jeudi 25 novembre 2021

" Diamond Rock "

 

Le passage de LinkedOut au rocher du diamant, à quelques encablures de la ligne d’arrivée. |



Le « défi du rocher » du 


Le rocher du Diamant :

 une course dans la course pour la Transat Jacques Vabre


Le « défi du rocher » du Diamant : une course dans la course pour la Transat Jacques Vabre

Les premiers bateaux commencent à arriver depuis hier soir (lundi 22 novembre) mais, leur temps, entre le rocher du Diamant et l’arrivée dans la baie de Fort-de-France sera aussi chronométré pour le dernier défi de la course.




Les skippers de la Transat Jacques Vabre ont une dernière course contre la montre à jouer. À l’approche du rocher du Diamant, c’est une autre course de vitesse qui débute. Dès que les bateaux passent le rocher, un chrono se déclenche pour mesurer leur temps entre le célèbre rocher et la ligne d’arrivée de la Transat Jacques Vabre Normandie Le Havre Martinique dans la baie de Fort-de-France.

Pour les Imoca, les Océan Fifty et les Class 40, il s’agira de passer entre le rocher du Diamant et la terre, alors que pour les Ultime, il faudra passer à l'extérieur du rocher.

Un Trophée à la clé
Voile filée direction Cap Salomon, en évitant la devente du Morne Jacqueline pour rejoindre la baie de Fort-de-France et couper la ligne d’arrivée située entre le bateau comité et la bouée mitan.

Le bateau le plus rapide de chaque classe gagnera le Trophée Rocher du Diamant Caraïbe Price.

Ce Trophée qui sera le dernier défi pour les skippers de la Transat Jacques Vabre Normandie Le Havre Martinique vise à mettre en valeur le rocher du Diamant, symbole de la Martinique connu dans le monde entier.




mardi 23 novembre 2021

TRANSAT JACQUES VABRE

 LES ARRIVÉES À FORT-DE-FRANCE 


L'ACTUALITÉ DE LA COURSE

Banque Populaire XI troisième Ultime de la Transat Jacques Vabre

BANQUE POPULAIRE XI TROISIÈME ULTIME DE LA TRANSAT JACQUES VABRE

Ce mardi 23 novembre, à 19 heures 6 minutes et 20 secondes en Martinique (mercredi 24, à 0 heure 6 minutes et 20 secondes, heure métropolitaine), Armel Le Cléac'h et Kevin Escoffier ont franchi la ligne d’arrivée de la 15ème édition de la Transat Jacques Vabre Normandie Le Havre en troisième position de la catégorie Ultime. Banque Populaire XI aura mis 16 jours 10 heures 39 minutes et 20 secondes pour parcourir les 7 900 milles théoriques depuis Le Havre à la vitesse moyenne de 20,05 nœuds, mais il a réellement parcouru 9225,53 milles à 23,38 nœuds. Son écart au premier, le Maxi Edmond de Rothschild, est de 8 heures 50 minutes et 4 secondes.

Banque Populaire XI n’aura pas réussi à maintenir son avance sur les derniers moments de course, mais signe cependant une très belle copie. Le maxi-trimaran bleu et blanc, mis à l’eau il y a seulement sept mois, a réussi à tenir le rythme imposé par ses concurrents tout au long du parcours et arrive moins de 9 heures après le leader.

Les premières réactions :

Armel Le Cléac'h
"Il y a beaucoup de plaisir, d'avoir réussi à ramener ce bateau en Martinique, c'était l'objectif premier, aussi d'avoir fait une belle régate avec Kevin. Une petite frustration sur cette journée, de nous être faits doubler par François et Tom pour la deuxième place. Mais au final beaucoup de positif. Nous sommes super contents du bateau. Nous voyons où est-ce qu'il faut mettre le niveau pour aller chercher la victoire. Nos amis du Maxi Edmond de Rothschild ont été intouchables. Nous avons encore énormément de choses à apprendre sur ce bateau, le faire progresser."

