samedi 26 août 2023

 

Lettre à une « chanteuse » de gauche (Par Jean-Paul Pelras, agriculteur et journaliste catalan)




Madame,


Comme une multitude de terriens, n’ayant jamais entendu parler de vous jusqu’à ce que vous vous en preniez à une chanson de Michel Sardou, je suis allé musarder sur Wikipédia pour consulter votre curriculum vitae. Lequel m’apprend que vous êtes la fille d’un compositeur, que vous avez effectué votre scolarité dans une école privée catholique au Vésinet, que vous avez poursuivi vos études au lycée Jeanne d’Albret à Saint Germain en Laye, que vous avez tenté trois fois le Conservatoire national supérieur d’Art dramatique et que vous avez travaillé pendant 6 ans comme journaliste, entre autres chez France Culture et Arte.


En poursuivant mes recherches sur le « computer » j’ai aussi appris que vous avez assisté, à Rolland Garros en juin dernier, aux Internationaux de tennis, comme il se doit dans le carré VIP. Espace ensoleillé qui, comme chacun le sait, n’est pas forcement accessible à ceux qui ont du mal à s’avitailler.


Mais revenons à cet interview que vous avez récemment donné à un media belge où vous avez affiché votre détestation pour « Les lacs du Connemara » : « C’est le côté scout sectaire, la musique est immonde (..) C’est vraiment une chanson qui me dégoûte (…) C’est de droite rien ne va »


Bien que vous ayez tout à fait le droit de n’apprécier ni la rime, ni les paroles de ladite ritournelle, vous auriez peut-être pu nous éviter ce petit supplément d’opinion. Ayant beau chercher où se trouve la droite et la gauche dans le comté de Galway et dans ces terres catholiques où vivait Maureen comme vous fréquentiez autrefois les écoles privées, je n’ai vue qu’un appel à faire la paix autour d’une croix.


A l’instar d’une député écolo-woke et féministe française qui, écharpe en bandoulière, brandissait une pancarte « Sardou ta gueule » lors d’une manifestation contre la réforme des retraites, vous avez, avec cette déclaration, suscité de nombreuses réactions dans les médias et sur les réseaux dits « sociaux ».

Ce qui, d’une certaine façon, vous fit passer de l’ombre à la lumière. De facto, si nous ne savons toujours pas ce que vous fredonnez, nous savons que vous avez critiqué l’un des plus célèbres chanteurs français à qui vous devez donc désormais une soudaine notoriété.


« C’est de droite et rien ne va. » Ah bon parce que vous pensez qu’à gauche tout se passe bien ? Il y aurait à ce propos beaucoup à dire sur votre sens de l’orientation politicienne à géométrie variable, selon que vous vous exprimez derrière un micro ou que vous observez les allers-retours d’une baballe au pays des bobos. Et ce, parmi quelques artistes de variétés largement subventionnés comme vous le fûtes en 2021, dans le cadre des aides à la création, avec 154 000 euros de dotation. L’histoire ne précisant pas si l’argent venait de droite ou de gauche. Sachant bien évidemment qu’il fut dûment acquitté par le contribuable français. 


Nous voici donc rendus aux portes d’une nouvelle société où une certaine culture nous serait désormais imposée, où les méchants écouteraient Sardou et où les gentils seraient plutôt enclins à partager vos admirables idées. Bien triste époque que celle-ci où le véritable talent s’efface derrière l’insoutenable médiocrité des minorités.

Jean-Paul Pelras

 Point cyclonique pour le WE du 26 août / Zone privée

 

Bonjour à tous,





 

La semaine a été plus calme que les précédentes, comme attendu. Cela n’empêche pas l’Atlantique de rester pas mal agité avec pas moins de 5 systèmes encore suivis par le NHC.

