mercredi 15 août 2018

bonnes nouvelles de navigation

la suite de notre saison estivale aux iles du Venezuela sur

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amitiés marines à tout le monde

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" LA MONNAIE CARAÏBE "




La monnaie caraïbe est un mollusque appartenant à la classe des gastéropodes. Elle possède une coquille mesurant de l’ordre de 20 à 30 mm de couleur blanchâtre.
La monnaie caraïbe dispose de branchies localisées à l’avant du coeur comme l’ensemble des gastéropodes de la sous-classe des prosobranches – du grec proso qui signifie « à l’avant » - dont elle fait partie mais qui aujourd’hui n’est plus utilisée pour la classification.
La coquille se caractérise par un renflement médian très visible auquel elle doit son nom, avec d’une part cyphoma qui vient du grec et d’autre part gibbosum qui vient du latin gibbus, et qui signifient tous deux « bombé ou bossu ».
La monnaie caraïbe à ocelles se distinguent de la monnaie caraïbes sinuée - qu’il ne faut pas confondre – par ces motifs géométriques plus ou moins en forme de rectangles, de couleur orangée et cerclés d’une ligne noire présents sur son manteau de couleur crème qui vient recouvrir la coquille lorsque l’animal est en activité.
La monnaie caraïbes à ocelles possède des motifs en forme de rectangleLa monnaie caraïbe broute exclusivement les gorgones dont elles friandes !
Répartition géographique
La monnaie caraïbe se rencontre dans la mer des Caraïbes : aux Antilles, aux Bahamas, au sud de la Floride, ... Elle est observable de quelques mètres de profondeur jusquà 20 mètres.
Habitat
La monnaie caraïbe se rencontre sur les gorgones dont elle se nourrit comme la gorgone « plume de mer », ...
Alimentation
La monnaie caraïbe se nourrit exclusivement de gorgones qu’elle broute laissant derrière elle des traces facilement observables. Par ailleurs, il n’est pas rare de rencontrer plusieurs individus sur une même gorgone !
Reproduction
Les sexes sont séparés. Après fécondation interne par le mâle, la femelle pond ces oeufs enroulés en spirale autour des branches de la gorgone.
Le saviez-vous ?
Autrefois ce coquillage servait de monnaie d’échange, d’où son nom français de « monnaie caraïbe ».
Une autre espèce est présente aux Antilles, la monnaie caraïbe sinuée (Cyphoma signatum) dont le manteau est recouvert de dessins en forme d’empreinte digitale. Cette espèce est plus rare que la monnaie caraïbe à ocelles.

mardi 31 juillet 2018

CHER TRÉSOR







un trésor englouti au large de la Floride est français

ACTUALITÉ
Une société privée avait fait une découverte inestimable en 2016, au large de la Floride : les restes d’un navire du XVIe siècle, avec entre autres, sa cargaison de canons en bronze. Depuis deux ans, la bataille juridique faisait rage entre cette société et la France, qui s’estime légitime propriétaire de l’épave, parmi les plus importantes découvertes de Floride. La justice vient de trancher.
Aux États-Unis, une âpre bataille juridique, en cours depuis deux ans, autour d’un trésor archéologique inestimable, vient de connaître un nouveau rebondissement avec la récente décision d’une cour fédérale américaine : l’épave découverte en 2016, dans les fonds marins au large de la Floride, est bien celle de La Trinité, et appartient donc à la France, estime la juge Karla Spaulding.
L’affaire commence en mai 2016. Une compagnie privée de recherches sous-marines, la Global Marine Exploration (GME), met alors la main sur l’un des Graals des explorateurs de fonds marins. Au large de la Floride, près de Cap Canaveral, à huit mètres de profondeur, ses plongeurs découvrent les restes d’un ou de plusieurs navires anciens : 22 canons, dont trois en bronze ornés d’une fleur de lys, ainsi qu’un monument en marbre.
Au départ, les plongeurs de la GME pensent avoir trouvé ce qu’ils étaient venus chercher : les restes de La Trinité. C’est-à-dire le vaisseau de l’amiral français Jean Ribault. Le Dieppois avait été choisi, en 1562, par l’amiral Gaspard II de Coligny, pour fonder la Floride française au nom du roi Charles IX. Mais, en septembre 1565, la deuxième expédition tourne court. Pris dans une tempête, La Trinitécoule. Jean Ribault est exécuté par les soldats de l’amiral espagnol Pedro Menéndez de Avilés à Fort Caroline, en Floride.
Exploration des côtes de la Floride française par l’expédition de Ribault et Laudonniere. (Illustration : Jacques Le Moyne de Morgues/Domaine Public).
Une épave française ou espagnole ?
Depuis des décennies, de nombreux archéologues avaient tenté de trouver les restes du vaisseau pour sa cargaison inestimable : chacun des trois canons en bronze est estimé à plus d’un million d’euros… De quoi se lancer dans une bataille juridique : car, selon le « Sunken Military Act », voté par les États-Unis en 2004, les pays sont souverains sur leurs anciens navires de guerre, trouvés dans les eaux américaines. Donc, s’il s’agit bien de La Trinité, l’épave et sa cargaison appartiennent à la France.
Dans un communiqué publié en juillet 2016, le directeur de GME, Robert Pritchett, explique que finalement, il ne s’agirait pas des restes de La Trinité. « Selon des preuves matérielles recueillies sur place, et les recherches historiques menées par notre équipe d’archéologues, nous avons écarté la possibilité qu’il puisse s’agir du navire de Jean Ribault. La véritable identité du navire pourrait ne jamais être connue. »
L’équipe estime que la cargaison avait été pillée par des pirates ou des marchands espagnols, au moment de l’exécution de Jean Ribault à Fort Caroline (la première ville érigée par les Européens en Amérique). Selon eux, l’épave au fond de l’eau est celle du bateau espagnol, chargé de la cargaison du bateau français.
Jean Ribault prenant possession de la Floride française. La colonne de marbre trouvée au fond de l’eau pourrait être identique à celle représentée sur cette gravure d’époque. (Illustration : Jacques Le Moyne de Morgues/Domaine Public).
Une découverte majeure
Évidemment, l’ambassade de France n’est pas du même avis : devant le tribunal d’Orlando, elle est allée réclamer la propriété de l’épave. En 2016, Clément Leclerc, consul de France à Miami, estime que la découverte est colossale. « Nous considérons, sur la base d’analyses scientifiques, qu’il s’agit d’épaves françaises de la flotte de Jean Ribault. Vous connaissez toute la portée historique et symbolique de ce sujet : il y a peu d’objets historiques et archéologiques de cette époque, c’est-à-dire plus de deux siècles avant la création des États-Unis. » Les deux versions ont été confrontées devant les tribunaux américains. Les équipes de GME estimant que la France n’avait aucun moyen de prouver sa version.
Dans sa décision rendue le 29 juin, la cour fédérale américaine a finalement donné raison à la France. Une décision saluée par le musée maritime de Saint-Augustine (Floride) : « Cette décision va permettre la récupération de l’épave, par l’État de Floride, en coopération avec la France. Il s’agit de l’histoire fondatrice de notre État, poursuit la directrice Kathy Fleming, citée par le site scientifique Live Science. Cette épave est la plus importante de toutes celles trouvées dans les eaux floridiennes. » Selon James Goold, l’avocat du gouvernement français, cité par l’agence Associated Press, cette décision va protéger le trésor d’un pillage privé.
La Global Marine Exploration qui estime la décision « injuste », par la voix de Robert Pritchett, a jusqu’à début août pour faire appel.

