Si je peux l’envisager, c’est bon signe, c’est que je suis en vie. Il y a des gens qui sont hantés par cette peur. Moi, je suis assez étrangère à cette question. Ce qui m’inquiète le plus, c’est la perte des autres. Même si l’on entretient dans nos souvenirs nos relations aux autres, être touché, avoir un rapport physique avec les gens, entendre leur voix, avoir leur regard, c’est vraiment quelque chose qui manque terriblement après leur disparition, c’est difficilement supportable. Je crains plutôt la maladie, la fin de vie qui peut être douloureuse, mais la mort, c’est une libération, c’est le soulagement à tout, aux souffrances, aux peurs, aux angoisses. A mon avis, elle n’est pas à craindre...
Il y aura toujours quelque chose de toi Qui restera en moi Tu seras toujours dans mes rêves, mes rides Mes goûts, mes choix Il y aura toujours un matin câlin
"Je suis un violeur comme ceux qui sont dans cette salle".
Ce sont les mots prononcés ce mardi par Dominique Pelicot, principal accusé dans l’affaire des viols de Mazan, qui n’était plus apparu à l’audience depuis mercredi dernier pour des raisons de santé.
J'avais l'habitude de penser que je pouvais tout arranger dans ma vie si je faisais un peu plus d'efforts ou si je lui accordais plus de temps. Mais certaines choses ne sont pas faites pour être " réparées ", parfois tout ce que vous pouvez faire, c'est faire la paix avec cela et aller de l'avant, sachant que vous avez fait de votre mieux.
Jean a disparu lors d'une plongée en apnée, avec palmes, masque et tuba, lors d'une escale aux Grenadines l'été dernier avec des amis, à l'île de White Island
au sud de Carriacou.
Jean n'aura pas de sépulture, car je doute qu'on le retrouve un jour...
Je me console en me disant que Jean n'a pas souffert, qu'il a dû faire un malaise , est au pays de sirènes et des langoustes, mais sa disparition ayant eu lieu le 12 septembre, le lendemain de mon anniversaire, le 11, après avoir caréné notre chère Afrodite, que nous avions bien fêté joyeusement entre amis à Tyrell Bay de Carriacou, après ses 75 ans fêtés le 30 août, mes prochains 11 septembre seront désormais non plus associés à la catastrophe des Twin Towers, mais à la perte de l'homme avec lequel j'ai partagé 42 années de mariage...
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Côté Martinique, la vigilance jaune demeure : demain, des averses sont en effet susceptibles de se former dans la matinée sur le flanc ouest de l’île. Elles peuvent se montrer copieuses et par endroits faire réagir les cours d’eau.
La plupart du temps, je choisis de ne pas parler de ce que je vis dans la vie parce que j’ai l’impression que rien ne changera jamais avec ce que je ressens. Je n'essaie pas de tendre la main à personne, même les jours où j'ai l'impression que je suis sur le point de m'abandonner.
Je sais qu'il y a des gens qui veulent m'aider, mais je ne veux pas vraiment être un fardeau pour qui que ce soit.
Je n'aime pas que les gens me voient comme vulnérable ou dévastée.
Je disparais quand je ne vais pas bien et je m'isole jusqu'à ce que je me sente mieux. J'ai tendance à pleurer en silence derrière des portes closes et je ne veux parler à personne quand je suis triste.
Je me guéris seule. Je me réconforte dans l'obscurité et je me débrouille au pire.
Je ne dépends de personne pour ma guérison, mais j’apprécie quand même ceux qui me rappellent qu’ils seront toujours là quand j’en aurai besoin.
Je continue de disparaître, même les jours où je sais que certaines personnes ont aussi besoin de moi. Je ne me présente pas la plupart du temps, en partie parce qu'il y a des moments où j'ai l'impression d'être trop fatiguée de tout et de ne pas supporter d'affronter le monde. Et c’est pourquoi j’apprécie ceux qui essaient encore de me comprendre et de me respecter lorsque je ferme mes fenêtres et mes portes à tout le monde. J'apprécie ceux qui comprennent que j'ai seulement besoin d'un peu de temps seule pour me sentir mieux bientôt, mais ils sont toujours devant ma porte et attendent que j'apparaisse lorsque je serai prête à me battre à nouveau.
Certains sentiments sont tellement difficiles à exprimer. Il est préférable de ne pas dire certaines choses. Je ne pense pas vraiment que quelqu'un comprendra pleinement à quel point je souffre parfois, car il existe une sorte de douleur qu'aucun mot ne peut décrire. Alors je choisis simplement de prendre du recul, de fermer la porte de ma chambre et de gérer toutes les choses terribles dans ma tête parce que j'ai l'impression que c'est l'endroit le plus sûr où je peux
La situation en Atlantique est très agitée avec plusieurs perturbations susceptibles de toucher l'arc antillais. Le tout dans une incertitude importante ce qui laisse la porte ouvertes à beaucoup d'interprétations, et comme toujours aussi de supputations malvenues.
On en parle dans ce LIVE imprévu ainsi que des risques pour l'arc antillais.
Qui me rassurera Devant mon miroir M'aimera les jours De cafard
Qui savourera mes p'tits plats Y'a qu'à toi qu' ça plaît Si je devais partir Pour de vrai
Il y aura toujours quelque chose de toi Qui restera en moi Tu seras toujours dans mes rêves, mes rides Mes goûts, mes choix Il y aura toujours un matin câlin Que j'trainerai partout
Il y aura toujours quelque chose de toi ... de nous
Qui me pardonnera Si j'crashe ta vieille MG Qui m'consolera quand j'pleure Au ciné
Ma vie je la voyais Autrement
Il y aura toujours quelque chose de toi Qui restera en moi Tu seras toujours dans mes rêves, mes rides Mes goûts, mes choix Il y aura toujours un matin câlin
Que j'trainerai partout Il y aura toujours quelque chose de toi ... de nous
Il y aura toujours quelque part un vide Qui s'remplit pas en moi J'passerai mon temps à m'dire Tu vois ça aurait dû être toi Il y aura toujours une nuit infinie Qui m'suivra partout Il y aura toujours quelque chose de toi... de nous
Il y aura toujours une nuit infinie Qui m'suivra partout Il y aura toujours quelque chose de toi... de nous