 

Un des ex systèmes de la semaine dernière, la rémanence de la tempête GERT s’est maintenue au large de l’arc Antillais toute la semaine. C’est une situation absolument inhabituelle et heureusement que les conditions n’étaient pas particulièrement favorables … sans quoi ça aurait pu être tendu. Depuis aujourd’hui cette masse convective a commencé à franchir l’arc par la moitié sud, amenant de bonnes précipitations entre Grenade et Sainte-Lucie. La zone étant très perturbée avec la présence de la tempête Franklin un peu au nord, il n’est pas impossible qu’une bonne partie de l’arc Antillais se voit arrosé ces prochaines heures. Pour autant, il n’y a pas de risque cyclonique ni même de risques liés aux précipitations (en tout cas pas à cette heure).

 

Puisque l’on parle de la tempête Franklin, elle suit plus ou moins sa prévision de trajectoire et devrait rapidement monter au nord. Cependant, le cisaillement de secteur Nord Ouest a tendance à repousser les sommets des nuages vers les Îles du Nord, ce qui pourrait amener quelques débordements pluvieux ces prochaines heures.

 

Parmi les 5 systèmes suivis par le NHC, un pourrait nous intéresser, à savoir l’onde pas encore sortie d’Afrique. Pour le moment les modèles lui prévoient une trajectoire au nord de l’arc Antillais, mais l’échéance reste très éloignée et il faudra donc garder un oeil dessus.

 

Bon WE

[OlivierTisserant]


vendredi 25 août 2023

C DANS L'AIR vendredi 25 août 2023

 

"C dans l'air" vendredi 25 août : les invités reçus par Axel de Tarlé sur France 5

Ce vendredi 25 août 2023 à partir de 17:45 sur France 5, Axel de Tarlé présentera en direct un nouveau numéro de "C dans l'air". Voici les invités qui seront reçus aujourd'hui dans l'émission.

Axel de Tarlé décryptera en direct l'actualité en compagnie de quatre experts. En fin d'émission, ils répondent aux questions des téléspectateurs.

Les invités :

Général Dominique Trinquand, ancien chef de la mission militaire française auprès de l’ONU.

Tatiana Kastouéva-Jean, directrice du Centre Russie - IFRI.

Sylvie Bermann, diplomate, ancienne ambassadrice de France en Russie.

Rym Momtaz, chercheuse en relations internationales et défense européenne - International Institute for Strategic Studies (IISS).

Sylvain Tronchet; correspondant à Moscou pour Radio France (par Skype).

Le thème de l'émission : Wagner : quel avenir après la disparition de Prigojine ?

« Un homme talentueux qui a commis des erreurs ». C'est en ces termes que Vladimir Poutine a rendu hier hommage au patron de la milice paramilitaire Wagner, Evguéni Prigojine, disparu dans un crash d'avion en début de semaine, et devenu traître à la nation depuis sa tentative de putsch en juin dernier. Son élimination agite les observateurs et une succession d'hypothèses ont fleuri un peu partout. Les yeux sont évidemment tournés vers le chef du Kremlin, connu pour être sans pitié envers ses adversaires. Les activistes et opposants sont traqués sur le sol russe comme européen, et avec le conflit qui dure, cette purge pourrait bien s'accélérer.

La question est aujourd'hui de savoir ce que Wagner va devenir maintenant que son leader a disparu. Aucun successeur n'étant désigné, le flou est grand sur l'avenir des membres de cette milice. Sur le front ukrainien, Wagner était déjà en recul depuis plusieurs mois pour céder leurs positions à l'armée régulière.

En Afrique aussi l'avenir de Wagner est en suspens. Lors de sa dernière mise en scène, Prigojine disait effectuer une « mission de reconnaissance » pour « rendre le continent africain encore plus libre ». Ces dernières années, l'Afrique représentait une part considérable des activités du groupe, engagé en Lybie, au Soudan, en Centrafrique, au Mozambique, à Madagascar et au Mali. Sans oublier sa possible présence au Niger.

