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Campé dans l’immense écran du Conseil de sécurité de l’ONU, mardi après-midi, le président ukrainien Volodymyr Zelensky tonne.
Il y a eu les horreurs de Boutcha et Poutine est un criminel de guerre
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Zelensky au Conseil de sécurité de l’ONU, à New York, mardi 5 avril
Campé dans l’immense écran du Conseil de sécurité de l’ONU, mardi après-midi, le président ukrainien Volodymyr Zelensky tonne.
Il y a eu les horreurs de Boutcha et Poutine est un criminel de guerre
🔴ARRÊT DES IMPORTATIONS DU GAZ RUSSE...
➡️ LIS ÇA 👇 , ET TU VAS COMPRENDRE POURQUOI LES "VA-T'EN GUERRE" NOUS PRENNENT POUR DES IDIOTS (pour rester poli)...
GAZ RUSSE. 👉 Russie/Europe.
En 2022 , Il existe moins de 600 méthaniers, c’est à dire des navires spécialisés dans le transport de gaz avec une capacité moyenne de 140.000m3.
Le plus gros méthanier a une capacité de 260000m3 , il dessert des produits gaziers quataris .
Un calcul simple :
600 méthaniers x 140000m3 = 84.000.000 m3 de gaz .
Le nombre de navires transportant le gaz mondial peut livrer 84 millions de mètres cubes chaque mois.
Donc : 84.millions de mètre cubes x 12 = 1.008.000.000 m3/an .
La Russie livre 150 milliards de m3 par an à
l'Europe.
L’union européenne c’est tout de même 27 pays .
"Grossomodo", il faudrait que les usa détiennent d'abord tous les bateaux de transports de gaz de la planète et il faudrait encore que tous ces bateaux soient en mesure de faires 4 voyages par année pour approvisionner l'Europe.
Et une fois le gaz liquéfié livré, il faudrait encore procéder à le rendre gaz vu qu'il est en état liquide, prenant en compte le transport et la transformation du gaz, la facture sera 4 à 6 fois plus élevée que le gaz russe, sans oublier la pollution que cela pourrait engendrer, en forage et toutes ses conséquences ainsi qu’en transport!!!
Considérons que les États-Unis voudraient combler cette dépendance en livrant 150 milliards de m3 à l'Europe . Il leur faudrait 6000 navires méthaniers, ainsi que 1790 voyages par navire!!!
Un voyage entre les usa et l'Europe dure en moyenne 1 mois.
En aller et retour, il faudrait que les 6000 navires fassent chacun 8 voyages par an pour combler ce vide .
Ceci, juste pour que vous ayez une idée de la dépendance européenne en gaz russe .
NB : Les besoins chinois en gaz sont de 160 milliards m3 par an , soit plus que la consommation Européenne annuelle .
Conclusion : Se passer du gaz russe dans une "décennie" pour ne pas dire avenir proche, est une utopie pour les Nations Européennes .
Jean Coffie.
Cyberactiviste, géopoliticien spécialiste des questions de défense et de sécurité.
COMMENTAIRES
Un mois pour un voyage vers les États-Unis ! Je suis très étonné ! En 1967,mon navire qui se déplaçait à 18 nœuds à mis à peine 1 mois pour faire Brest Papèetè,avec plusieurs escales de plusieurs jours, il est vrai que nous avons passé Panama, mais de nouvelles écluses ont été construites pour permettre le passage de très gros navires. Ces supers méthaniers ne font pas d'escales, à part peut être à l'entrée ou à la sortie du canal...
C'est vrai ils nous ont pris pour des cons avec le Covid et là ils remettent ça avec la guerre…c'est l'enseignement des professeurs mondialistes…….
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La Grande Barrière de corail | ||||
La Grande Barrière de corail, en Australie, subit un « blanchissement massif », a annoncé la semaine dernière l’agence australienne chargée de sa gestion. Le blanchissement des coraux, dû au réchauffement climatique, peut entraîner leur dépérissement. Il s’agit du quatrième épisode de blanchissement massif dans la Grande Barrière de corail depuis 2016. Le plus grand récif corallien du monde est particulièrement vulnérable au changement climatique, malgré des mesures de protection. | ||||
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Un corail est un petit animal invertébré, qui appartient au même groupe que celui des méduses et des anémones de mer. La plupart des espèces de coraux vivent en colonies de centaines ou de milliers d’individus qui bourgeonnent et créent un squelette calcaire commun. C’est ainsi qu’ils bâtissent des récifs coralliens. Un récif corallien forme un écosystème riche en biodiversité, généralement à faible profondeur : il abrite de nombreuses espèces d’animaux et de plantes, qui y trouvent abri et nourriture. Les récifs coralliens ne couvrent que 0,2 % des fonds marins, mais abritent au moins un quart des espèces marines de la planète, selon le Réseau mondial de surveillance des récifs coralliens, qui réunit des scientifiques et diverses organisations. La Grande Barrière de corail, située le long de la côte de l’État australien du Queensland, au nord-est du pays, dans l’océan Pacifique [voir une carte], est le plus grand récif corallien du monde. Elle est en réalité constituée de près de 3 000 récifs distincts. Elle a été inscrite en 1981 au patrimoine mondial de l’Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture (Unesco). | ||||
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Le tournage du téléfilm belgo-canadien Le Phare de Moriah a débuté le 30 mars au Castel Beau site à Perros-Guirec.
