militaires et beaucoup de civils, des femmes, des enfants, des personnes âgées - ont été capturés samedi en Israël et emmenés de force dans la bande de Gaza. Plus de la moitié des otages civils seraient des jeunes gens qui participaient dans la nuit de vendredi à samedi à une rave party dans un champ, juste à côté de la frontière avec Gaza.

Le visage de certains d’entre eux tournent en boucle depuis ce week-end sur les réseaux sociaux. Des visages qui hantent Israël depuis samedi et des familles d’autant plus angoissées qu’elles ne savent toujours pas si leurs proches sont encore vivants. Parmi les disparus figurent plusieurs étrangers ou personnes possédant une double nationalité dont sept Français. Une tragédie qui complique la riposte israélienne.

Le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou a déjà prévenu que l’armée utiliserait toute sa puissance pour détruire le Hamas. Depuis ce matin, des colonnes de chars convergent vers la frontière avec Gaza et 100 000 réservistes sont en train d’y être positionnés selon Tsahal. Avec ces troupes basées aux portes de Gaza, Israël entend asphyxier l’enclave en menant un blocus total. Plus de 2 millions de Palestiniens vivent actuellement dans la bande de Gaza.

Le chef de la diplomatie européenne, Josep Borrell, a annoncé sur X (anciennement Twitter) qu'il convoquait ce mardi une "réunion d'urgence" des ministres des Affaires étrangères de l'UE "à propos de la situation en Israël et dans la région". Les Etats-Unis ont commencé dimanche à envoyer de l'aide militaire à Israël avec de nouvelles munitions et à rapprocher leur groupe aéronaval en Méditerranée, marquant un soutien rapide à leur allié historique. De son côté, la Russie a estimé que "le risque d'implication de forces tierces dans ce conflit est élevé" et a appelé à entamer un "processus de négociations dès que possible".

Alors que signifie un blocus complet autour de la bande de Gaza ?

Quelle est la situation en Israël et dans les territoires palestiniens ? 

Qu’est-ce que le Hamas ? 

Comment a-t-il organisé son attaque aux multiples ressorts baptisée "déluge d'Al-Aqsa" ? 

Que sait-on des otages israéliens retenus par les forces du Hamas ?

samedi 7 octobre 2023

Israël « en guerre »

 

"C dans l'air" samedi 7 octobre 2023 : les invités reçus par Axel de Tarlé sur France 5

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"C dans l'air" samedi 7 octobre 2023 : les invités reçus par Axel de Tarlé sur France 5

Ce samedi 7 octobre 2023 à partir de 17:45 sur France 5, Axel de Tarlé présentera un nouveau numéro de "C dans l'air". Voici les invités qui seront reçus aujourd'hui dans l'émission.

Axel de Tarlé décryptera l'actualité en compagnie de quatre experts. En fin d'émission, ils répondent aux questions des téléspectateurs.

Les invités / experts :

Fanny Guinochet, éditorialiste à France Info et La Tribune, spécialiste des questions économiques et sociales.

Mathieu Plane, économiste à l'OFCE, Observatoire Français des Conjonctures Économiques.

Jean-Claude Mailly, vice-président du think tank Synopia, ancien secrétaire général de Force Ouvrière.

Sandra Hoibian, directrice générale du CRÉDOC.

Le thème de l'émission : Israël « en guerre »

Israël en état de guerre. Des dizaines de roquettes ont été tirées sur le pays depuis la bande de Gaza ce matin.

« Nous avons décidé de mettre un terme à tous les crimes de l'occupation », a déclaré Mohammad Deif, le leader de la branche militaire du Hamas, le mouvement islamiste au pouvoir à Gaza. Il a revendiqué le tir de « plus de 5 000 roquettes » pour lancer l’opération « Déluge Al-Aqsa ».

«Trop c’est trop », a-t-il justifié avant d’exhorter tous les Palestiniens à affronter Israël. Ces événements mettent fin à une trêve respectée depuis mai entre Israël et ce territoire. Un décompte provisoire des services d’urgence israéliens fait état d’au moins 40 morts israéliens et environ 779 blessés.

« Nous sommes en guerre », a dit le premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, dans un message vidéo avertissant que le Hamas paierait « un prix sans précédent ».

Le ministre de la défense israélien, Yoav Galant, a qualifié l’attaque du Hamas de « grave erreur ». Il a également affirmé que les soldats israéliens « sont en train de combattre l’ennemi à chaque endroit ». Il a approuvé le rappel des réservistes.

Car en riposte à l’offensive du Hamas, Israël a lancé l’opération « Glaives de fer » et commencé à bombarder Gaza. Plusieurs dizaines d’avions de combat frappent des cibles de l’organisation islamiste sur ce territoire. Neuf morts côté palestinien ont pour l’heure été dénombrés à Gaza.

L’armée israélienne a par ailleurs fait état de l’infiltration d’« un nombre indéterminé de terroristes » sur le territoire du pays à partir de la bande de Gaza.

L’ambassade américaine a déclaré se trouver « aux côtés d’Israël ». Le chef de la diplomatie européenne Josep Borell a dénoncé la prise d’otage de civils par le Hamas, en violation du droit international et a réclamé leur libération.
Le Hezbollah pro-iranien au Liban, qui dispose d’une puissante branche armée, a revanche félicité le mouvement islamiste Hamas pour son « opération héroïque à grande échelle ». Emmanuel Macron a de son côté déclaré qu’il « condamne fermement les attaques terroristes » survenues en Israël.

Ces violences surviennent à un moment où la société israélienne est déjà sous tension. De nombreux citoyens dénoncent une radicalisation de l’exécutif.