Pendant ce temps, lors du sommet des Brics (Brésil, Russie, Inde, Chine, Afrique du Sud) à Johannesburg, Poutine a profité dans son intervention par vidéo depuis Moscou pour justifier sa guerre menée en Ukraine. Bien que le mandat de la Cour pénale internationale (CPI) l'ait empêché de se déplacer en personne, ce sommet est l'occasion pour lui de montrer qu'il n'est pas isolé, et qu'il conserve le soutien de certains de ses partenaires.

Alors, quel avenir pour Wagner après la disparition de Prigojine ? Que deviendra-t-il de sa présence en Afrique ? Quel place Poutine occupe-t-il encore sur le plan international ?

la réserve naturelle nationale des Sept-Îles

 

À Perros-Guirec, trois ministres pour les Sept-Îles

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Par Elodie Papin

Le ministre de la Transition écologique, Christophe Béchu, et ses collègues du gouvernement Hervé Berville et Sarah El Haïry, sont venus à Perros-Guirec ce vendredi 25 août, inaugurer l’extension de la réserve naturelle nationale des Sept-Îles. Ils ont été accueillis par le maire, Erven Léon.

Erven Léon, maire de Perros-Guirec, a profité du trajet entre la cale et le Palais des Congrès pour présenter aux représentants de l’État la plage de Trestraou.
Erven Léon, maire de Perros-Guirec, a profité du trajet entre la cale et le Palais des Congrès pour présenter aux représentants de l’État la plage de Trestraou. (Le Télégramme/Élodie Papin)

Les trois ministres en balade le long de la plage de Trestraou ne sont pas passés inaperçus, entre costumes cravates et maillots de bain. Christophe Béchu, ministre de la transition écologique, Hervé Berville, secrétaire d’État à la Mer, et Sarah El Haïry, à la Biodiversité, sont venus à Perros-Guirec ce vendredi 25 août inaugurer l’extension de la réserve naturelle nationale des Sept-Îles. Après la visite du centre de soin de la station de la Ligue pour la protection des oiseaux (LPO), à l’Île-Grande, ils ont parcouru la réserve en vedette, en compagnie d’élus locaux et des représentants des usagers.

Un macareux en cadeau

Sept-Îles : trois ministres pour saluer l’extension de la réserve au large de Perros [Vidéo]


Par Elodie Papin, Olivier Paris

Pas moins de trois ministres ont fait le déplacement sur la Côte de Granit Rose, ce vendredi 25 août, pour marquer l’extension de la réserve naturelle nationale des Sept-Îles, située au large de Perros-Guirec.


Veuillez fermer la vidéo flottante pour reprendre la lecture ici.

Grand jour pour les Sept-Îles. Allain Bougrain-Dubourg, le président de la Ligue pour la protection des oiseaux (LPO), gestionnaire du site pour le compte de l’État, a accueilli ce vendredi 25 août, Christophe Béchu, le ministre de la Transition écologique et de la cohésion des territoires, et deux de ses collègues du gouvernement, Hervé Berville, secrétaire d’État chargé de la mer, et Sarah El Haïry, secrétaire d’État chargée de la biodiversité, pour inaugurer l’extension de la réserve naturelle nationale située au large de Perros-Guirec.

Allain Bougrain-Dubourg et les équipes de la Ligue pour la protection des oiseaux ont notamment présenté aux ministres les activités du centre de soins de l’Île-Grande, à Pleumeur-Bodou.
Allain Bougrain-Dubourg et les équipes de la Ligue pour la protection des oiseaux ont notamment présenté aux ministres les activités du centre de soins de l’Île-Grande, à Pleumeur-Bodou. (Le Télégramme/Olivier Paris)

 

Les Sept-Îles, au large de Perros-Guirec, « une mosaïque remarquable d’habitats imbriqués »


Par Elodie Papin

L’extension de la réserve naturelle des Sept-Îles, au large de Perros-Guirec (22), passée en juillet de 280 à 19 700 hectares, sera « inaugurée », vendredi par le ministre Christophe Béchu. Sami Hassani, responsable de la conservation à Océanopolis, partage son regard sur la riche biodiversité de l’archipel, et revient sur l’avis donné sur l’extension par le conseil scientifique de la réserve, qu’il préside.