Kevin Escoffier
"Nous restons compétiteurs, donc oui cette troisième place reste en travers de la gorge. Mais franchement je me suis éclaté pendant 16 jours. J'ai pris beaucoup de plaisir. Le bateau est un bateau récent et compliqué, mais tout a fonctionné. Avec nos séries d'empannages, nous avons passé l'équateur 6 ou 7 mois, nous allons pouvoir mettre ça sur notre CV !  C'était un parcours inédit, c'est réussi à la fois parce que nous arrivons assez groupés avec les Ocean Fifty, et c'était le parcours idéal pour apprendre sur ce bateau-là. Et l'arrivée par la mer, avec le Diamant au coucher de soleil, c'était splendide. Ça nous a réchauffé le coeur même si pour nous c'était compliqué de terminer troisièmes."









4ème et 5ème en OceanFifty 

passage au Diamant








lundi 22 novembre 2021

REGLES POUR L'ARRIVÉE DE LA JACQUES VABRE

 

Présentation de la Transat Jacques Vabre

La 15e édition de la Transat Jacques-Vabre, course à la voile en double, reliera Le Havre à la Baie de Fort-de-France à compter du dimanche 7 novembre 2021.

Au total, 83 concurrents seront engagés sur 4 types de voiliers : les Ultimes, les Multi50, multicoques de 50 pieds ; les Imoca, monocoques de 60 pieds ; et les Class40, monocoques de 40 pieds. En fonction des conditions de mer que rencontreront les navigateurs, un étalement des arrivées est possible jusqu’au 5 décembre 2021, date de clôture de la manifestation.

Afin d’accueillir les coureurs et les passionnés de la voile, un village animé sera installé du 20 novembre 2021 au 30 novembre 2021 à Fort-de-France. L’arrivée de la Transat Jacques Vabre à Fort-de-France fera l’objet d’une sécurité renforcée, que ce soit en mer ou sur terre. Un dispositif de sécurité sera également mis en place au Diamant et aux Anses-d’Arlet en concertation avec les communes.

 

Un protocole sanitaire strict pour l’arrivée de la Transat Jacques Vabre à Fort-de-France

Rédaction webMardi 16 Novembre 2021 - 16h22
Un protocole sanitaire strict pour l’arrivée de la Transat Jacques Vabre à Fort-de-France
Le village de La Transat fermera à 18h tous les soirs. - DR

Les premiers bateaux de la 15e édition de la Transat Jacques-Vabre sont attendus en Martinique dans quelques jours. Mais, compte-tenu de l’épidémie de Covid-19 dans l’île, les festivités seront restreintes et soumises à des restrictions sanitaires.

AVIS AUX NAVIGATEURS

 Quatre zones réglementées seront créées entre le rocher du Diamant et la ligne d’arrivée en baie de Fort de France pour sécuriser l’arrivée des concurrents dont certains pourraient arriver à grande vitesse (jusqu’ à 25/30 nœuds – 55 km/h pour les plus gros).

Ces zones réglementées revêtent un statut « rouge » en période de forte fréquentation du plan d’eau : cela signifie que toute navigation y est interdite (à l’exception des navires de l’organisation).




JV 2

Le statut des zones sera consultable en temps réel sur le site internet de l’organisateur : https://www.transatjacquesvabre.org

Ce statut sera également rappelé par des diffusions régulières d’avis aux navigateurs par le CROSS Antilles Guyane sur le canal 16 de la VHF.

La continuité des entrées et sorties du trafic commercial sera régulée par la capitainerie du Grand port maritime de la Martinique. Le service de navettes maritimes au départ de Fort de France sera maintenu pendant toute la durée de la manifestation.

À compter du 10 novembre 2021, une zone comprise entre le Fort Saint-Louis et la pointe Simon sera réservée aux navires des concurrents et aux navires de l’organisation : à l’intérieur de cette zone la navigation, le stationnement et le mouillage seront interdits jusqu’à la fin de la manifestation. Les bateaux mouillés devront être retirés avant le 10 novembre 2021.

