Et si cette séquence du spectacle des JO ne représentait pas la Cène, mais « Le festin des dieux » sur le mont Olympe. Un tableau de Jan Harmensz Van Bijlert. La référence aux dieux grecs (et pas au Christ) est évidente. Philippe Katerine représente Dionysos, dieu grec du vin et de l’ivresse.
Les dieux grecs vivent sur le Mont Olympe, comme "Jeux olympiques
la partie avec les Drag Queen ne parodie pas la Cène mais est une référence le festin des Dieux. Les arguments : - Le festin des Dieux fait référence à la Grèce antique comme les JO - le tableau est dans un musée français alors que la Cène est à Milan - Philippe Katerine en Dyonisos est cohérent avec le festin des Dieux mais n'aurait rien à voir avec la Cène.
REVUE DE PRESSE - Si les médias nationaux et internationaux sont nombreux à avoir reconnu le caractère grandiose de cette cérémonie sur la Seine, certains ont dénoncé un spectacle «décousu» et «presque sans intérêt».
Aya Nakamura a chanté avec la garde républicaine, Marie-José Pérec et Teddy Riner ont allumé la vasque olympique, Zinédine Zidane a piqué la flamme à Jamel Debbouze, Rim’K a chanté les cités et Barbara Butch a fait danser des corps trans : la fête olympique a mis à l’honneur les minorités composant la société française.
La tour Eiffel pendant la cérémonie d'ouverture des JO de Paris, ce vendredi 26 juillet.
VIDÉO. JO 2024 : la patrouille de France dessine un cœur géant dans le ciel de Paris
La patrouille de France a dessiné un cœur de fumée géant dans le ciel de la capitale française, lors de la cérémonie d'ouverture des Jeux olympiques de Paris 2024.
Deux mystérieux personnages, l'un parcourant les toits de Paris et l'autre à cheval, ont guidé la cérémonie d'ouverture des Jeux olympiques 2024, vendredi 26 juillet.
JO Paris 2024 : les plus belles images de la cérémonie d'ouverture
Nous reviendrons en forme, olympique évidemment, le 26 août dès potron-minet pour une rentrée qui s'annonce trépidante, indécise et tout aussi imprévisible. On a hâte de vous raconter tout ça.
D'Austerlitz au Trocadéro, un individu mystère a tissé un fil entre les différents tableaux choisis par les organisateurs pour raconter l'histoire et la culture françaises. Il a fini par transmettre le flambeau à Zinédine Zidane devant les athlètes et les chefs d'État sans jamais dévoiler son identité. Sa mission s'est achevée devant les tribunes du Trocadéro, sous l'œil intrigué des athlètes et des chefs d'État réunis pourla cérémonie d'ouverture des Jeux olympiques de Paris 2024. Sans jamais dévoiler son visage, il a transmis la flamme olympique au héros de tout un peuple, Zinédine Zidane, et s'est retiré discrètement.
Avant cela, ce mystérieux personnage masqué et encapuchonné avait traversé Paris de toit en toit, d'Austerlitz à la Tour Eiffel, la torche à la main. Il avait amené le téléspectateur dans des lieux iconiques de la capitale, tissant un fil entre eux pour raconter l'histoire et la culture françaises.
Son accoutrement, les fans de jeux vidéo l'ont certainement reconnu. Il s'inspirait grandement de celui d'Arno, le héros d'Assassin's Creed Unity, dont l'histoire se déroule dans la capitale française. Le compte officiel du jeu n'a d'ailleurs pas manqué de faire un clin d'œil au personnage sur X.
Tom Cruise ou le futur Premier ministre?
Au lendemain de l'événement, des questions restent ouvertes: s'agissait-il d'un homme? D'une femme? Étaient-ils plusieurs? Sur les réseaux sociaux, les théories se sont multipliées. D'aucun y voyaient Tom Cruise. D'autres, non sans humour, le ou la futur(e) Premier(e) ministre.
Simon Nogueira, athlète champion de France de freerunning, a vendu la mèche sur son compte Instagram (une publication qui a depuis disparu). "Je n'étais évidemment pas partout. D'autres incroyables artistes se sont aussi cachés sur ce personnage", a-t-il écrit, stories sur le toits de Paris à l'appui.
Champion du monde de World Chase Tag, Clément Dumais a pour sa part ajouté un soupçon de mystère supplémentaire à ce personnage. "J'espère que cette cérémonie vous a plu", a-t-il simplement lâché sur ses réseaux sociaux dans une publication accompagnée d'un cliché du grimpeur masqué.
, une cavalière argentée est venue apporter une touche de justesse et de magie supplémentaire, au tout début de l’entrée dans le dixième tableau de l’évènement : « Solidarité ».
Habillée du drapeau olympique, la cavalière, juchée sur un cheval métallique lancé au galop, a parcouru la Seine sur six kilomètres d’est en ouest, jusqu’à la tour Eiffel, pour propager « l’esprit olympique ». Pendant sa chevauchée d’une dizaine de minutes, commencée sur le pont d’Austerlitz jusqu’à la tour Eiffel, des ailes de colombes se déployaient sur différents ponts.
Il s’agit de « propager l’esprit olympique, empreint d’amitié et de solidarité, invitant le monde à se réunir dans son sillage », selon les concepteurs de la parade. Il s’agissait aussi de « l’incarnation de Sequana, déesse du fleuve Seine et symbole de résistance », selon le directeur artistique de la cérémonie Thomas Jolly.
Au terme de cette traversée, la cavalière – qui chevauchait cette fois un vrai cheval – a rejoint le Trocadéro, en face de la tour Eiffel, suivie des drapeaux des Comités nationaux olympiques participants, pour apporter le drapeau olympique.
Résultat d’un an de travail
Ce cheval mécanique flottant d’une hauteur de 1,80 m au garrot, entièrement métallique, a été conçu par l’atelier Blam, basé à Nantes (Loire-Atlantique), « et sa construction a nécessité un an de travail », a appris l’AFP auprès de l’atelier. « Il est doté d’un système de flottaison créé spécifiquement pour les besoins de la cérémonie d’ouverture par des architectes navals de Quiberon (Morbihan). Le mécanisme retranscrit le plus précisément possible les mouvements du galop d’un cheval », est-il précisé.
Alors que la capitale se prépare à célébrer ce soir l’ouverture des 33èmes Jeux olympiques de l’ère moderne, le trafic ferroviaire est paralysé depuis ce matin sur de nombreux axes en raison de sabotage coordonné. Plusieurs incendies volontaires ont ciblé les équipements de sécurité de la SNCF aux alentours de 4 heures du matin, touchant des points stratégiques de bifurcation pour les trains, ainsi que les TGV Atlantique, TGV Nord et TGV Est. « Les sites ont été sélectionnés pour maximiser l’impact des perturbations », a expliqué le PDG de la SNCF. Un quatrième acte de sabotage a été évité de justesse sur la ligne TGV Sud-Est grâce à l’intervention rapide de cheminots qui ont repéré des « agents incendiaires » et des « camionnettes », forçant les auteurs à prendre la fuite. « Les grands départs sont ciblés aujourd’hui, et à travers la SNCF, ce sont les Français qui sont visés », a ajouté Jean-Pierre Farandou, exprimant ses regrets pour les familles et les voyageurs affectés.