Pour Sami Hassani, président du conseil scientifique de la réserve des Sept-Îles, « les 19 700 hectares permettent d’englober de nombreux habitats sensibles : bancs de maërl, herbiers de zostères, forêts de laminaires. »
Pour Sami Hassani, président du conseil scientifique de la réserve des Sept-Îles, « les 19 700 hectares permettent d’englober de nombreux habitats sensibles : bancs de maërl, herbiers de zostères, forêts de laminaires. » (Photo Guy Bescond - Océanopolis)

Pourquoi la réserve naturelle nationale des Sept-Îles a-t-elle été étendue, passant de 280 à 19 700 hectares, en incluant une large zone marine ?

Il y a une volonté de l’État d’augmenter la surface des aires marines protégées. Et derrière cette politique générale, il y a une réalité : les enjeux marins sont forts. C’est très riche les Sept-Îles. Il y a une mosaïque d’habitats imbriqués, qui est remarquable. Ce n’est pas pour rien qu’il y a de grands prédateurs : des oiseaux comme les fous de Bassan ou des phoques gris. Cette faune s’alimente en mer.

jeudi 24 août 2023

"C dans l'air" jeudi 24 août 2023

 

"C dans l'air" jeudi 24 août 2023 : les invités reçus par Caroline Roux sur France 5


"C dans l'air" jeudi 24 août 2023 : les invités reçus par Caroline Roux sur France 5

Ce jeudi 24 août 2023, Caroline Roux présentera en direct sur France 5 à partir de 17:45 un nouveau numéro de "C dans l'air". Voici le thème de l'émission et les invités qui seront reçus.

Caroline Roux décryptera en direct l'actualité en compagnie de quatre experts. En fin d'émission, ils répondent aux questions des téléspectateurs.

Les invités : 

Anthony Bellanger, éditorialiste à France Inter, spécialiste des questions internationales.

Cécile Vaissié, professeur des universités, en études russes, à Rennes 2.

Sergueï Jirnov, ancien officier supérieur du KGB.

Général Dominique Trinquand, ancien chef de la mission militaire française auprès de l’ONU.

Paul Gogo, journaliste correspondant à Moscou (par skype).

Le thème de l'émission : Mort de Prigojine : l'ombre de Poutine

Evguéni Prigojine serait mort. Le patron du groupe paramilitaire Wagner, qui avait tenté une rébellion finalement avortée en juin dernier, aurait péri hier dans le crash d'un avion qui reliait Moscou et Saint-Pétersbourg. De nombreuses questions restent en suspens autour de cette disparition, alors que l'ancien proche de Vladimir Poutine a frontalement défié le président russe ces derniers mois.

Si la France affirme avoir des « doutes raisonnables » sur « les conditions » du crash aérien, le président américain Joe Biden suspecte plus directement l'implication de Poutine dans cet accident, en se disant « pas surpris » puisque « peu de choses se passent en Russie sans que Poutine n'y soit pour quelque chose ». De son côté, Volodymyr Zelensky assure que l'Ukraine n'a « rien à voir avec cette situation », et pointe aussi, à demi-mot, le chef du Kremlin : « Je pense que tout le monde comprend qui est concerné...».

Les méthodes de Vladimir Poutine pour neutraliser ses opposants sont en effet bien connues. Le maître du Kremlin a parfois utilisé le poison comme arme stratégique. En 2020, l'opposant Alexeï Navalny, dissident numéro 1 du Kremlin, plonge dans le coma après un empoisonnement au Novitchok. Cet été, c'est un ancien conseiller de Poutine en désaccord avec l'invasion de l'Ukraine qui a été hospitalisé d'urgence, avec le soupçon d'un empoisonnement là encore de la part du Président russe. Qu'ils soient assassinés, emprisonnés ou exilés, le sort des opposants dans la Russie de Poutine est sans pitié.