dimanche 22 juillet 2018

COMMISSAIRE DUPIN A PLOUMANAC'H








Après un épisode de "Joséphine Ange Gardien "  un épisode tourné à "Ploummenech", France 3 diffuse ce soir  le Commissaire Dupin sur la Côte de granit roseLe téléfilm a été tourné en octobre dernier sur la côte de Granit rose.

Le téléfilm a été tourné en octobre dernier sur la côte de Granit rose. (©letregor)

Ce dimanche 22 juillet, à 20 h 55, France 3 diffuse l’enquête du commissaire Dupin tournée en octobre dernier sur la côte de Granit rose.
Le tournage a duré 23 jours et mobilisé près de 70 personnes. Des scènes ont été tournées au phare de Ploumanac’h, sur le sentier des douaniers à Perros-Guirec, sur la plage du Cos-Porz à Trégastel… 
Le pitch de l’épisode intitulé La morte rose : une femme a été retrouvée étranglée dans une carrière de granit rose il y a sept ans. Le meurtre n’a pas été élucidé. Dupin se rend sur les lieux de la découverte du cadavre. Il y rencontre Jérôme Chastagner, le propriétaire de la carrière, qui ne lui fait pas bonne impression…

lundi 16 juillet 2018

ALLEZ LES BLEUS











Pourquoi les Bleus seront champions du monde en 2022

PAR HUGO RÉGNIER
SPORT
Face à la Croatie (4-2), l’équipe de France a décroché ce dimanche soir son deuxième titre de champion du monde après celui de 1998. Une performance incroyable que les Bleus pourraient bien réitérer au Qatar dans quatre ans, lors de la prochaine Coupe du monde en 2022.

Nous y étions. Partout en France, des millions de personnes sont descendues dans la rue pour célébrer la deuxième étoile de l’équipe de France dans une ambiance extraordinaire. Un moment d’histoire inscrit en lettre d’or dans toutes les mémoires. Un moment rare de joie et de communion avec lequel le pays pourrait bien renouer dès la prochaine Coupe du monde en 2022. Voici pourquoi.
Kylian Mbappé est un prodige
Son sourire juvénile pendant l’hymne national est celui d’un gamin de 19 ans en train de vivre son rêve de disputer une finale de Coupe de monde. Mais sur le terrain Kylian Mbappé a déjà tout d’un très grand. Auteur du quatrième but français, le natif de Bondy est devenu le deuxième buteur de moins de 20 ans à marquer en finale d’un Mondial après le brésilien Pelé en 1958. Et comme le Roi Pelé en son temps, Kylian Mbappé est un prodige du ballon rond. « Si Mbappé continue d’égaler mes records comme ça, je vais peut-être devoir dépoussiérer mes crampons à nouveau », s’amusait celui qui a été sacré trois fois champion du monde avec le Brésil (1958, 1962, 1970).

SAISON CYCLONIQUE 2024

« Tous les ingrédients sont réunis » : pourquoi la saison des ouragans s’annonce dantesque en Atlantique Nord Les conditions climatiques son...