JV 3

L’organisateur mettra en place un dispositif de sécurité qui fait appel à des moyens d’assistance, ainsi qu’à des yoles de pêche qui accompagneront chaque concurrent du rocher du Diamant jusqu’à la ligne d’arrivée à Fort de France.

Les navires de l’organisation arboreront une flamme et un pavillon roses marqués « organisation ». Ils feront usage d’un gyrophare de couleur orange pendant les phases d’arrivée des concurrents.

Les moyens de l’État (Marine Nationale, Douane, Gendarmerie nationale et Affaires maritimes) compléteront la surveillance par un dispositif de police avec une présence en mer adaptée au niveau de fréquentation du plan d’eau.

Aucune navigation ne sera autorisée en période du couvre-feu à l’exception des concurrents arrivant et des navires de l’organisation.

Les règles relatives à l’embarquement des passagers en vigueur en Martinique à la date de la manifestation seront applicables sur le plan d’eau.

VIRTUAL REGATTA OCEANFIFTY

 

LUNDI 22 NOVEMBRE


Ocean Fifty : 22 novembre

Leur parcours est le même que celui des Imoca, d’une distance théorique de 5 800 milles. S’ils ont aussi été ralentis par le manque de vent, les trimarans de 15 m sont ceux qui ont réalisé, ce jeudi 11 novembre la plus grande partie de leur parcours, 22,5 %. Ils ont de grandes chances d’arriver les premiers à Fort de France. La direction de course, à ce jour envisage une arrivée en Martinique le 22 novembre.


Lundi 22 soir

Coucou les fidèles


Le contournement de la marque située sur l'île de Fernando de Noronha se fera  cette nuit.

J'ai préparé mes WP ( Way Points où points de passage) pour être sûr de contourner sans s'échouer.

Aprés cette île, cap au NW pour rejoindre l'île de la Martinique, port d'arrivée "Le Marin".

Mais cette remontée ne va pas se faire en ligne directe vu l'orientation des alizés.

Plusieurs empannages vont se succéder, à moi de les faire au bon moment.

On va avancer en dents de scie comme on dit dans la marine !

Je vais tout faire pour essayer de garder cette place voir en gagner...mais là, 0,2 miles de perdus, c'est 100 places en moins et vis et versa.

Bon dans quelques heures on y sera......

J'espére que je vous fais voyager un peu avec cette belle map monde.

On va passer le long des côtes du nord-est brésilien 


TRANSAT JACQUES VABRE




La sécurisation de l'arrivée de la transat Jacques Vabre fait l'objet d'un important dispositif qui a été présenté hier au village d'arrivée de la course.


dimanche 21 novembre 2021

ACTUALITÉS ANTILLES

 Attention l'embrasement est prévu en Martinique comme en Guadeloupe 

Restez libre sur vos bateaux et à l'abri.

une cinquantaine d’agents du GIGN et du RAID envoyés sur l’île



Au départ, des soignants et des pompiers hostiles à l’obligation vaccinale ont lancé une grève illimitée. Désormais, la mobilisation déborde. Dans ses revendications, également sociales. Dans sa violence, avec des pillages et des incendies. Dimanche, des membres du RAID et du GIGN doivent arriver sur l’île, paralysée.



Une cellule de crise interministérielle a été mise en place, samedi, alors que des barrages et des pillages se déroulent dans l’île depuis plusieurs jours, sur fond de mobilisation contre le passe sanitaire et l’obligation vaccinale des personnels .


Un barrage installé par des militants de l’Union générale des travailleurs de Guadeloupe, aux Abymes (Guadeloupe), le 17 novembre 2021.

samedi 20 novembre 2021

Venezuela

 Le Venezuela a établi samedi le record mondial Guinness du « plus grand orchestre du monde » après que des milliers de musiciens locaux ont interprété la Marche slave de Tchaïkovski.