Pendant ce temps, sur le terrain, la contre-offensive des Ukrainiens n'avance toujours pas. Lancée en juin, l'offensive de Kiev ne donne pour l'instant pas les résultats escomptés. Au contraire, l'armée russe semble même récupérer quelques territoires. Pourtant, le président ukrainien continue de croire en la victoire, y compris en Crimée, et célèbre aujourd'hui l'anniversaire de l'indépendance de l'Ukraine, qui remonte à 1991.

Alors, qui est derrière le crash d'avion qui aurait coûté la vie à Evguéni Prigojine ? Poutine peut-il avoir demandé la neutralisation du patron de Wagner ? Quel impact cette mort pourrait-elle avoir sur la suite de la guerre ?

mercredi 23 août 2023

C DANS L'AIR 23 août

 Ce mercredi 23 août 2023, Caroline Roux présentera en direct sur France 5 à partir de 17:45 un nouveau numéro de "C dans l'air". Voici le thème de l'émission et les invités qui seront reçus.


Caroline Roux décryptera en direct l'actualité en compagnie de quatre experts. En fin d'émission, ils répondent aux questions des téléspectateurs.

Les invités : 

Carl Meeus, rédacteur en chef au Figaro Magazine.

Gaëlle Macke, directrice déléguée de la rédaction à Challenges.

Fanny Guinochet, éditorialiste à Franceinfo et à La Tribune, spécialiste des questions économiques et sociales

Jean Garrigues, historien, président du Comité d’histoire parlementaire et politique.

Le thème de l'émission : Rentrée politique : à quoi s'attendre ?

C'est la rentrée politique, et avec elle les grandes manoeuvres. Invitée ce matin sur France Bleu, la Première ministre a détaillé les dossiers à venir et assuré qu'il n'y aurait pas d'augmentation des impôts des ménages. Certaines taxes devraient cependant augmenter, celles des billets d'avion long-courriers par exemple, ainsi que les franchises médicales.

Car l'objectif de la rentrée est bien de faire des économies. Mais relever ce défi sera difficile. L’Etat souhaite alléger sa dette (qui atteint plus de 3.000 milliards d’euros) alors même que plusieurs projets, comme la loi de programmation militaire ou l’augmentation du point d’indice des fonctionnaires, vont avoir besoin de financements. Un casse-tête, avec le spectre d'un nouveau 49.3 à l'Assemblée si aucun compromis n'est trouvé avec les LR.

Ce soir, Emmanuel Macron fait aussi sa rentrée avec une interview au Point qui risque de faire parler. Il devrait préciser comment il entend tendre la main aux partis de « l'arc républicain » c'est à dire à tous les partis sauf le Rassemblement national et La France insoumise. La rumeur de référendums circule déjà.

Pour faire des économies, le gouvernement mise en tout cas sur une chasse aux fraudes sociales. Celle qui concerne l'assurance maladie ferait perdre cinq millions d'euros chaque année, grâce notamment aux faux arrêts maladie. Ces fraudes, compliquées à détecter, mettent souvent les médecins en porte-à-faux.

Enfin, si aucune hausse d'impôts n'est prévue par le gouvernement, la taxe foncière augmente un peu partout dans l'Hexagone et parfois très fortement comme à Paris (+52%). Le mécontentement des propriétaires est grand. À Thiers, dans le Puy-de-Dôme, une action en justice est organisée pour dénoncer les 18% d'augmentation de cette taxe. Un impôt qui fait grincer des dents mais, pour les communes, il est le seul levier pour récupérer des recettes.

Alors, que devons-nous attendre de cette rentrée politique ? Que va annoncer Emmanuel Macron ? Comment lutter contre la fraude sociale ? L'augmentation de la taxe foncière est-elle disproportionnée ?

 L a parole d' Anne-Aymone Giscard d'Estaing  est rare.  Il y a cinquante ans, le 19 mai 1974, Valéry Giscard d'Estaing devenait...