Un comité de défense des Salines, représenté par Garcin Malsa, organise ce dimanche une journée de sensibilisation et de mobilisation afin d'alerter les Martiniquais sur la nécessité de préserver ce site naturel exceptionnel, qui serait menacé « de bétonisation et de privatisation ». La mairie de Sainte-Anne dément l'existence d'un tel danger sur ce secteur, autour de l'étang des Salines, désormais classé et protégé.
Le secteur des Salines, un site naturel en danger ? C'est ce qu'affirme le comité de défense des Salines. Ce groupe, à la tête duquel on retrouve la figure bien connue de Garcin Malsa, organise ce dimanche 3 avril une manifestation de sensibilisation sur les risques qui pèseraient sur cette zone naturelle chère aux Martiniquais, en raison d'une activité humaine potentielle, voire d'ores et déjà avérée, aux alentours de l'étang des Salines. Et ce, bien que ce site soit protégé depuis plusieurs décennies. « Les institutions de tutelle s'accommodent et acceptent que des travaux de bétonisation et de privatisation se déroulent impunément depuis 2015 sur cet espace », alerte l'ancien maire de Sainte-Anne, cofondateur de l'Association pour la sauvegarde du patrimoine martiniquais (Assaupamar), dans une lettre ouverte adressée à Serge Letchimy, le président du Conseil exécutif de la Collectivité territoriale de Martinique. « Les Salines sont en danger », affirme sans ambages M. Malsa dans cette missive datée du 23 mars.
Le comité de défense des Salines dénonce, dans un « appel à la mobilisation générale » adressé à la population via les réseaux sociaux, une « reprise des activités déguisées d'urbanisation » depuis plusieurs années. Dès lors, le groupe donne rendez-vous aux Martiniquais ce dimanche, dès 8 heures, à l'entrée de Fond Moustique.
Des velléités de privatisation du secteur des Salines ? D'aucuns pensaient pourtant que ce chapitre était définitivement clos. Les anciens ont en mémoire le projet hôtelier Asatahama de 1974, un plan pharaonique qui prévoyait la construction, à la pointe sud de la Martinique, de six hôtels d'une capacité totale de 11 000 lits, avec une marina, trois casinos, un golf, un aéroport... « A l'époque, la question de la protection de l'environnement n'était pas à l'ordre du jour », se remémore Garcin Malsa. Face à la mobilisation des Martiniquais, ce projet a finalement été abandonné. Dans les années 1980, d'autres projets fonciers de grande envergure ont été torpillés par les organisations écologistes, dont l'Assaupamar.
Le site est désormais protégé des appétits des investisseurs. Ainsi, l'étang des Salines a été intégré à la convention de Ramsar, un traité international pour la préservation et l'utilisation durable des zones humides d'importance significative. « Il faut être sur le qui-vive en permanence, car ce qui est fait peut être défait », s'inquiète Garcin Malsa. L'ancien maire de Sainte-Anne énumère les menaces qui pèsent aujourd'hui sur ce site : « Les producteurs de melons qui étendent leurs exploitations », accentuant le déboisement et l'érosion du sol, et qui utilisent du plastique et « des intrants qui arrivent in fine dans la mer » ; le propriétaire de l'ancienne usine du Marin qui « avance ses clôtures dans l'étang » ; ou encore la construction récente d'« une route avec de la caillasse à proximité de l'étang ».
Du point de vue de la mairie de Sainte-Anne, de telles allégations sont infondées. « Le secteur des Salines est en " opération grand site " depuis 2013. Rien ne peut se faire sans l'avis du ministère (de l'Environnement, ndlr) », rétorque Jean-Michel Gémieux, le maire de la commune. « Pour faire un projet sur les Salines, il faut un permis de construire », martèle le successeur de M. Malsa, soulignant qu'aucun permis de construire n'a été délivré et que le secteur de l'étang des Salines est désormais classé en zone agricole protégée.
Par ailleurs, la commune, ajoute l'édile, « va continuer d'assurer la gestion opérationnelle » du site Ramsar au moins jusqu'en octobre 2023, date à laquelle l'accord devrait devenir caduc. Les cosignataires de la convention - la municipalité et le Conservatoire du littoral -, pourraient alors décider de transférer la compétence de la gestion opérationnelle du site à l'Espace Sud.
Gare à vous si vous osez prononcer le mot "lapin" à bord d'un bateau. Une ancienne superstition des marins raconte que la pr...