Le Venezuela bat le record du plus grand orchestre du monde

« Vous êtes officiellement incroyables ». Des milliers de musiciens ont réussi l’exploit de former le « plus grand orchestre du monde » en interprétant la Marche slave de Tchaïkovski.

jeudi 18 novembre 2021

ROUTE DU RHUM 1990


Le 18 novembre 1990


Florence Arthaud 


Le 18 novembre 1990 en Guadeloupe, la navigatrice Florence Arthaud remportait la Route du Rhum à bord du trimaran 'Pierre 1er',



Le 18 novembre 1990 en Guadeloupe, la navigatrice Florence Arthaud remportait la Route du Rhum à bord du trimaran 'Pierre 1er', © Getty / Pool BENALI/LE CORRE/Gamma-Rapho


À écouter :

Cela fait 31 ans, aujourd'hui même, le 18 novembre 1990, que celle que les machos de l'époque ont baptisé "la petite fiancée de l'atlantique" a remporté la Route du Rhum

Une pionnière portée aux nues, fascinante, mais dont la vie de marin suscita aussi une vraie défiance : fille à papa shootée aux médias, opportuniste, alcoolique… Les critiques ne cessèrent pas. Alors, qui était vraiment Florence Arthaud ? De l’enfant gâtée à la tête-brûlée solitaire, de la mère de famille libre à la quadragénaire inculpée pour violences volontaires…  Comment expliquer une telle fureur de vivre ? 

Un récit documentaire de Sophie Bober 

Invité : 

Yann Queffélec, marin lui aussi à ses heures, et auteur de La Mer et au-delà, qui vient de paraître chez Calmann-Levy. Un récit consacré, pour reprendre ses termes, à cette « Antigone indomptée ».

Discographie : 

  • Rod STEWART Sailing (1975)
  • ARTHUR H _Navigateur solitaire (2_014)
  • JULIETTE ARMANET Le dernier jour du disco (2021)

"Florence Arthaud " sur https://www.franceinter.fr/emissions/affaires-sensibles/affaires-sensibles-du-mercredi-17-novembre-2021 via @franceinter


 « La Petite Fiancée de l'Atlantique » a laissé des livres posthumes, dont sa poignante confession, Cette nuit, la mer est noire, qui doit paraître le 19 mars.

De son vivant, Florence Arthaud est l'auteur de trois titres dont le premier, La Fiancée de l'Atlantique, paru en 1982 a contribué à son célèbre qualificatif «la petite fiancée de l'Atlantique». Ensuite, elle publiait Océane en 1991 et Un vent de liberté, en 2009, préfacé par Olivier de Kersauson.

mardi 16 novembre 2021

STAR WAR

 



LA MILITARISATION DE L'ESPACE 


La Russie a procédé lundi à un tir de missile antisatellite pour détruire l’un de ses propres satellites obsolètes. Ce test a généré plus de 1 500 débris spatiaux, selon le secrétaire d’État des États-Unis, l’équivalent du ministre des Affaires étrangères, Anthony Blinken, qui a condamné un test « dangereux ». La militarisation de l’espace a commencé dès le début de la conquête spatiale, pendant la guerre froide, et demeure une source de tensions entre États.

lundi 15 novembre 2021

LA FLOP26

 