Une réforme de la justice est au centre de vives inquiétudes. Elle transférerait plusieurs prérogatives du pouvoir judiciaire à l’exécutif, donc au gouvernement. L’opposition juge que l’état de droit dans le pays est menacé.
Malgré des manifestations monstre, la rue n’a pas été entendue. La loi a en effet été votée par la Knesset, le Parlement du pays, en juillet. Elle est examinée depuis plusieurs semaines par les quinze juges de la Cour suprême.
Si ces derniers censurent la loi, le pays pourrait se trouver au bord d’une grave crise constitutionnelle.

Dans la région, 75 ans après sa fondation, l’Etat hébreu en 1948 n’est toujours pas reconnu par la majorité de ses voisins.

La « normalisation », soit la reconnaissance de l’État d’Israël et l’établissement de relations diplomatiques avec lui, a longtemps été impensable dans le monde arabe, au nom du soutien à la cause palestinienne. Quelques pays arabes ont toutefois franchi le pas ces dernières années, fortement encouragés par les États-Unis.

Après l’Egypte en 1979, la Jordanie en 1994, la Mauritanie en 1999, les Émirats arabes unis et Bahreïn signent des traités de paix bilatéraux avec Israël en 2020. Avec plus de remous, le Maroc et le Soudan se sont également rapprochés d’Israël.







vendredi 6 octobre 2023

06/10/1973

 1° jour 06/10/1973 - 75ème anniversaire de la liaison TSF "Tour Eiffel - Panthéon"






Carte : Eugène Ducretet devant ses appareils récepteurs avec dispositif d'accord (1898)


 

"C dans l'air" vendredi 6 octobre 2023 : les invités reçus par Axel de Tarlé sur France 5

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"C dans l'air" vendredi 6 octobre 2023 : les invités reçus par Axel de Tarlé sur France 5

Axel de Tarlé vous donne rendez-vous ce vendredi 6 octobre 2023 à 17:30 sur France 5 pour un nouveau numéro de “C dans l'air”. Voici le thème de l'émission et les invités qui seront reçus.

17:45 "C dans l'air"

Axel de Tarlé décryptera en direct l'actualité en compagnie de quatre experts. En fin d'émission, ils répondent aux questions des téléspectateurs.

Les experts invités :

Fanny Guinochet, éditorialiste à France Info et La Tribune, spécialiste des questions économiques et sociales.

Mathieu Plane, économiste à l'OFCE, Observatoire Français des Conjonctures Économiques.

Jean-Claude Mailly, vice-président du think tank Synopia, ancien secrétaire général de Force Ouvrière.

Sandra Hoibian, directrice générale du CRÉDOC.

Le thème de l'émission :

Après de longues journées de négociations, les organisations syndicales et patronales gestionnaires du régime de retraites complémentaires Agirc-Arrco des salariés du privé sont parvenus à un accord, dans la nuit de mercredi à jeudi 5 octobre. Ce dernier prévoit une revalorisation des pensions de 4,9 % à compter du 1er novembre la fin du malus de 10 % qui s’appliquait depuis 2019 sur les pensions de nombreux retraités pourtant partis en ayant réuni toutes les conditions légales, et également un éventuel coup de pouce aux petites retraites.

En revanche, pas question d’entendre parler de ce qu’ils appellent un holdup sur le régime de retraites complémentaires de l’ensemble des salariés du privé. A savoir 25 millions de personnes qui cotisent, 13 millions de retraités qui en bénéficient et l’équivalent de près de 90 milliards d’euros de retraites versés chaque année. Ce régime qui n’est pas géré par l’Etat mais par les partenaires sociaux a dégagé l’an dernier un excédent de plus de 5 milliards d’euros. Surtout, il a en réserve, une cagnotte de 68 milliards d’euros pour faire face à d’éventuels coups durs.

Mais ces réserves intéressent l’exécutif qui veut en utiliser une partie pour financer notamment la revalorisation des petites pensions du régime général qu’il avait promis lors de la réforme du printemps. Le gouvernement a calculé que la réforme des retraites, entrées en vigueur le 1er septembre, va faire rentrer, au total, 22 milliards d’euros sur 15 ans dans les caisses du régime. Pour financer sa promesse de revaloriser les petites retraites à hauteur de 100 euros par mois maximum, il s’estime donc fondé à puiser 1 à 3 milliards d’euros par an dans les caisses de la complémentaire. De quoi mettre en colère les gestionnaires du régime, qui s’y opposent frontalement. De son côté le ministre du Travail a dénoncé jeudi une décision qui "met en péril l'équilibre de la réforme [des retraites] et la crédibilité de nos finances". De quoi présager d'une montée en flèche des tensions à l'occasion de la discussion du projet de budget de la Sécurité sociale, qui doit démarrer à la mi-octobre à l'Assemblée et raviver les tensions entre organisations syndicales et exécutif à l’heure de l’élaboration d’un "nouveau pacte de la vie au travail" des Français.

Ce dernier doit aborder plusieurs aspects : l'emploi des seniors, le compte épargne temps universel, les parcours professionnels, l'usure professionnelle et la reconversion qui attire de plus en plus les Français et notamment des cadres vers des métiers manuels quitte à perdre en niveau de vie. Ainsi 37 % des salariés envisageraient de se reconvertir dans une profession manuelle, selon un récent sondage réalisé par OpinionWay. Ils seraient même 51 % chez les moins de 35 ans.

Alors que contient l’accord sur le régime de retraites complémentaires Agirc-Arrco ? Ses réserves vont-elles être bientôt ponctionné pour financer le régime général ? Où en sont les discussions sur le "nouveau pacte de la vie au travail" ? Pourquoi les Français envisagent-ils de plus en plus une reconversion professionnelle ? Enfin chez les syndicats, l'arrivée des nouveaux adhérents sera-t-elle vivifiante ?