Dans l’œil de Télérama

À Glasgow, les limites des COP s’exposent au grand jour

Weronika Zarachowicz

En 2015, la COP21 s’était clôturée avec les larmes de joie, d’émotion, de fatigue entremêlées de son président Laurent Fabius sur un accord de Paris estimé historique — celui-ci étant le seul accord universel qui existe à ce jour, avec un objectif chiffré… mais non contraignant. Six ans plus tard, la COP26 de Glasgow vient de se refermer sur de nouvelles larmes, mais cette fois de déception assumée, de son président Alok Sharma, « sincèrement désolé ». Et comment faire autrement que pleurer des torrents de larmes, de découragement, de colère face aux tonnes d’espoirs douchés, face aux avalanches de promesses non tenues ? Car tandis que s’amplifie l’immense et irréversible chambardement climatique, force est de faire le même constat, une fois de plus : encore une COP et encore une occasion manquée, certes avec quelques avancées (cela aurait pu être pire, diront les esprits plus positifs) mais tellement, tellement loin des politiques indispensables pour contenir une hausse maximale de la température moyenne de 2 degrés. Ce constat d’impuissance des États, ressassé depuis des décennies de négociations climatiques, explose comme jamais au grand jour. Car depuis l’accord de Paris, ce ne sont pas les politiques climatiques qui ont (temporairement) infléchi les courbes des émissions de gaz à effet de serre. Ce sont les mesures liées au combat contre la pandémie de Covid 19. Alors, à quoi sert encore le mécanisme des COP (lourd, ruineux, et coupé comme jamais des sociétés civiles) ? À Glasgow, nous avons atteint les limites de ce qui était censé être le meilleur outil multilatéral de négociations à ce jour. Bref, l’avenir de la lutte contre le changement climatique et de l’adaptation qu’il réclame se joue décidément sur d’autres fronts.

La COP26 se termine sur un texte « de compromis »

 Que contient le pacte de Glasgow ?

La COP26, la 26e édition d’une conférence des Nations unies sur le changement climatique, s’est terminée samedi après deux semaines de négociations à Glasgow, en Écosse (Royaume-Uni). Près de 200 pays ont accepté le pacte de Glasgow, qui contient une mention inédite des énergies fossiles : il appelle les pays à « intensifier les efforts vers la réduction progressive de l’énergie produite à partir du charbon sans systèmes de capture » de CO2 et à « l’élimination des subventions inefficaces aux énergies fossiles ». Le pacte de Glasgow a réaffirmé l’objectif mondial de limiter l’augmentation de la température moyenne en dessous de 2°C par rapport aux niveaux préindustriels et de poursuivre les efforts pour la limiter à 1,5°C, contenu dans l’accord de Paris. Il appelle également les États à relever leurs objectifs actuels d’émissions de gaz à effet de serre d’ici l’année prochaine.

 Pourquoi le texte est-il jugé décevant ?

Le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, a estimé samedi lors de la clôture de la COP26 que le pacte de Glasgow était un « compromis », qui n’a pas réussi « à surmonter certaines contradictions profondes ». Il a appelé à « éliminer progressivement le charbon ». Le président de la COP26, Alok Sharma, s’est excusé samedi « pour la façon dont le processus s’est déroulé », évoquant ainsi les changements de dernière minute introduits sur la question des énergies fossiles à la demande de la Chine et de l’Inde afin de remplacer le terme de « suppression » par « réduction ». « Ils ont changé un mot, mais ils ne peuvent pas changer le signal qui sort de cette COP, que l’ère du charbon se termine », a commenté l’ONG de protection de l’environnement Greenpeace. Le ministre indien de l’Environnement a défendu samedi à la COP le « droit » pour les pays en développement « à un usage responsable des énergies fossiles ».

 Comment a évolué la production de charbon dans le monde ?

Le charbon, dont la combustion est fortement émettrice de CO2, est l’une des principales énergies fossiles avec le pétrole et le gaz. Il représentait 27 % des énergies primaires (énergies fossiles, nucléaire, renouvelables) utilisées dans le monde en 2019, derrière le pétrole (33 %) et devant le gaz (24 %), selon le rapport sur les marchés mondiaux de l’énergie publié par la compagnie pétrolière britannique BP. Il s’agit de son plus bas niveau depuis 16 ans. Sa production a toutefois augmenté de 1,5 % en 2019 dans le monde, principalement en Chine et en Indonésie, alors qu’elle baisse dans les pays les plus développés. Les émissions de CO2 liées au charbon ont diminué en 2019 dans le monde de 1,8 %, portées par les baisses enregistrées aux États-Unis (-14,6 %) et dans l’UE (-18 %), alors qu’elles ont augmenté en Chine (0,7 %), selon le Global Carbon Project, un consortium scientifique international.